"Journalisme et faits": Le Général Bakayoko (Cema), reconnait l'existence de milices sur l'étendue du territoire ivoirien, notamment à "Sikensi", "Dabou"

Le 07 février 2012 par IVOIREBUSINESS - On ne le dira jamais assez, être journaliste, ce n'est pas écrire dans les journaux, c'est avoir intériorisé comme une seconde nature un certain nombre de normes

d'écriture, mais aussi de comportements et, en amont, une certaine vision du monde, c'est- à- dire, un certain nombre de catégories d'entendement, d'appréciation et de perception du monde! C'est incontestablement l'analyse objective des faits avérés, le recoupement de l'information, son évaluation et sa mise en perspective, en s'appuyant sur la déontologie et l'éthique!

Les généraux ivoiriens. Au centre, Général Soumaïla Bakayoko.

Le 07 février 2012 par IVOIREBUSINESS - On ne le dira jamais assez, être journaliste, ce n'est pas écrire dans les journaux, c'est avoir intériorisé comme une seconde nature un certain nombre de normes

d'écriture, mais aussi de comportements et, en amont, une certaine vision du monde, c'est- à- dire, un certain nombre de catégories d'entendement, d'appréciation et de perception du monde! C'est incontestablement l'analyse objective des faits avérés, le recoupement de l'information, son évaluation et sa mise en perspective, en s'appuyant sur la déontologie et l'éthique!

Ce n'est surtout pas de la fiction ou du commérage, où sentiments et rêves doivent primer...Revenons donc aux faits qui nous concernent: Il ya quelques semaines, (La rédaction "d'Ivoirebusiness",quotidien panafricain bilingue en ligne-150.000 visiteurs par jour sur 5 continents), informait ses lecteurs sur l'imminence de la résurgence de rebellions à caractère patriotique dans l'ouest de la Côte d'ivoire, en se fondant sur des faits avérés, et en mettant des informations recoupées en perspective.

Beaucoup de mauvaises langues avaient ironisé sur cette approche "d'Ivoirebusiness», dont l'enjeu professionnel majeur était uniquement d'informer! Aujourd’hui, le chef de l'armée ivoirienne,(le général Bakayoko) reconnait ouvertement par des déclarations par presse interposée, l'existence de milices sur l'étendue du territoire ivoirien, notamment dans les régions de "Sikensi", "Dabou" et de l'ouest! Mieux, une vidéo perspicace et explicite dont les images parlent d'elles-mêmes, actuellement sur le site "d'Ivoirebusiness", met en exergue l'embuscade récente tendue aux (Frci) dans la région de "Dabou", près "d'Abidjan",(capitale économique de la Côte d'ivoire), par des personnes non identifiées le (26 Janvier) dernier: Mieux, une hécatombe à voir les pleurs en langue malinké de certains soldats(Frci) rescapés...

L'analyse pertinente qui ressort après avoir visionné cette vidéo est la suivante: Certains soldats rescapés de l'embuscade sont inconsolables et étalent explicitement sur le plan linguistique, la thèse selon laquelle les (Frci) est une armée tribale, qui n'est pas représentative de la Côte d'Ivoire entière: Les soldats(Frci) s'expriment uniquement en "Malinké", "Bambara" et "dioula", langues parlées dans le nord de la Côte d'Ivoire, et dans certains pays de l'Afrique de l'Ouest, et non en Français, langue maternelle officielle de la Côte d'Ivoire depuis l'accession du pays à la souveraineté nationale.
Prenez votre temps pour visionner cette vidéo insolite sur "Ivoirebusiness.net",(quotidien panafricain bilingue en ligne-150.000 visiteurs par jour sur 5 continents), car la vérité n'est jamais isolée, elle finit toujours par triompher... A bon entendeur, Salut!

http://www.ivoirebusiness.net/?q=node/8562

(Yves T Bouazo)