Côte d'Ivoire: "Dramane Ouattara, un admirateur d'Hitler", Par Isaac Pierre Bangoret
Par IvoireBusiness/ Débats et Opinions - Côte d'Ivoire. "Dramane Ouattara, un admirateur d'Hitler", Par Isaac Pierre Bangoret.
DRAMANE OUATTARA UN ADMIRATEUR D’HITLER
Il est bon de souligner qu’aucun Africain ne peut être partout chez lui quand il est muni d’une ARME, au moyen de laquelle il impose aux autres son dictat. Il sera bien accueilli partout où il s’emploiera à respecter les lois, les us et coutumes des peuples qui lui accordent l’hospitalité. Ne prétendons pas être plus royalistes que les « rois » ; les européens, « pères de la démocratie », qui ont des lois qui régissent le flux migratoire de leurs populations. Dramane Ouattara et des personnalités françaises dont Sarkosy, sont, paradoxalement, des fils spirituels d’Adolf Hitler, le bourreau de leur nation. Il suffit, pour s’en rendre compte, d’analyser les méthodes politico-militaires utilisées par ces derniers pour conquérir le pouvoir d’État en Côte d’Ivoire. Les Nazis (tous les Allemands n’étaient pas des Nazis) traversent la Meuse un 13 mai 1940. Le 14 juin 1940, ils entrent dans Paris et une ligne de démarcation divise la France en deux parties dont une occupée par les troupes d’Hitler. Le 19 septembre 2002, les rebelles de Dramane Ouattara venus, dans leur majorité, du Grand Nord, tentent de contrôler les villes d’Abidjan, de Bouaké et Korhogo alors que le président Laurent Gbagbo est en visite officielle en Italie. Repoussés par les soldats fidèles à la République ivoirienne, ils s’emparent de la partie nord de la Côte d’Ivoire. Les partisans français de Dramane Ouattara se dépêchent d’envoyer du renfort et 4000 soldats français, à l’image des Nazis, tracent une ligne de démarcation qui sépare le nord du sud de notre pays. Après avoir divisé la France, Hitler s’emploie à diviser les Français, à faire disparaître leurs armoiries. Après avoir divisé la Côte d’Ivoire, les troupes de Ouattara font croire aux populations ivoiriennes, au Président Gbagbo qu’elles sont favorables à un dialogue ivoiro-ivoirien, et mènent, parallèlement, une guerre souterraine pour conquérir coûte que coûte le pouvoir d’État. Les années 2010, 2011 révèleront la division profonde du pays qui n’est que l’oeuvre de Ouattara dont les sujets rusaient, en parlant de réconciliation et de paix ; nous avons de nombreuses images où Blé Goudé et la rébellion de Ouattara se réjouissaient ensemble. Des intellectuels (écrivains, journalistes…), des hommes politiques, des officiers, des civils armés, corrompus par Ouattara, se dévoilent au moment du contentieux électoral et marquent ainsi une nette division du pays, tant sur le plan territorial que sur le plan politico-militaire. Le peuple ivoirien, devenu la risée de tous, est alors traumatisé, esseulé, sur les routes de l’exil; notre hospitalité étant désormais synonyme de stupidité, de naïveté. Nos richesses convoitées par les puissants de la terre nous font connaître les prémices de l’holocauste. Le 24 octobre 1940, Hitler rencontre, en effet, Pétain à la gare de Montoire et tous les deux jettent les bases d’une politique de collaboration avec l’occupant. La rencontre de Hitler l’africain (Dramane Ouattara) et de Pétain (Bédié,) au Golf Hotel, jettera les bases qui conduiront à l’appel de Daoukro où le PDCI-RDA (l’or d’Houphouët) est vendu à vil prix à l’occupant. Les partisans du héros Pétain, vainqueur de la bataille de Verdun, durant la première guerre mondiale, prétendaient que sa collaboration avec Hitler avait sauvé la France d’une ruine certaine. Des écrivains comme Lucien Rebatet deviennent de fervents admirateurs du fascisme, du nazisme et souhaitent une collaboration étroite avec l’occupant. En Côte d’Ivoire, des intellectuels tiennent le même discours, Bédié (Pétain) aurait évité le pire à notre pays. Les héros, d’une fois, qui avaient fait de leur plume une arme