A MONSIEUR LE SECRETAIRE GENERAL DE L’ONU : « Nous défendrons Laurent GBAGBO, car c’est lui que nous avons choisi »

Le 05 février 2011 par IvoireBusiness - Vos troupes à Abidjan, respectant vos consignes, ont décidé de nous faire la guerre. Comme le leur ont recommandé vos complices, ils vont bientôt en découdre

Le Président de la République Laurent Gbagbo et les généraux de son armée.

Le 05 février 2011 par IvoireBusiness - Vos troupes à Abidjan, respectant vos consignes, ont décidé de nous faire la guerre. Comme le leur ont recommandé vos complices, ils vont bientôt en découdre

avec nos soldats. Vos chefs, ceux au service de qui vous êtes l’ont décidé : Vous devez installer au pouvoir, comme ils le lui ont promis depuis 15 ans, Alassane Dramane OUATTARA, le vassal qu’ils se sont choisi. Peu importe si de nombreux Ivoiriens, vont mourir. De toute façon vous savez qu’ils n’apprécient pas votre protégé, et que le score qu’il a réalisé aux élections, l’a été “grâce“ aux malversations, intimidations, brutalités et sévices de tous ordres, qu’il a érigé en mode d’expression démocratique ; Autant les exterminer afin que votre marionnette n’ait pas de problèmes dans son travail. Le pays vous pourrez le repeupler plus tard.
La méthode choisie par votre représentant sur place et son contrôleur, le Président voisin du nord, c’est l’affrontement armé. Le constat que nous avons fait, après l’essai qui a surpris quelques journalistes de votre bord, le 16 décembre lors de la marche pacifique de SORO et ses sbires, est que vos soldats donnent dans la tricherie. Ils simulent l’interposition pour mieux tirer sur nos hommes : Forces de l’ordre et populations civiles. Malgré leur retrait du territoire national demandé par le gouvernement Ivoirien, ils se pavanent sur nos routes et rues, comme en pays conquis, provoquent des attroupements, tirent sur des populations aux mains nues et s’attaquent aux Forces De Sécurité, alors que celles-ci sont en service de maintien de l’ordre. Toutes choses qui donnent une impression de lâcheté.
Pourtant, nous étions persuadés que, l’arbitre du monde que vous êtes, si vous étiez dans l’obligation d’entrer en belligérance avec une armée, quelle qu’elle soit, vous auriez l’honnêteté de lui déclarer ouvertement la guerre. Ces temps-ci, vos soldats convoient frauduleusement dans nos villes des mercenaires, des armes et les fameux 2000 casques bleus envoyés en renfort – en réalité les soldats Burkinabés dépêchés par le très dévoué Blaise COMPAORE – à bord de voitures banalisés. En somme les Casques bleus ont épousé même les attitudes des rebelles : surprendre, tricher, combattre en guérilla. Le faisant, ils s’évertuent à nous faire occulter le peu de considération que nous avons encore, pour l’Organisation mondiale championne dans la défense des intérêts des grandes puissances, que vous dirigez.
Comme en 1961, pour le bon vouloir d’un blanc, l’ONU à travers des noirs, veut enlever, humilier et tuer un Chef d’Etat noir, patriote, qui a commis la lourde faute de défendre la souveraineté de son pays.
Monsieur le Secrétaire Général, que rien ne vous effraie ni ne vous arrête. Obtempérez aux ordres des poids lourds de l’organisation qui vous emploie ; Ne sont-ce pas des soutiens sûrs pour les prochaines échéances électorales Onusiennes ? Les Chefs d’Etat Africains qui par orgueil et/ou par solidarité auraient hésités, n’ont-ils pas tous dégainés, attendant le top du “Grand Chef Blanc“ pour se ruer à la recherche de Laurent GBAGBO, l’homme qui refuse de se laisser soumettre ? N’êtes-vous pas encourageé, au plan local par un ancien Chef d’Etat et de hauts dignitaires du plus vieux parti politique de Côte d’Ivoire ? Accomplissez votre mission. Que les soldats mis à votre disposition par vos satellites viennent prêter main forte à ceux déjà sur place pour nous exterminer tous. De toute façon aucun Ivoirien digne n’a l’intention d’accepter le pantin que nous propose comme Président de la République, le “Grand Chef Blanc“.
Avec nos mains nues nous défendrons notre pays. Nous défendrons le Président élu malgré les tricheries de votre filleul et vos envoyés. Nous défendrons Laurent GBAGBO, car c’est lui que nous avons choisi.
LA CÔTE D’IVOIRE C’EST LA CÔTE D’IVOIRE.

N’oubliez pas qu’il restera toujours un Ivoirien qui un jour vous demandera des comptes.

GBONGBRO Ahikpa Jérôme

De:
"gbongbroahikpajrme@yahoo.fr"