URGENT URGENT: Un mystérieux commando encercle la ville d'Abidjan

Le 30 août 2012 par IVOIREBUSINESS – Selon une source très crédible, niveau A1, le commando invisible ou commando armé non identifié, aurait bouclé militairement la ville d’Abidjan depuis le 24 août dernier.

Une du quotidien LG infos du 30/08/2012.

Le 30 août 2012 par IVOIREBUSINESS – Selon une source très crédible, niveau A1, le commando invisible ou commando armé non identifié, aurait bouclé militairement la ville d’Abidjan depuis le 24 août dernier.

Information confirmée ce matin par notre confrère LG INFOS sous le titre « Le mystérieux commando encercle Abidjan).
Selon d’autres sources militaires codifiées de niveau (A1), cette stratégie militaire s'apparente à la phase décisive et finale de ce commando invisible, qui fait parler de lui depuis plusieurs mois sur le terrain militaire en Côte D'IVOIRE!
Il est à la base des attaques de Yopoupon, du camp d’Akouedo, d’Abengourou, de Toulepleu, de Dabou, de Jacqueville, de Taï, etc…, avec à chaque fois, la prise d’armes, de minutions, de véhicules militaires aux FRCI, et la libération de prisonniers civils.
La particularité de ce commando, c’est qu’il disparaît dans la nature comme il est arrivé.
D’où appellation, commando invisible ou commando mystérieux.
Par ailleurs, une source crédible provenant d'un membre influent du RDR, collaborateur très proche du secrétaire général du "RDR", confirme sans ambages la thèse selon laquelle "SORO KIGBAFORI GUILLAUME" aurait donné carte blanche depuis le 24 août aux "DOZOS"(chasseurs traditionnels malinkés), afin qu'ils entrent officiellement en action sur le terrain militaire En CÔTE D'IVOIRE.
Si ces informations recoupées par nos sources se confirment dans les faits, des jours très sombres attendent les ivoiriens. Une escalade militaire de haute intensité, jamais atteinte, pourrait ainsi avoir lieu sur les bords de la lagune ébrié entre combattants armés non identifiés et soldats FRCI -dozos et mercenaires burkinabé d’autre part, avec comme enjeu, la chute du régime Ouattara et la prise du pouvoir par les armes.
Nous y reviendrons.

Catherine Balineau avec Yves Bouazo