Scandale aux affaires maritimes : Les collaborateurs du ministre Philippe Legré le mettent en difficulté

En effet depuis son arrivée à la tête de ce département, Philippe legré ambitionnait de positionner les affaires maritimes à un niveau opérationnel jamais réalisé ( Notons que l'ex DG le colonel Tano n'en a jamais voulu, puisqu'il n'a jamais doté les agents d'engin nautiques et de matériels de travail adéquat).

Toutes les bonnes intentions du ministre à savoir :

- doter les agents des affaires maritimes d'un statut particulier
-doter la dgamp d'un organigramme à la hauteur de nouveau défis
- l'achat d'engin nautiques
- enfin la sécurisation des recettes ( vu que le droit de trafic a doublé depuis janvier 2020 de 7 milliards/ an à plus de 15 milliards/an )

Des membres influents du cabinet torpillent tous les projets et les retardent dans le but non seulement de saboter les actions du ministre, mais en plus continuer de faire signer des arrêtés au ministre contre espèces sonnantes et trébuchantes, et continuer de détourner l'argent du droit de trafic...

Leur dernière trouvaille, museler définitivement les syndicats... Au nombres des bourdes que font commettre cette mafia à monsieur le ministre, on peut compter entre autre:
- des exonérations d'opérateurs maritimes sans contrepartie pour l'État
- des arrêtés qui en annulent d'autres en l'espace de quelques mois -des Passations de marché de gré à gré de plusieurs milliards Le ministre ne s'en rend compte que seulement maintenant.

La nuit il jure de se débarrasser de ces vautours autour de lui, le jour il devient impuissant face à eux... Tous ces faits viennent mettre à mal tous l'impact positif qu'a suscité la création de ce ministère sur l'économie maritime et les conditions de vie et de travail des agents..

Tous les syndicats et l'ensemble des agents sont dans une grande déception et menacent de se faire entendre dans les prochains jours... Nous y reviendrons.

Par Eric Lassale

ERRATUM: Une erreur nous a fait écrire que l'article était d'une correspondance particulière.
Nous nous en excusons. L'article est en effet d'Eric Lassale d'Ivoirebusiness.