Le 29 novembre 2010 par le Figaro - La fête a tourné court. Dimanche, le second tour de la présidentielle qui doit départager le président sortant, Laurent Gbagbo, et son rival, Alassane Ouattara, s'est déroulé dans un climat d'inquiétude
et de méfiance. Les embrassades qui avaient conclu la première partie du scrutin semblent loin. Au cours des derniers jours de la campagne électorale, les petites phrases assassines se sont multipliées, exacerbant la tension.