Côte d'Ivoire: "Fiers ivoiriens le pays nous appelle, allons donc à la paix", Par Nestor Koffi
Par Ivoirebusiness - Côte d'Ivoire. "Fiers ivoiriens le pays nous appelle, allons donc à la paix", Par Nestor Koffi.
Fiers Ivoiriens le pays nous appelle.
Allons donc à la paix pour dire oui à l’appel de notre chère Côte-d’Ivoire.
Une devise qui doit nous conduire et qui nous rappelle ce que véritablement nous sommes.
Pourquoi faut-il décrisper l’atmosphère politique délétère pour aller à la paix ?
Y a t-il quelqu’un qui peut se dire gagnant dans cette situation de ni paix ni guerre avec la sérénité ?
Ce n’est pas si sûr.
C’est le pays qui s’aliène.
Et Pourtant une simple volonté politique pour des habitants du même pays, peut encore sauver le pays.
Il y a un temps pour la guerre , et un temps pour la réconciliation afin d’instaurer la paix durable.
Cela suppose une farouche volonté politique des braves acteurs sur la scène , pour démontrer que les fiers Ivoiriens sont vraiment les enfants du Père fondateur FHB.
Il avait toujours plaidé pour le dialogue qu’il considérait comme l’arme des plus forts.
Car tous les conflits finissent dans le dialogue autour d’une table dédiée à cet effet.
Il a multiplié tous ses efforts pour la paix , qui était devenue la deuxième religion de notre pays .
La répétition est pédagogique.
Il a créé le prix de la recherche de la paix de l’UNESCO qui porte bien son illustre nom.
En Il a bâti la plus grande basilique au monde qu’il a appelé notre dame de la paix, pour démontrer aux yeux du monde qu’il est sans conteste attaché à la paix.
Et nous qui nous réclamons de lui, que faisons-nous ?
Quel palabre qui ne finit pas entre concitoyens ?
Pensons-nous qu’il est fier de nous de là où il est ?
C’est pas si sûr.
Il nous disait sans cesse que : la paix, c’est pas un vain mot, mais c’est un comportement. Avons nous ce comportement ?
Qu’avons-nous donc appris du Père fondateur FHB ?
S’il dit la paix c’est pas un vain mot mais, c’est un comportement. Et le comportement lui-même n’est pas un vain mot mais c’est une pratique.
Il faut agir , et agir vite pour sauver le pays.
Car, il y a un moment pour faire la guerre , et l’autre pour faire la paix , rien que la paix , si nous avons la volonté et le sens aigu du dialogue.
Pour le mieux vivre ensemble.
À ce stade, c’est la volonté politique des braves qui manque.
Que chaque acteur aujourd’hui, fasse son examen de conscience approfondie devant sa glace , en bien se regardant et en se demandant : Est-ce ai-je fait, bien fait ce que je devrais-je faire pour mon pays ?
Et quel est le bilan de mes actes pour aller à la paix, la vraie paix, la paix durable des braves?
Ceci dit, l’heure a sonné d’interpeller tous les acteurs politiques Ivoiriens sans exclusif, de se tendre la main fraternelle de fiers braves Ivoiriens car, notre pays nous appelle pour son développement.
Trop de temps perdu pour des problèmes de leadership ,qui nous font régresser voire qui nous aliènent.
Le temps ne plaide plus pour nous, pour tergiverser.
Car le temps passé ou perdu ne se rattrape plus parce qu’il n’y a pas de compteur à remonter le temps.
Le temps perdu est perdu à jamais.
Entre temps, chacun de nous prend de l’âge, le monde avance, il ne nous attend pas.
C’est à nous de nous rendre à l’évidence pour savoir ce qui est bon pour nous, pour développer notre chère Côte-d’Ivoire qui , sans cesse nous appelle à travers notre hymne national.
Tous s’y trouve.
Il suffit de le suivre à la lettre et le tour est gagné.
Le Président HKB, en nommant un conseiller spécial en la Personne de l’ex Maire du plateau, SEM le Vice-président M. Noël AKOSSI BENDJO, un inconditionnel pour la réconciliation et la cohésion sociale, prend sa part de responsabilité et joue pleinement sa partition dans le processus de la paix si Cher au Père fondateur, car il ne souhaite pas dilapider l’immense héritage qu’il nous a légués, une Côte-d’Ivoire en paix, prospère, et réconciliée, avec elle-même.
Il y a un des fiers illustres Ivoiriens lors de sa visite à son frère aîné, il n’y a pas si longtemps a dit : entre ceux qui se réclament être les fils du père et qui ne font pas l’œuvre du Père, et celui qui ne se dit pas le fils du père mais, qui fait ce que dit le père voire l’œuvre du Père, qui est donc le vrai fils du père ?
Une violente question qui mérite une réponse.
Parce que le Père a fait de la paix son credo, pourtant ses enfants sont dans des palabres interminables qui divisent le pays .
Suivez mon regard.
Il est temps d’aller à la paix, en se donnant une chance dans des assises nationales pour un dialogue franc afin de situer les responsabilités et accorder le pardon sans toutefois oublier pour éviter de retomber dans es mêmes bêtises.
Que la paix soit sur la Côte-d’Ivoire, pour que tous puissent retrouver le vrai bonheur qu’on aurait jamais dû perdre pour rien au monde.
Vive la Côte-d’Ivoire réconciliée , unie et apaisée, pour le progrès de tous et le bonheur de chacun.
Le comité de veille.
NK