Le 17 août 2012 par NORD SUD - Dans cet entretien qu’il nous a accordé, le président par intérim du Front populaire ivoirien, Miaka Ouretto,
assure que son parti ne se sent pas concerné par les appels à la retenue de la Commission dialogue, vérité et réconciliation.
Le Fpi doit marquer une rupture avec le langage ambigu, selon un conseiller du président de la Cdvr. Quelle suite accordez-vous à cette interpellation ?
Je ne pense pas que ce soit une interpellation. Quand on dit ce genre de choses, il faut citer au moins un propos pour illustrer sa pensée.