Côte d’Ivoire/La vérité sort enfin : Le Ministre Hubert Oulaye désigne son bourreau devant les juges
Par IvoireBusiness/ Débats et Opinions - Côte d’Ivoire. La vérité sort enfin. Le Ministre Hubert Oulaye désigne son bourreau devant les juges.
LU POUR VOUS
HUBERT OULAYE DÉSIGNE SON BOURREAU DEVANT LES JUGES: "C'EST AFFI N GUESSAN QUI M A DÉSIGNÉ ET CONDUIT À MON ARRESTATION PAR LA DTS"
Intervention de HUBERT OULAYE au procès :
«Je suis absolument étranger à ces accusations que je trouve farfelues.
Á la suite de la crise post-électorale, je suis parti de la Côte d’Ivoire le 17 avril 2011 pour me réfugier au Ghana, à l’instar de tous ceux qui fuyaient les répressions menées par le pouvoir actuel contre les proches du Président Laurent Gbagbo.
Après 3 ans d’exil, je suis rentré en Côte d’Ivoire, le 30 novembre 2014 et j’ai repris mes activités politiques dans mon parti le Fpi, en ma qualité de président du Comité de contrôle.
Sur la vision du parti et sur certains aspects, nous sommes rentrés en conflit avec Mr Affi N’Guessan. Sur ces divergences de vue qui pouvaient être aplanies dans le cadre de nos textes, avec ampliations faites au ministre de l’Intérieur et le Procureur général, Mr Affi n’a eu d’autres recours que de m’adresser une lettre m’interdisant de me rendre au 3ème congrès extraordinaire qui s’est tenu à Mama, tel que décidé par le parti, après l’interdiction du 4ème congrès par voie judiciaire, à la demande de Mr Affi.
Ayant donc participé au dit congrès, j’ai été arrêté après le congrès de Mama, le 4 mai 2015. De retour au pays, je rappelle que j’ai passé 6 mois à Abidjan et je ne suis pas resté silencieux et c’est 6 mois après que j’ai a été arrêté. Vous comprendrez Mr le président, que j’ai été de façon illégale et brutalement arrêté.
Et c’est à la Dst qu’on m’a signifié que je serais mêlé à une attaque qui a eu lieu le 8 juin 2012 à Taï. Mr le président, si ma complicité dans les faits étaient aussi avérés, pourquoi on ne m’a pas délivré de mandat d’arrêt à mon arrivée à Abidjan ?
Ces questions au cœur du débat. Par conséquent, si du 8 juin 2012 et au 4 juin 2015, période des enquêtes préliminaires, rien ne m’a été signifié, cela signifie qu’il n’y a rien contre ma personne.
Je suis absolument étranger à ce type d’attaques et ces accusations que je trouve farfelues. Je n’ai jamais soutenu qui que ce soit, ni en argent, ni en esprits. Je n’ai jamais commis de crimes de sang. Ni directement, ni par personne interposée. Les accusations qui ont été produites à la Dst ne permettent pas de soutenir de telles allégations de crimes ou de complicité d’assassinat.
Selon un rapport de la Dst, des réfugiés Libériens auraient attaqué une patrouille des agents de l’Onuci et que j’aurais financé à coups de millions un des chefs. Mais comble de fait, la Dst ne présente aucun procès verbal d’audition de ceux qui disent avoir reçu de l’argent de mes mains. Comment justifier que la Dst ne produise pas une seule pièce à charge. Alors question, est-ce que ces actes existent ? Non parce que la Dst qui est quand même le plus haut service de renseignements, n’est pas en mesure de présenter des procès verbaux.
En plus, comment la Dst peut-elle m’attribuer un contact téléphonique qui aurait été trouvé sur un des réfugiés. Enfin la Dst dit que j’ai utilisé un contact pour coordonner des attaques avec des présumés complices. Mais pourquoi la Dst ne fournit pas un répertoire des appels passés avec mes présumés interlocuteurs ?
J’en conclus que les allégations de la Dst, fondées sur un numéro de téléphone ne sauraient prospérer. D’où la Dst tire-t-elle cette accusation si elle n’a aucun PV des faits allégués. En plus, aux accusations non fondées, s’ajoutent les démentis des présumés complices que la Dst a interrogés.
Mr le président, je n’ai jamais remis de l’argent à qui que ce soit ou être complice de quoi que ce soit. Il n’y a jamais eu de mandat d’arrêt contre moi.
En réalité, j’ai été arrêté après le congrès de Mama. Curieusement avant la tenue du Congrès, j’ai reçu une lettre interpellatrice de Mr Affi m’interdisant de me rendre à ce congrès. C’est trois jours après la tenue du Congrès que j’ai été arrêté sur demande de Mr Affi, c’est ça qui est la vérité.
J’invite donc la Cour à rechercher la vérité et à dire le droit. Je n’ai jamais eu l’intention de projet criminel. JE CLAME MON INNOCENCE.»
