Côte d’Ivoire : Les Faits qui militent en faveur d'un hold up électoral au profit de M.Ouattara avec la bénédiction de l’ONU
Le 30 décembre 2010 par IvoireBusiness - Afin d’étayer ces fraudes, nous citerons six (6) faits réels qui ne sont qu’une infime partie des preuves de hold-up électoraux massifs
organisés par Ouattara et ses acolytes :
Le 30 décembre 2010 par IvoireBusiness - Afin d’étayer ces fraudes, nous citerons six (6) faits réels qui ne sont qu’une infime partie des preuves de hold-up électoraux massifs
organisés par Ouattara et ses acolytes :
1- Contrairement à la complicité des observateurs de l’Onuci, qui sont aveugles et aphones face aux agissements frauduleux et criminels du groupe Ouattara, le Chef des experts électoraux africains, Monsieur Jean-Marie Ngondjiban Gangté a livré à la presse ivoirienne et internationale les conclusions de sa mission qui sont sans appel : « les élections ne répondaient pas aux normes des critères généralement admis pour les élections libres, transparentes et équitables. Des irrégularités majeures ont été relevées dans les villes de Korhogo, Bouaké, Ségala, Tortia, Karango. Ce sont les vols des urnes, les refus du camp ADO d’accepter la présence des observateurs de la majorité présidentielle lors des dépouillements des urnes … »
Ces constats accablants établis par une mission d’observateurs africains, n’ont jamais été relayés par une certaine presse bourgeoise partiale, normalisée et qui participe à la campagne du hold-up électoral planifié en faveur d’ADO par l’impérialisme international et la France en particulier.
Dans ce même registre de mépris racial envers l’Afrique et les noirs, un journaliste français renchérit à propos des Observateurs africains en des termes irrespectueux : « Observateurs sortis d’on ne sait où ». Et, pourtant le groupe des experts électoraux africains est mandaté par l’Union Africaine et agrée par la CEI ivoirienne.
[…]
Comment expliquer que l’opinion internationale et ces pays du nord qui se proclament démocrates puissent soutenir les putschistes de septembre 2002 contre le président démocratiquement élu Laurent Gbagbo ?
Les impérialistes et l’Onuci ont refusé de désarmer les rebelles de la zone septentrionale avant les élections tout en exigeant leurs organisations. Ce plan d’imposer ADO président est ici un peu plus limpide car organiser les élections avec le fusil braquer sur la tempe de l’électeur du président Laurent Gbagbo est un crime organisé. Le mépris du noir est une fois de plus affirmé. En occident, personne n’aurait accepté de voter dans ces conditions mais pour les nègres d’Afrique c’est normal et acceptable aux yeux des impérialistes.
Le soutien inconditionnel de la France et de l’Onuci aux putschistes ivoiriens contre le président Laurent Gbagbo, est confirmé par un fin connaisseur de l’Afrique M. Philippe Evanno chercheur à la Sorbonne, directeur de l’Institut de Prospective Africaine. Il a notamment été formé par Jacques Foccart et a collaboré avec lui jusqu’au décès de ce dernier. Invité de Yannick Urrien mercredi 8 décembre dans le magazine de 8h10, il déclara ; « L’ONU a été incapable de respecter ses engagements et d’assurer le désarmement des forces de la rébellion au nord.
L’élection a eu lieu sous le contrôle des forces armées de la rébellion. Ce sont des seigneurs de la guerre, qui détournent les taxes et les impôts à leur profit, qui ont pris le contrôle du diamant et de différents minerais et contrôlent une partie du commerce du cacao. Cette rébellion au nord est une organisation politique, économique et militaire et elle est restée en place alors que différentes résolutions de l’ONU et différents accords internationaux prévoyaient que l’élection ne pourrait pas avoir lieu tant que le désarmement ne serait pas effectif »
2- Dans la Vallée de Bandama le Candidat Ouattara a totalisé en réalité 149.598 voix. Cependant, la CEI régionale a communiqué à la CEI centrale 244.471 voix soit une augmentation frauduleuse de 94.873 voix supplémentaires. [Cf. http://www.ivoiredignite.com/index.php]
3- L’ancien premier ministre du Togo et Chef de la Mission d’Observation Electorale de l’Union Africaine (UA), Joseph Kokou Koffigoh, dans la lecture du rapport de sa mission du 30 novembre 2010 a signalé entre autres les anomalies dûment constatées en ces termes : « Le climat relativement lourd aux alentours des lieux de vote […] des actes de violence graves notamment des pertes en vies humaines, des atteintes à l’intégrité physique, des séquestrations, des intimidations, des tentatives d’enlèvement et de dégradation du matériel électoral. Autant d’éléments qui devraient faire l’objet d’une appréciation minutieuse de la part des organes compétents afin de déterminer leur impact sur le scrutin »
La Mission d’observateurs de l’Union Européenne régentée par la France et l’Onuci en la personne du représentant du Secrétaire Général de l’ONU Ban Ki Moon, l’inconditionnel de Ouattara, M. Choi Young Jin, n’ont pas constaté ces actes gravissimes, organisés dans la zone du nord contrôlée par les putschistes d’ADO.
