Le 11 juin 2011 par Notre voie - "Ne me tuez pas!". Ce sont les premiers mots qu`aurait prononcés le président ivoirien Laurent Gbagbo quand ses tombeurs sont allés le
chercher, lundi 11 avril, en sa résidence d`Abidjan bombardée, toute la nuit du dimanche à lundi, par les hélicoptères de guerre, français et onusiens. Sur les conditions et les moyens de cette arrestation, les versions divergent. La France, principale actrice de la tragédie nie sa responsabilité dans l’arrestation du président Gbagbo. Mais les faits sont têtus.