Côte d’Ivoire: Le PDCI RDA était à l’investiture de la représentante du FPI France

Ce qui était impensable hier, l’est aujourd’hui. Qui pouvait penser, un seul instant qu’à l’investiture de la représentante du Front Populaire Ivoirien, le FPI à Paris, le PDCI RDA, parti rival pouvait s’afficher à visage découvert pour apporter son soutien ?

Les choses évoluent et les ivoiriens, n’ont qu’à prendre de la graine. Ce modèle de cohésion sociale doit habiter chaque ivoirien pour faire avancer la vie dans ce pays.
La délégation PDCI RDA conduite par le délégué général de Paris Ile de France, M. Basile Yao, a fait parler de cette Côte d’Ivoire nouvelle que tous les ivoiriens aspirent.

La politique doit se faire et vivre autrement. Ce n’est pas, parce que nous ne partageons pas la même idéologie que nous devons-être des ennemis, la diaspora ivoirienne a bien compris la leçon.

Devant le parterre d’invités, le comité d’organisation, a salué la présence du PDCI RDA qui a manifesté son soutien par cet encouragement à vouloir s’unir pour contribuer au renforcement de l’unité nationale qui manque aujourd’hui, aux ivoiriens.

Pour corroborer, la mise en place de toutes les plateformes pour chasser Ouattara du pouvoir, la diaspora ivoirienne a mis en place, l’UDCI, l’union de la diaspora pour la Côte d’Ivoire fonctionne avec toutes les entités politiques et la société civile.

La présence donc du PDCI RDA à cette entrée politique du parti frère du FPI, est un signal pour dire aux ivoiriens que, quand, la Côte d’Ivoire va mal, telle qu’elle est en ce moment, inutile de faire des entorses pour la voir disparaître et le message est bien passé.

Madame Nékalo Georgette, dans sa nouvelle fonction de représentante du FPI France, n’a pas manqué de saluer cette présence du PDCI RDA. Allant dans le sens, M. Issa Malick, ancien directeur de campagne du président Laurent Gbagbo a salué cette présence du parti frère.

Ce samedi 23 mars, à Paris, le FPI France a eu sa nouvelle représentante en présence de tous les tenants de ce parti et de certains autres partis politiques, le COJEP et l’UNG. L’espoir est donc permis et c’est aux ivoiriens, de savoir saisir l’opportunité de l’union.

Joël ETTIEN

Envoyé spécial : businessactuality.com