Scandale : Cambriolage au Palais présidentiel du Cameroun . Des milliards emportés!

Par Camerbe- Scandale. Cambriolage au Palais présidentiel du Cameroun.

Un cambriolage audacieux au cœur du pouvoir camerounais

Dans la nuit de samedi à dimanche, le bureau de Samuel Mvondo Ayolo, directeur du cabinet civil de la présidence de la République du Cameroun, a été cambriolé au palais présidentiel. Les malfaiteurs ont dérobé une importante somme d'argent et des documents sensibles, plongeant le pays dans l'émoi et soulevant de nombreuses questions.

Des soupçons de complicité interne

Fait troublant, les caméras de surveillance du palais avaient été désactivées avant le cambriolage, laissant libre champ aux voleurs. Cette situation a conduit à l'interrogatoire de plusieurs employés du palais, dont le colonel Evina NDO, directeur adjoint de la sécurité présidentielle. Ce dernier est fortement soupçonné d'avoir orchestré le cambriolage, en raison de sa position clé dans le dispositif de sécurité du palais.

Un bureau stratégique et des documents sensibles

Le bureau de Mvondo Ayolo, situé au deuxième étage du bâtiment principal, entre la salle des conseils des ministres et celle des ambassadeurs, juste en dessous du bureau du président Paul Biya, constitue un point stratégique du palais. La proximité de ce bureau avec celui du président et la nature sensible des documents volés font de ce cambriolage un événement particulièrement inquiétant.

Mode opératoire suspect et enquête en cours

Les premiers éléments de l'enquête révèlent que les cambrioleurs ont utilisé une vitre brisée comme diversion, sans l'emprunter pour accéder au bureau. Ce mode opératoire suggère une connaissance précise des lieux et des routines de sécurité, renforçant les soupçons de complicité interne.

Un contexte politique tendu

Ce cambriolage survient dans un contexte politique tendu au Cameroun, marqué par des luttes de pouvoir au sein de l'entourage du président. Cet événement pourrait exacerber les tensions et fragiliser davantage le régime en place.

Face à cet incident grave, la sécurité présidentielle a été placée en état d'alerte maximale. L'enquête se poursuit activement pour identifier les auteurs de ce cambriolage audacieux et déterminer les motivations derrière cet acte.