contre toute agression extérieure se mettent à louer, sous un pays occupé, le fascisme, le nazisme des partisans du rattrapage ethnique, après avoir été de farouches combattants de l’identité nationale ; un combat noble puisque les résistants français sous De Gaulle étaient fiers de combattre pour la liberté de leur Patrie occupée. L’identité nationale est le cordon ombilical qui lie un peuple à la sagesse de ses pères. Sans cette identité que nous pouvons appeler ivoirité, camerounité etc… nous n’avons aucun repère pour construire un futur conforme à nos aspirations. Cette carence
culturelle est le tourment de nos frères afro-américains, quand les américains d’origine irlandaise, britannique retournent toujours vers leurs terres ancestrales. Les Hébreux, communément appelés erronément Juifs, doivent leur survie à leur histoire, si nous nous en tenons au contexte purement politique. Sous Pétain, collaborateur d’Hitler, disparaissent les armoiries de la France sauf le drapeau tricolore. La devise : « Liberté, Égalité, Fraternité » devient : « Travail, Famille, Patrie », Le régime de Pétain sous Hitler s’appuie sur des valeurs traditionnelles, et sur l’Église dont l’hégémonie politico-spirituelle sur l’Europe fut contestée par les humanistes, qui conquirent des droits universels dont nous bénéficions tous. Le conservatisme prôné par Pétain, sous le regard vigilant d’Hitler, avait pour but de freiner le progrès de la France et de faire de son peuple de simples ouvriers et habiles artisans au service des Nazis. Les femmes n’ont pas le droit de voter. Le mari est seul habiliter à administrer les biens de la communauté, il peut les aliéner, les hypothéquer, les vendre sans le concours de la femme. Transféré dans le contexte politico-social ivoirien, Hitler l’africain (Ouattara) et Pétain (Bédié) décident d’abroger l’article 35, de modifier la Constitution ivoirienne, et par ricochet notre devise nationale, qui serait certainement devenue : « un seul peuple, un seul but, une seule foi » puisque « tout Africain qui conquiert le pouvoir au moyen des armes devrait se sentir partout chez lui en Afrique ». Le référendum ne se fait pas tout de suite (en 2011) parce que le non des populations à la modification de l’article 35 aurait démontré que Ouattara était un usurpateur. Il lui fallait donc falsifier d’abord les listes électorales, maitriser un certain nombre de facteurs. Effacer les armoiries de notre pays, modifier notre constitution sera la première tâche de Ouattara s’il s’installe de nouveau, au moyen de la force, à la tête de notre pays. S’attaquer à nos armoiries c’est effacer notre identité nationale, nos repères historiques et culturels. Ce fut la première mission d’Hitler en France. En Côte d’Ivoire le fasciste Ouattara a cherché évidemment à contrôler non seulement le monde politique, économique, mais aussi la cellule familiale, en adoptant une loi qui fait de la femme le chef de famille au même titre que l’homme. Si en France Pétain sous Hitler concède tout pouvoir à l’homme, en Côte d’Ivoire Ouattara (l’Hitler africain) le concède à la femme. Quel impact ont ces lois sur le devenir des deux sociétés ? En France les résistants étaient, en général, des hommes envoyés au front. Une fois faits prisonniers, sous la torture ils pouvaient brader leur patrimoine foncier au régime nazi qui était en train d’annexer l’Europe. En Côte d’Ivoire, l’Hitler africain (Ouattara) après avoir poussé les opposants à l’exil, fait des femmes des chefs de famille. Ces dernières, sous la menace, au moyen de la séduction, ou par les liens du mariage avec les nazis africains, partisans de Ouattara, peuvent, de cette manière, brader à l’occupant le patrimoine foncier de leurs familles respectives, de leur conjoint, sans le concours de ce dernier. Ouattara et ses Nazis ont choisi d’annexer les terres riches ivoiriennes, d’en être ainsi les propriétaires. En France