Publié le mercredi 30 novembre 2011 | Le Patriote - Ils vivent pour la majorité un véritable spleen après la fermeture des amphis et des résidences universitaires au lendemain de la terrible
crise postélectorale. Sept mois après la décision du gouvernement qui a chassé les occupants des résidences universitaires pour des travaux d’urgence de réhabilitation et de restauration des bâtiments, nous avons fait une immersion dans l’univers de cette élite, visiblement aux abois, qui patauge entre ennui, angoisse et galère. Un récit qui retrace leur quotidien de plus en plus dramatique.