Sport Automobile/ Kady Angelbert, présidente de la Fisam: « Nous pas bouger »

Publié le mercredi 21 septembre 2011 | IVOIREBUSINESS – Alain Ambrosino, le nouveau président élu de la fédération ivoirienne de sport automobile devra encore ronger son frein, avant de prendre les

rênes du sport automobile ivoirien. La faute à Kady Angelbert qui refuse de céder sa place, place qu’elle occupe pourtant depuis deux décennies.
Ça c’est une vraie go. Elle a même dit a Legré, le ministre des Sports, qu’elle n’allait pas behou (partir) de la Fisam. Seul Alassane l’américain pouvait lui demander de partir.

Publié le mercredi 21 septembre 2011 | IVOIREBUSINESS – Alain Ambrosino, le nouveau président élu de la fédération ivoirienne de sport automobile devra encore ronger son frein, avant de prendre les

rênes du sport automobile ivoirien. La faute à Kady Angelbert qui refuse de céder sa place, place qu’elle occupe pourtant depuis deux décennies.
Ça c’est une vraie go. Elle a même dit a Legré, le ministre des Sports, qu’elle n’allait pas behou (partir) de la Fisam. Seul Alassane l’américain pouvait lui demander de partir.

« Je suis là jusqu’à ce que le chef de l’Etat me demande de partir », a déclaré la présidente de l’ex-Fédération ivoirienne de sport automobile et de motocyclisme(Fisam), Kady Angelbert lors d’un point de presse qu’elle a donné le mardi 20 septembre 2011 au Plateau (l’IA 21/09).
Selon elle, « Le ministre Légré Philippe a fait des détournements de procédure. La procédure voudrait qu’il travaille avec la présidente de la Fisam pour voir comment fonctionne la Fisam car les pilotes autos de la Fisam sont les mêmes qui font la moto. Nous avons essayé d’approcher le Ministre pour qu’il nous reçoive, mais il a refusé jusqu’à ce qu’il prenne les décisions qu’on a lues dans la presse».

A en croire Kady Angelbert, la dissolution d’une fédération ne peut se faire que par deux (02) moyens. Soit par l’Assemblée générale qui est le seul organe suprême de décision, ce qui n’a pas encore été le cas à la Fisam; soit par décret présidentiel. Or, poursuit-elle, en la matière, le courrier No 803/MSL/CAB du 18 août 2011 du ministre Légré Philippe ne saurait en aucun moment se substituer à un acte signé par le président de la République (IA 21/09).
C’est chaud à la Fisam deh !
Mais affaire à suivre.

Patrice Lecomte