Hitler choisit avec l’accord de Pétain d’exproprier subtilement les riches hébreux en adoptant la Loi du 3 et du 4 octobre 1940 qui stipulent ceci : « Est regardé comme juif, pour l’application la présente loi, toute personne issue de trois grands-parents de race juive ou de deux grands-parents de même race, si le conjoint est lui-même juif. Les ressortissants étrangers de race juive pourront à dater, de la promulgation de la présente loi, être internés dans des camps spéciaux par décision du préfet de la résidence ». Pour exproprier les riches ivoiriens, pour s’approprier leur patrimoine foncier, Hitler l’Africain (Ouattara) adopte la Loi sur l’apatridie. Après 55 ans d’indépendance, il y a, selon lui, des Africains qui ignorent leurs origines. Le but de cette loi est le repeuplement des zones de notre pays qui ont été victimes du génocide de ses Nazis qui épouseront les veuves ou les femmes restées seules et s’accapareront « légalement » les terres ivoiriennes. La loi sur les juifs fait penser à l’emprisonnement tacite de tous les intellectuels ivoiriens, gardiens de nos terres, d’éminents juristes, éclaireurs des consciences africaines, ou de
riches propriétaires fonciers. Le président Gbagbo est prisonnier dans la geôle de Fatou Bensouda, sous les recommandations des négriers français et africains. Tout intellectuel qui défend l’identité nationale ivoirienne, la souveraineté de ce pays, doit être assassiné ou interné dans des camps spéciaux par seule décision du ministre de l’intérieur, sans aucun procès : le camp pénal de Bouaké. Ainsi la France des droits universels de l’homme ferme, volontairement, les yeux sur toutes ces exactions entretenues par un immigré, un français d’origine hongroise Sarkosy et un immigré africain, un ivoirien d’origine burkinabé qui rêvent de faire sauter les frontières administratives des États, afin que la Finance internationale ait la primauté sur le Droit international, sur la politique, sur le Droit des Nations souveraines. La destruction de la Lybie a été planifiée par Sarkosy pour favoriser l’immigration des peuples africains vers l’Europe, afin d’affaiblir ainsi le pouvoir des syndicats, et réduire le pouvoir d’achat des européens, à cause d’une main d’oeuvre africaine et asiatique à bon marché. L’exil des Syriens s’inscrit dans ce même schéma politique. Si les Ivoiriens ne luttent pas ensemble pour freiner « cette marche victorieuse » de la Finance internationale, des fascistes de notre temps ; Sarkosy et Dramane Ouattara, ils se retrouveront, eux-aussi, plus nombreux sur les routes de l’exil. Les mandingues qui ont confié à ce nazi africain (Ouattara) leurs destinées ne font que se fourvoyer. La Finance internationale pourrait ainsi se sentir partout chez elle dans le monde et non ces africains qui, à vue d’oeil, sont condamnés à aider le Christ à porter sa croix à la suite de Simon de Cyrène (Que celui qui a des oreilles entende). Notre combat en Côte d’Ivoire ne se limite donc pas à des listes électorales, au choix d’un candidat dans les urnes, mais à notre propre survie dans un nouveau monde où est prôné le darwinisme racial et social ; les plus faibles doivent disparaître de la surface du monde parce que le monde ne suffit plus à tous les hommes. Le nazisme et le fascisme sont naturellement de retour, c’est un terrain propice à leur éclosion. C’est dommage de voir nos autorités politiques ivoiriennes corrompues creuser la tombe de leurs propres fils, de leur propre descendance, en tordant le cou au droit, en inventant des termes insensés. Pétrifiés par la jurisprudence invoquée par Ouattara qui a été battue en brèche, l’on parle désormais d’une candidature dérivée, afin de substituer simplement le terme jurisprudence. Il n’y a vraiment rien de nouveau sous le soleil ! Hier vos pères étaient des négriers, vous leur emboîtez le pas aujourd’hui…
Une contribution par Isaac Pierre BANGORET (Écrivain).