Christian Vabé (Président du Rpci-Ac) : « Il n’y aura pas d’élections présidentielles le 25 octobre car la dictature de Ouattara est une honte pour l’Afrique. Le peuple ivoirien saura y mettre fin »
Par IvoireBusiness - « Il n’y aura pas d’élections présidentielles le 25 octobre car la dictature d’Alassane Dramane Ouattara est une honte pour l’Afrique. Le peuple ivoirien saura y mettre fin pour que la Côte d’Ivoire retrouve sa fierté».
Déclaration du Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire Alternative crédible (RPCI-AC) du 14 octobre 2015
Le RPCI-AC tient à informer l’opinion nationale et internationale qu’il n’y aura pas d’élection présidentielle en Côte d’Ivoire le 25 octobre 2015, mais une transition politique pour mettre fin au rattrapage ethnique et tribal, à la justice des vainqueurs, et remettre le pays sur les rails.
Pour le RPCI-AC, les conditions d’une élection juste et équitable ne sont pas réunies. Les candidats ne peuvent même pas aller battre campagne où ils veulent, leurs affiches sont systématiquement déchirées dans beaucoup de villes. L'insécurité est extrêmement inquiétante, les assassinats et agressions se multiplient sans qu'aucune enquête ne soit diligentée, le désarmement des militaires et milices pro-Ouattara n'est pas achevé. Ceux-ci continuent à ce jour à se payer sur la bête. Les opposants sont interdits d’accès aux médias d’Etats et des régions Nord et Centre du pays. Aucun candidat à par Alassane Ouattara n’est à ce jour allé battre campagne à Bouaké, Korhogo, Seguela, Odienné, Boundiali, Ferkessedougou, San Pedro, Mankono, Bouna, etc…Tout le processus électoral a déjà été décidé par Alassane Ouattara en personne, qui refuse catégoriquement de recevoir son opposition malgré les appels répétés au dialogue de cette dernière.
Après avoir violé la Constitution et marché sur son article 35 alors qu’il n’est pas éligible à l’élection présidentielle, il s’apprête à opérer un hold up électoral avec des élections truquées d’avance.
Mais le vaillant peuple de Côte d’Ivoire saura se soulever comme un seul homme et lui faire barrage, comme l’a fait le peuple burkinabé face au RSP et au Général Dienderé.
Le RPCI-AC tient à informer l’opinion nationale et internationale que le peuple de Côte d’Ivoire en a assez d’un régime où le pouvoir politique, administratif, militaire, et économique, est dévolu aux personnes du nord.
Un régime dans lequel les nominations ne se font pas sur la base du mérite, mais sur une base ethnique et religieuse : le rattrapage ethnique.
Le peuple ivoirien en a assez que tous les postes stratégiques du pays, qu’ils soient ministériels, Hiérarchie militaire, Haute administration, haute finance, préfectoraux, et les ambassades de Côte d’Ivoire à l’étranger, soient aux mains des ressortissants du nord. Les autres ethnies étant systématiquement mises de côté.
Le peuple ivoirien en a assez que même les candidats admis aux concours administratifs soient originaires du Nord de la Côte d’Ivoire. Même chose pour tous les marchés publics qui sont attribués de gré à gré aux nordistes.
Les banques n’échappent pas au rattrapage ethnique. Il leur est interdit d’accorder des prêts aux personnes et entreprises aux mains des non originaires du nord. Un scandale en plein 21e siècle.
Des banques comme la BFA ont été purement et simplement dissoutes, les clients spoliés de leurs avoirs, tout simplement parce qu’elles sont soupçonnées d’être proches des barons du parti de Laurent Gbagbo, et de détenir leurs avoirs.
Pour le RPCI-AC, la dictature ethnique et tribale d’Alassane Dramane Ouattara en plein 21e siècle est une honte pour l’Afrique et une humiliation pour la Côte d’Ivoire et son peuple.
A l’heure où le monde entier célèbre la révolution burkinabé et la fierté qu’elle fait à l’Afrique toute entière, la Côte d’Ivoire sombre dans une dictature de rattrapage ethnique de la honte, et dans l’obscurantisme des milices tribales Dozos et voyous microbes, avec son lot de sacrifices humains et crimes rituels et sataniques. Le peuple ivoirien n’a pas besoin de ça. Il croyait que Ouattara du haut de sa chair d’économie et de son PHD en économie, voulait tant le pouvoir pour développer la Côte d’Ivoire. Il s’est trompé car Ouattara voulait en réalité ce pouvoir pour assouvir sa soif de haine et de vengeance, violer la Constitution sur laquelle il a prêté serment deux fois, diviser et détruire et piller la Côte d’Ivoire, faire mains basses sur ses richesses, faire des ivoiriens des apatrides en prison ou en exil, et les réduire à la mendicité en les spoliant de tous leurs biens, pour mieux les soumettre.
