PARIS: Grand meeting dimanche 28 août à la place Victor Hugo à Paris 16e, pour dire NON au musèlement d’IvoireBusiness et de la presse en Côte d’Ivoire

Le 27 août 2011 par IvoireBusiness – Les organisations panafricaines et ivoiriennes de France organisent un grand meeting à la place

De gauche à droite: Le journaliste Francis Laloupo (AfricaN°1), le ministre français Alain Joyandet, Christian Vabé (DP de IvoireBusiness).

Le 27 août 2011 par IvoireBusiness – Les organisations panafricaines et ivoiriennes de France organisent un grand meeting à la place

Victor Hugo à Paris 16e, dimanche 28 août de 14H à 19H, pour dire NON au musèlement de la presse en Côte d’Ivoire par le régime d’Alassane Ouattara. Lequel musèlement a désormais atteint les bords de la seine avec la plainte déposée par l’Ambassadeur Ally Coulibaly, ambassadeur de Côte d’Ivoire en France, contre votre quotidien favori IVOIREBUSINESS, pour diffamation dans l’affaire « Scandale sexuel à l’ambassade de Côte d’Ivoire en France ». Alors que l’ambassadeur Ally Coulibaly n’a à aucun moment été cité dans l’article en question, qui du reste a traité l’information au conditionnel, précisant que les investigations se poursuivaient pour qu’éclate la vérité.
Les organisations ivoiriennes et panafricaines ont trouvé l’attitude d’Ally Coulibaly injuste disproportionnée, et y voient la volonté de neutraliser IvoireBusiness qui est selon elles, « le seul lien qui a su nous donner les informations utiles et vraies dans les moments difficiles que la Côte d’Ivoire traverse ».

Dans le texte de leur demande d’autorisation à la préfecture de police, les femmes du MFUE et du MER déclarent qu’« Ivoirebusiness.net est pour le trait d’union avec nos familles. Il est l’élément et instrument unificateur de toute la Diaspora que nous sommes dans le monde. Il n’a aucun parti pris, donne l’information qu’il faut au moment où il le faut. Il a pu nous permettre non seulement de nous informer et nous orienter sur ce qui se passait en Côte d’Ivoire, puis de nous mettre en contact avec nos parents, amis et autres de partout.

Il a toujours su apporter à la diaspora en temps et en heure les éléments et l’orientation pouvant nous guider et nous former durant son existence depuis des années. Il nous lie à notre mère Patrie la Côte d’Ivoire, mais aussi avec d’autres pays du monde sans partie pris ni désinformation aucune ».
Loin de baigner dans l’autosatisfaction, IvoireBusiness rappelle qu’il ne fait rien d’autre que son travail en tant que journal consciencieux, respectueux des règles d’éthiques et de déontologies qui doivent être la boussole de tout journal.
Dans l’affaire Ally Coulibaly, cette règle d’OR a encore été respectée. IvoireBusiness, comme c’est la règle pour toute personne qui se sent diffamée par un journal, a demandé à l’Ambassadeur d’user de son droit de réponse. Ce dernier a décliné l’offre préférant tordre le coup à votre quotidien favori dans le secret espoir de le museler et de le faire disparaître.
IvoireBusiness précise qu’il n’entend pas disparaître ou se laisser museler par quiconque.

Catherine Balineau