4- L’ampleur de la fraude et la participation active des impérialistes en faveur de leur poulain ADO a écœuré nombre d’ivoirien qui habitent pourtant dans le Nord contrôlé par les putschistes de 2002. À ce sujet un habitant de la ville de Bouaké Monsieur M D qui se réclame de rebelle, écrit :
« D’importantes sommes d’argent soit plus de 6 milliards de FCFA auraient été utilisés pour acheter les voix à raison de 20.000 FCFA par électeur. Les cadres de l’ONU et le personnel auraient engrangés plus 10 milliards de FCFA de corruption afin de proclamer Ouattara vainqueur et président de la république ».
Comment les militants de Gbagbo ont été brutalisés, obligé à voter avec une arme sur la tempe ou battu jusqu’à mort ?
Savez-vous qu’il y a eu bourrage d’urne au profit du candidat Ouattara, reconnu par des soldats de l’ONU et des observateurs internationaux ?
Avez-vous le témoignage des observateurs des ONG africaines qui ont eux même subit et dénoncé les exactions des rebelles ?
Gbagbo a gagné au même titre que Bush lors de son premier mandat.
Savez-vous que les observateurs de l’UE sont restés dans les beaux quartiers d’Abidjan ?
[…]
5- Dans sa Conférence de presse au QG de la majorité présidentielle sur la situation en Côte-d’Ivoire, son porte-parole Monsieur Pascal Affi N’Guessan déclara : « Dans les zones Centre Nord et Ouest (CNO), sous contrôle des Forces Nouvelles, les conditions d’une élection libre, juste et transparente n’étaient pas réunies. En effet, en violation de l’Accord Politique de Ouagadougou et du Code électoral, les Forces Armées des Forces Nouvelles, qui étaient pourtant présumées encasernées et désarmées, ont semé la terreur et la désolation contre des populations cibles.
Ainsi, les agents électoraux et les représentants de LMP dans les bureaux de vote ont été chassés, les empêchant d’exercer leur mission. Des militants et sympathisants de LMP ont été sauvagement battus à sang, humiliés et séquestrés. Le pronostic vital est même en jeu pour certains et leur état nécessite donc une évacuation urgente vers des établissements sanitaires spécialisés à Abidjan. A l’heure actuelle, des dizaines de proches de la majorité présidentielle demeurent encore otages des Forces Armées des Forces Nouvelles à Bouaké , Korhogo, Man , Zuénoula , Odiénné, Ferké, Boundiali »
http://cote-ivoire.com/1185/politique/presidentielle-ivoirienne/pascal-affi-fait-le-point-sur-le-second-tour-en-cote-dinvoire
Les deux premiers témoignages poignants précédents en l’occurrence celui d’un rebelle ivoirien et d’un résident étranger dans le pays, parmi tant d’autres, illustrent incontestablement le coup d’état électoral « France-onusien » contre le Président Laurent Gbagbo et le peuple ivoirien.
[…]
Dans un important article du 3 décembre 2010 du site abidjan.net, une analyse mathématique des résultats du deuxième tour de l’élection présidentielle, intitulé « Youssouf Bakayoko dévoile une fraude de 500.000 votants fictifs dans les zones CNO », relève l’ampleur les fraudes massives du candidat Ouattara. Ce hold-up électoral que voudrait couvrir la France et l’Onuci ne peuvent résister à l’épreuve des faits réels ci-dessous
6-
« Puisque plusieurs preuves d’irrégularités, exactions et tricheries témoignent d’un vote non démocratique dans les zones CNO, nous sommes en droit de penser qu’il y a eu fraude massif de plus de 500 000 voix, ce qui pourrait s’interpréter aussi que les zones CNO hors région vallée du Bandama ont votés deux fois le même jour, dans les mêmes urnes !!!!
[…]
Quel serait donc le vrai score d’Alassane Ouattara sur la même base des données de Youssouf BAKAYOKO ? Il nous suffit pour cela de retirer les 9,35% votants sur les voix d’Alassane Ouattara. On obtient le tableau ci-après :
Total Inscrits : 5 784 490
- GBAGBO LAURENT : 2 107 055, soit 52,04%
ALASSANE OUATTARA : 1 942 088, soit 47,96%
Total : 4 049 143, soit 100%
Taux Participation : 70,00%
Ecart de voix dues au bourrage des urnes en zone CNO : 541 076
Conclusion 2 : LAURENT GBAGBO est le réel vainqueur de ces élections, sur la base des données communiquées par Youssouf BAKAYOKO ».
Catherine Balineau