Urgent - Dictature Ouattara : Jean Yves Dibopieu, torturé à la DST, serait entre la vie et la mort [Death Row]
Par Ivoirebusiness – Sa mort serait imminente dans les sous-sols de la DST. Les organes vitaux du leader de la galaxie patriotique seraient atteints.
Photo: Le Commandant Abéhi et Jean Yves Dibopieu.
Notre confrère « Le Nouveau Courrier » (18/09) met carrément les pieds dans le plat en affirmant que le leader de la galaxie patriotique, Jean Yves Dibopieu, prisonnier politique du régime Ouattara, est actuellement entre la vie et la mort. Son sort se jouerait en ce moment dans les sous-sols de la direction de la surveillance du territoire du régime Ouattara, où il subirait des traitements atroces et inhumains.
Certains de ses organes vitaux seraient même atteints selon notre confrère.
IvoireBusiness lance un appel à l’opinion nationale et internationale, face au drame que vit cet autre leader patriotique, au lendemain de la mort du leader de la centrale syndicale, Mahan Gahé Basile, à la polyclinique la Pisam d’Abidjan, après de longs mois dans les prisons du régime Ouattara. Lui aussi avait été tortué, dans l’indifférence générale.
Si rien n’est fait, l’opinion sera complice de la mort par torture de Jean Yves Dibopieu, dans les geôles du régime Ouattara.
Pour rappel, Jean Yves Dibopieu, ancien Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (Fesci), avait été arrêté par la sécurité ghanéenne le 05 février 2013 à Accra au Ghana, en compagnie de l’ex-Chef du Groupe de l'escadron blindé (Geb) de la Gendarmerie d'Agban, le Commandant Abehi.
Ils avaient ensuite été extradés le même jour sur Abidjan. Selon nos sources, il s’agissait d’un enlèvement en bonne et due forme par voie terrestre de ces deux proches du régime Gbagbo, à la demande des autorités ivoiriennes. Une source proche du ministère d'Etat, ministre de l'Intérieur et de la sécurité avait indiqué qu''ils avaient été récupérés à la frontière NOE par la sécurité ivoirienne, menottés et à bord de véhicules 4X4 aux vitres teintées.
Nous y reviendrons.
Eric Lassale