Alassane Ouattara en cinq ans de pouvoir a commis l’exploit de faire reculer la Côte d’Ivoire de 50 ans en arrière.
Pour le RPCI-AC, il ne fait aucun doute que la Côte d’Ivoire retrouvera bientôt sa fierté et son lustre d’antan, car le peuple qui a déjà démontré sa puissance saura mettre fin à la parenthèse d’Alassane Dramane Ouattara comme l’a fait le peuple Burkinabé avec Blaise Compaoré et les Généraux Dienderé et Djibrill Bassolet, en opérant une double révolution victorieuse.
Dieu tout puissant accordera très bientôt la victoire au vaillant peuple de Côte d’Ivoire face à la tyrannie, au mensonge, et à l’imposture, et la vérité triomphera. Le régime moribond et tribaliste d’Alassane Ouattara sera frappé de plein fouet par une révolution démocratique et il tombera à coup sûr.
C’est la raison pour laquelle il n’y aura pas d’élection présidentielle le 25 octobre 2015.
Le RPCI-AC lance un Appel au peuple de Côte d’Ivoire et le rassure que ses efforts et ses différentes mobilisations, de même que celles à venir, ne sont pas et ne seront pas vaines. Elles seront très bientôt couronnées de succès car elles permettront d’imposer une transition politique à Alassane Dramane Ouattara d’ici le 25 octobre 2015. Il en a déjà été décidé ainsi. Et il en sera ainsi…
Vive la Côte d’Ivoire
Vive la Constitution
Vive le printemps d’Afrique noire
Que Dieu bénisse et protège la Côte d’Ivoire
Fait à Genève le 14 octobre 2015
Pour le RPCI-AC
Christian Vabé
Président
AMPLIATIONS
PRESIDENT LAURENT GBAGBO ( COUR PENALE INTERNATIONALE LA HAYE)
FRANÇOIS HOLLANDE, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANCAISE (ELYSÉE)
BARACK OBAMA, PRESIDENT DES USA (MAISON BLANCHE)
VLADIMIR POUTINE, PRESIDENT DE LA FEDERATION DE RUSSIE
ALASSANE OUATTARA, PRESIDENT DE CÔTE D'IVOIRE
JACOB ZUMA, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SUD-AFRICAINE
CHARLES KONAN BANNY, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015
ESSY AMARA, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015
KOUADIO KONAN BERTIN, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015
CLAUDE BARTOLONE, PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE (PALAIS BOURBON)
MANUEL VALLS, PREMIER MINISTRE FRANCAIS (PRIMATURE)
DAVID CAMERON, PREMIER MINISTRE BRITANNIQUE (10 DOWNING STREET)
PRÉSIDENT MACKY SALL (SÉNÉGAL)
ANGELA MERKEL (CHANCELIÈRE ALLEMANDE)
PRÉSIDENT OBIANG N'GUEMA BASOGO (GUINÉE EQUATORIALE)
JOHN KERRY, US SECRETARY OF STATE
GEORGE OSBORNE, CHANCELLOR OF THE EXCHEQUER
YAYI BONI PRÉSIDENT DE L'UNION AFRICAINE
DLAMINI ZUMA, PRESIDENTE DE LA COMMISSION (UNION AFRICAINE)
JEAN CLAUDE JUNKER PRÉSIDENT DE LA COMMISSION UNION EUROPÉENNE
NAJAT VALLAUD BELKACEM, MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE
CHRISTOPHE CAMBADELIS PREMIER SECRETAIRE DU PS FRANÇAIS
STÉPHANE LE FOLL PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT (MINISTRE DE L'AGRICULTURE)
SÉGOLÈNE ROYAL, MINISTRE DE L'ECOLOGIE
PRÉSIDENT DE L'UNION EUROPÉENNE PARLEMENT DE STRASBOURG (DÉPUTES EUROPÉENS) STRASBOURG DÉPUTES FRANÇAIS (PALAIS BOURBON)
SÉNATEURS FRANÇAIS (PALAIS DU LUXEMBOURG)
CONGRES AMÉRICAIN (CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS ET SÉNATEURS AMÉRICAINS)
COMMONS GRANDE BRETAGNE (DÉPUTES ANGLAIS)
BUNDESTAG (German Federal Diet) PARLEMENT ALLEMAND
MICHEL KAFANDO, PRESIDENT DE LA TRANSITION BURKINA FASO
Sénatrice Claire Mc Caskill (Missouri)
Senator Tom Udall (New Mexico)
Senator Pat Roberts (Kansas)
Senator John Mac Cain (Arizona)
Senator Christopher Coons (Delaware)
Senator Mike Crapo (Idaho).