ALERTE INFO : Le Président Gbagbo est-il mort ou a-t-il survécu à la tentative d’assassinat perpétrée par les FRCI ?
Le 25 mai 2011 par IvoireBusiness – Pendant que ses avocats moisissent à Korhogo depuis plusieurs jours sans qu’ils aient jamais eu la possibilité de le voir ni de lui parler, le permis de visite
Le 25 mai 2011 par IvoireBusiness – Pendant que ses avocats moisissent à Korhogo depuis plusieurs jours sans qu’ils aient jamais eu la possibilité de le voir ni de lui parler, le permis de visite
pourtant promis par le ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, leur ayant été refusé, la vie du Président Laurent Gbagbo se joue à des centaines de kilomètres de là, notamment à Abidjan. En effet, selon un agent du Mossad (services secrets israéliens), le Président Gbagbo a été transporté dans un état comateux vers les 20-21 mai 2011 à la polyclinique La Pisam d’Abidjan Cocody. Il baignait dans une mare de sang, résultat des sévices corporels infligés par les FRCI d’Alassane Ouattara, qui tenaient absolument à obtenir des aveux de sa part concernant la reconnaissance d’Alassane Ouattara comme Président et le déblocage des avoirs ivoiriens déposés par Houphouët Boigny au Vatican. Avant d’arriver à la Pisam en piteux état, notre informateur israélien nous apprend que le Président et ses bourreaux ont fait un détour à l’ambassade d’Italie en Côte d’ Ivoire pour l’obliger à débloquer les milliards du pays au Vatican, dont lui seul peut autoriser le déblocage. Le Président Gbagbo a fermement opposé une fin de non recevoir à ces requêtes du camp Ouattara. Il aurait même eu une violente altercation avec un ministre français de haut rang, qui lui aurait tenu un langage des plus hautains.
A l’appui de cette thèse, plusieurs témoins ont signalé la présence d’un ballet d’hélicoptères onusiens à Abidjan en ces deux endroits aux alentours des 19-20-21 mai dernier.
Peine perdue, le Président Gbagbo n’a rien signé et ne signera jamais aucun document, fut-il au prix de sa vie.
Aux dernières nouvelles, le Président Gbagbo serait porté disparu, enlevé de la Pisam par des hommes russes pour une destination inconnue. Nous ne savons donc pas si le Président Gbagbo est aujourd’hui mort ou vivant, ou s’il a survécu à ses blessures.
Cinquante ans plus tard, l’Afrique est-elle en train de revivre en direct un remake d’assassinat d’un de ses dirigeants comme ce fut le cas de Patrice Lumumba dans l’ancien Zaïre de Mobutu?
A l’heure ou le dernier rapport d’Amnesty international pointe nommément les FCRCI de Ouattara et le camp Gbagbo dans les crimes contre l’humanité commis en Côte d’Ivoire depuis le début de la crise postélectorale, Alassane Ouattara peut-il s’offrir le luxe d’assassiner le Président Laurent Gbagbo ?
Nous ne tarderons pas à le savoir !
Christian Vabé