Agriculture: Accroissement de la production, lutte contre la déforestation…Nestlé offre un plan de développement à la Côte d’Ivoire

Publié le jeudi 30 juin 2011 | L'intelligent d'Abidjan - Les responsables de Nestlé ont annoncé, le mardi 28 juin 2011 à Abidjan, leur détermination à investir en Côte d’Ivoire. La société, selon eux, ambitionne de participer à la lutte contre la

Production de coton au nord de la Côte d'Ivoire.

Publié le jeudi 30 juin 2011 | L'intelligent d'Abidjan - Les responsables de Nestlé ont annoncé, le mardi 28 juin 2011 à Abidjan, leur détermination à investir en Côte d’Ivoire. La société, selon eux, ambitionne de participer à la lutte contre la

déforestation et par la même occasion, contribuer à la régénération des plants de cacao et de café. Pour ce faire, elle a financé plusieurs programmes, à caractère économique et social. Dans le domaine agricole, notamment en ce qui concerne la cacaoculture, 135000 plants de cacao à haut rendement ont été distribuée en 2010 à plusieurs planteurs ; 2500 planteurs ont été formés aux bonnes pratiques. Au titre de l’exercice 2011, 600.000 plants de cacao à haut rendement ont été distribué s à des planteurs. Pour ce qui est de la caféculture, la société a participé à l’amélioration des revenus des paysans en formant ceux-ci, aux bonnes pratiques agricoles. L’objectif de la société à travers ces programmes, est non seulement de lutter contre le vieillissement du verger cacaoyer ivoirien, mais surtout d’accroître la production (au moins 1,5tonne à l’hectare). A travers ces programmes, la société entend réduire les espaces cultivables. Toute chose permettant de régler la problématique de la déforestation. En plus de l’amélioration de la production et de la nutrition familiale, le leader mondial de la nutrition, de la santé et du bien-être, souhaite demeurer un acteur clé du tissu économique en Côte d’Ivoire. C’est la raison pour laquelle, elle n’a jamais délocalisé ses activités, malgré les différentes crises. Preuve en est aujourd’hui que, durant les événements de la crise postélectorale, bien qu’elle ait subi des pertes importantes, et qu’elle ait arrêté de fonctionner, les salaires d’avril ont été payés. Mais ces moments de tempête n’altère en rien la détermination de la société. «Nous continuerons d’investir en Côte d’Ivoire », a assuré Cheik M’boup, chef du département agronomique.

HK