Arrestation d'Assoa Adou/ Importante déclaration à la nation du RPCI-AC - Christian Vabé: L'arrestation du Dr Assoa Adou est stupide et ridicule. Le RPCI-AC exige sa liberation immédiate
Par IVOIREBUSINESS - Le Rpci-Ac exige La liberation immédiate et sans condition du Dr Assoa Adou car son arrestation est stupide, ridicule, et fantaisiste.
Le rassemblement du peuple de Côte d'Ivoire Alternative crédible (RPCI-AC) condamne fermement l'arrestation du docteur Assoa Adou, directeur national de campagne du Président Laurent Gbagbo, arrestation intervenue mercredi nuit vers 20h40mn à son domicile abidjanais.
Le RPCI-AC constate que cette arrestation s'est faite sans mandat d'arrêt et en violation flagrante des droits les plus élémentaires du Dr Assoa Adou, pourtant récemment revenu d'exil d'Accra au Ghana où il vivait depuis 2011.
Le RPCI-AC exige sa liberation immédiate et sans condition car cette arrestation, ridicule, stupide, et grossièree , est purement politique et fait la honte de la Côte d'Ivoire sur la scène internationale. En effet, pour le RPCI-AC, l'argument d'atteinte à la sûreté de l'Etat avancé par le régime Ouattara n'est qu'un paravant juste brandi pour mettre hors d'état de nuire un adversaire politique qui dérange.
Cette arrestation intervient en effet quelques jours après que le docteur Assoa Adou ait déclaré au cours d'une conférence de presse, que l'élection présidentielle de 2015 n'était pas à l'ordre du jour pour le front populaire ivoirien (FPI), car les conditions minimales n'étaient pas réunies.
Le RPCI-AC invite en conséquence le peuple ivoirien à sortir massivement et à se rendre à la direction de la surveillance du territoire (DST), pour exiger sa libération immédiate.
Le RPCI-AC informe le peuple à se tenir prêt à l'alternance en 2015 et à ne pas se laisser intimider par les arrestations et les menaces.
En effet, le chef de l'état Alassane Ouattara, conscient de son inéligibilité, n'a plus déclaré sa candidature à l'élection présidentielle de 2015 lors de ses voeux de nouvel An 2015, comme le lui ont exigé le RPCI-AC, le peuple de Côte d'Ivoire, la communauté internationale, l'Elysée, et l'ONU, après qu'au Burkina Faso, Blaise Compaoré ait tenté de violer la constitution pour se maintenir au pouvoir.
Fait à Paris le 08 janvier 2015
Pour le RPCI-AC
Christian Vabé
Président
AMPLIATIONS
FRANÇOIS HOLLANDE, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE (ELYSÉE)
BARACK OBAMA, PRESIDENT DES USA (MAISON BLANCHE)
VLADIMIR POUTINE, PRESIDENT DE LA FEDERATION DE RUSSIE
ALASSANE OUATTARA, PRESIDENT DE CÔTE D'IVOIRE
JACOB ZUMA, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SUD-AFRICAINE
CLAUDE BARTOLONE, PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE (PALAIS BOURBON)
MANUEL VALLS, PREMIER MINISTRE FRANCAIS (PRIMATURE)
DAVID CAMERON, PREMIER MINISTRE BRITANNIQUE (10 DOWNING STREET)
PRÉSIDENT MACKY SALL (SÉNÉGAL)
ANGELA MERKEL (CHANCELIÈRE ALLEMANDE)
PRÉSIDENT OBIANG N'GUEMA BASOGO (GUINÉE EQUATORIALE)
JOHN KERRY, US SECRETARY OF STATE
GEORGE OSBORNE, CHANCELLOR OF THE EXCHEQUER
YAYI BONI PRÉSIDENT DE L'UNION AFRICAINE
DLAMINI ZUMA, PRESIDENTE DE LA COMMISSION (UNION AFRICAINE)
JEAN CLAUDE JUNKER PRÉSIDENT DE LA COMMISSION UNION EUROPÉENNE
NAJAT VALLAUD BELKACEM, MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE
CHRISTOPHE CAMBADELIS PREMIER SECRETAIRE DU PS FRANÇAIS
STÉPHANE LE FOLL PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT (MINISTRE DE L'AGRICULTURE)
SÉGOLÈNE ROYAL, MINISTRE DE L'ECOLOGIE
PRÉSIDENT DE L'UNION EUROPÉENNE PARLEMENT DE STRASBOURG (DÉPUTES EUROPÉENS) STRASBOURG DÉPUTES FRANÇAIS (PALAIS BOURBON)
SÉNATEURS FRANÇAIS (PALAIS DU LUXEMBOURG)
CONGRES AMÉRICAIN (CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS ET SÉNATEURS AMÉRICAINS)
COMMONS GRANDE BRETAGNE (DÉPUTES ANGLAIS)
BUNDESTAG (German Federal Diet) PARLEMENT ALLEMAND
MICHEL KAFANDO, PRESIDENT DE LA TRANSITION BURKINA FASO