Ecoutes Soro/Bassolé - Christian Vabé : Guillaume Soro doit démissionner de la présidence de l'Assemblée pour se consacrer à sa défense
Par IvoireBusiness - Ecoutes Soro/Bassolé - Christian Vabé "Guillaume Soro doit démissionner de la présidence de l'Assemblée pour se consacrer à sa défense".
Déclaration du RPCI-AC concernant les écoutes téléphoniques Soro-Bassolé
Le Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire Alternative crédible (RPCI-AC) a eu connaissance depuis le jeudi 12 novembre 2015, du contenu audio d’une conversation téléphonique Soro Kigbafori Guillaume, Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, et Djibril Bassolé, ex-Ministre Burkinabé des Affaires Etrangères, actuellement aux arrêts.
Dans cette conversation, il s’agit des préparatifs militaires et financiers du coup d’état du régiment de sécurité présidentielle (RSP) du Général Gilbert Diendéré, pour renverser les institutions de la transition au Burkina et le Président Michel Kafando.
Dans cette conversation téléphonique, Guillaume Soro avoue avoir fait exécuter l’ex-Ministre Désiré Tagro et l’ancien chef rebelle Ibrahim Coulibaly dit IB.
Les révélations faites dans cet enregistrement sont d’une extrême gravité car elles évoquent les raisons du coup d’état, les commanditaires, et les moyens mis en oeuvre pour le perpétrer.
Ces écoutes audios montrent également que le régime Ouattara est impliqué dans ce putsch du Général Dienderé.
En conséquence :
Le Rpci-Ac exige la démission immédiate et sans condition du président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro, afin qu’il se défende librement et s’explique sans délai devant la nation.
Le RPCI-AC lui demande de se mettre à la disposition de la Justice après ses révélations sur les assassinats de Désiré Tagro et de IB.
Le RPCI-AC exige que le chef de l’Etat Alassane Ouattara, s’explique devant la nation et qu’il prenne toutes les mesures diplomatiques avec le gouvernement burkinabé, afin que toute la lumière soit faite sur le coup d’Etat manqué du RSP, et le degré d’implication de la Côte d’Ivoire dans le putsch.
Fait à Paris le 13 novembre 2015
Pour le RPCI-AC
Christian Vabé
Président
AMPLIATIONS
PRESIDENT LAURENT GBAGBO ( COUR PENALE INTERNATIONALE LA HAYE)
FRANÇOIS HOLLANDE, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANCAISE (ELYSÉE)
BARACK OBAMA, PRESIDENT DES USA (MAISON BLANCHE)
VLADIMIR POUTINE, PRESIDENT DE LA FEDERATION DE RUSSIE
ALASSANE OUATTARA, PRESIDENT DE CÔTE D'IVOIRE
JACOB ZUMA, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SUD-AFRICAINE
CHARLES KONAN BANNY, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015
ESSY AMARA, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015
KOUADIO KONAN BERTIN, CANDIDAT A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2015
CLAUDE BARTOLONE, PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE (PALAIS BOURBON)
MANUEL VALLS, PREMIER MINISTRE FRANCAIS (PRIMATURE)
DAVID CAMERON, PREMIER MINISTRE BRITANNIQUE (10 DOWNING STREET)
PRÉSIDENT MACKY SALL (SÉNÉGAL)
ANGELA MERKEL (CHANCELIÈRE ALLEMANDE)
PRÉSIDENT OBIANG N'GUEMA BASOGO (GUINÉE EQUATORIALE)
JOHN KERRY, US SECRETARY OF STATE
GEORGE OSBORNE, CHANCELLOR OF THE EXCHEQUER
YAYI BONI PRÉSIDENT DE L'UNION AFRICAINE
DLAMINI ZUMA, PRESIDENTE DE LA COMMISSION (UNION AFRICAINE)
JEAN CLAUDE JUNKER PRÉSIDENT DE LA COMMISSION UNION EUROPÉENNE
NAJAT VALLAUD BELKACEM, MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE
CHRISTOPHE CAMBADELIS PREMIER SECRETAIRE DU PS FRANÇAIS
STÉPHANE LE FOLL PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT (MINISTRE DE L'AGRICULTURE)
SÉGOLÈNE ROYAL, MINISTRE DE L'ECOLOGIE
PRÉSIDENT DE L'UNION EUROPÉENNE PARLEMENT DE STRASBOURG (DÉPUTES EUROPÉENS) STRASBOURG DÉPUTES FRANÇAIS (PALAIS BOURBON)
SÉNATEURS FRANÇAIS (PALAIS DU LUXEMBOURG)
CONGRES AMÉRICAIN (CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS ET SÉNATEURS AMÉRICAINS)
COMMONS GRANDE BRETAGNE (DÉPUTES ANGLAIS)
BUNDESTAG (German Federal Diet) PARLEMENT ALLEMAND
MICHEL KAFANDO, PRESIDENT DE LA TRANSITION BURKINA FASO
Sénatrice Claire Mc Caskill (Missouri)
Senator Tom Udall (New Mexico)
Senator Pat Roberts (Kansas)
Senator John Mac Cain (Arizona)
Senator Christopher Coons (Delaware)
Senator Mike Crapo (Idaho).