Léo Côte D'Ivoire IV et Excellence Zadi
LU POUR VOUS
LA VÉRITÉ SORT ENFIN. LE MINISTRE HUBERT OULAYE DÉSIGNE EN MONDOVISION SON BOURREAU DEVANT LES JUGES
Il accuse ouvertement l'Ex-président du FPI Affi N'Guessan le Chat du Moronou, d'avoir orchestré son arrestation: Nous vous présentons ici et maintenant son Intervention au procès d'hier :
«Je suis absolument étranger à ces accusations que je trouve farfelues.
Á la suite de la crise post-électorale, je suis parti de la Côte d’Ivoire le 17 avril 2011 pour me réfugier au Ghana, à l’instar de tous ceux qui fuyaient les répressions menées par le pouvoir actuel contre les proches du Président Laurent Gbagbo.
Après 3 ans d’exil, je suis rentré en Côte d’Ivoire, le 30 novembre 2014 et j’ai repris mes activités politiques dans mon parti le Fpi, en ma qualité de président du Comité de contrôle.
Sur la vision du parti et sur certains aspects, nous sommes rentrés en conflit avec Mr Affi N’Guessan. Sur ces divergences de vue qui pouvaient être aplanies dans le cadre de nos textes, avec ampliations faites au ministre de l’Intérieur et le Procureur général, Mr Affi n’a eu d’autres recours que de m’adresser une lettre m’interdisant de me rendre au 3ème congrès extraordinaire qui s’est tenu à Mama, tel que décidé par le parti, après l’interdiction du 4ème congrès par voie judiciaire, à la demande de Mr Affi.
Ayant donc participé au dit congrès, j’ai été arrêté après le congrès de Mama, le 4 mai 2015. De retour au pays, je rappelle que j’ai passé 6 mois à Abidjan et je ne suis pas resté silencieux et c’est 6 mois après que j’ai a été arrêté. Vous comprendrez Mr le président, que j’ai été de façon illégale et brutalement arrêté.
Et c’est à la Dst qu’on m’a signifié que je serais mêlé à une attaque qui a eu lieu le 8 juin 2012 à Taï. Mr le président, si ma complicité dans les faits étaient aussi avérés, pourquoi on ne m’a pas délivré de mandat d’arrêt à mon arrivée à Abidjan ?
Ces questions au cœur du débat. Par conséquent, si du 8 juin 2012 et au 4 juin 2015, période des enquêtes préliminaires, rien ne m’a été signifié, cela signifie qu’il n’y a rien contre ma personne.
Je suis absolument étranger à ce type d’attaques et ces accusations que je trouve farfelues. Je n’ai jamais soutenu qui que ce soit, ni en argent, ni en esprits. Je n’ai jamais commis de crimes de sang. Ni directement, ni par personne interposée. Les accusations qui ont été produites à la Dst ne permettent pas de soutenir de telles allégations de crimes ou de complicité d’assassinat.
Selon un rapport de la Dst, des réfugiés Libériens auraient attaqué une patrouille des agents de l’Onuci et que j’aurais financé à coups de millions un des chefs. Mais comble de fait, la Dst ne présente aucun procès verbal d’audition de ceux qui disent avoir reçu de l’argent de mes mains. Comment justifier que la Dst ne produise pas une seule pièce à charge. Alors question, est-ce que ces actes existent ? Non parce que la Dst qui est quand même le plus haut service de renseignements, n’est pas en mesure de présenter des procès verbaux.
En plus, comment la Dst peut-elle m’attribuer un contact téléphonique qui aurait été trouvé sur un des réfugiés. Enfin la Dst dit que j’ai utilisé un contact pour coordonner des attaques avec des présumés complices. Mais pourquoi la Dst ne fournit pas un répertoire des appels passés avec mes présumés interlocuteurs ?
J’en conclus que les allégations de la Dst, fondées sur un numéro de téléphone ne sauraient prospérer. D’où la Dst tire-t-elle cette accusation si elle n’a aucun PV des faits allégués. En plus, aux accusations non fondées, s’ajoutent les démentis des présumés complices que la Dst a interrogés.
Mr le président, je n’ai jamais remis de l’argent à qui que ce soit ou être complice de quoi que ce soit. Il n’y a jamais eu de mandat d’arrêt contre moi.
En réalité, j’ai été arrêté après le congrès de Mama. Curieusement avant la tenue du Congrès, j’ai reçu une lettre interpellatrice de Mr Affi m’interdisant de me rendre à ce congrès. C’est trois jours après la tenue du Congrès que j’ai été arrêté sur demande de Mr Affi, c’est ça qui est la vérité.
J’invite donc la Cour à rechercher la vérité et à dire le droit. Je n’ai jamais eu l’intention de projet criminel. JE CLAME MON INNOCENCE.»
Leo Côte d'Ivoire, Millé Claude Mrandjo Écrivain-Essayiste, Président de la Coalition des Patriotes Ivoiriens en Exil section Afrique Centrale(COPIE). Vice-president du #Rezopanacom.