"Histoire de la Côte d'ivoire":""Hommage appuyé à "Opadjilé Christophe Kragbé gnagbé""!
Le 13 décembre 2011 par IVOIREBUSINESS - "Rappel des faits":(Acte 1):Ayant créé à peine son propre parti politique en abrégé(le Pana-parti nationaliste ivoirien), en s'abreuvant à la source de la
Le 13 décembre 2011 par IVOIREBUSINESS - "Rappel des faits":(Acte 1):Ayant créé à peine son propre parti politique en abrégé(le Pana-parti nationaliste ivoirien), en s'abreuvant à la source de la
constitution ivoirienne, notamment en se fondant sur l'article 7, qui prévoyait en lettres claires le multipartisme en Côte d'ivoire, "Christophe Kragbé gnagbé" met sur pied une action politique, précédée d'une stratégie de communication politique d'envergure: Ainsi, des cartes d'adhésion sont confectionnées, doublées de tracts, dans le but de consolider sa stratégie de communication de proximité bien orientée, notamment dans les quartiers populaires de la capitale ivoirienne , "Abidjan", et par ramification dans certaines régions ivoiriennes, où le manifeste du nouveau parti politique(le Pana), rencontre déjà un écho retentissant, surtout là où l'on s'attendait le moins: "Bouaké",(deuxième ville importante de Côte d'ivoire à l'époque et centre de la Côte d'ivoire), "Béoumi", "Sakassou", "Daloa" etc pour ne citer que ces villes ... Des intellectuels ivoiriens, et non des moindres, tels que "Francis Wodié"(actuel président du conseil constitutionnel ivoirien, soutiennent l'action politique de "Christophe Gnagbé", la liste est longue...(ACTE 2):"LES MILICES DU PDCI-RDA ENTRENT DANS LA DANSE POLITIQUE"!(..) le Pdci-rda fut le premier parti politique ivoirien à recruter des miliciens bien outillés et armés dans l'histoire politique de la Côte d'ivoire! Ainsi, des miliciens zélés du Pdci-rda se saisissent de l'affaire "Gnagbé" en se donnant la mission stratégique de neutraliser "Christophe Gnagbé", sans aviser le président ivoirien de l'époque "Félix Houphouët Boigny":Ils enferment "Gnagbé" contre son gré dans les geôles de la sûreté nationale ivoirienne à "Abidjan"(plateau)."Philipe YACE",secrétaire général du pdci-rda à l'époque rend des visites furtives et courtoises à "Gnagbé", afin de trouver un compromis éventuel avec lui, et permettre ainsi son intégration du parti état(pdci-rda).Au grand dam du secrétaire général du parti état, "Christophe Gnagbé" demeure impertubable, et s'oppose viscéralement à toute conciliation qui serait pour lui une forme de récupération politique..Il s'attache donc à l'indépendance d'esprit, et subordonne toute négociation à une nécessaire entrevue avec le président ivoirien "Félix Houphouet Boigny", lui-même!(Acte 3):"La lettre de "Christophe Kragbé GNAGBE" à l'ambassadeur de France EN CÖTE D'IVOIRE à l'époque!(l'ambassadeur Jean Raphael Lègues):"Dans sa missive, "Christophe Gnagbé" sollicite exceptionnellement la compréhension et la sympathie du peuple français, démocrate et pays des droits de l'homme, étant lui-même marié à une ressortissante française nommée: "Madame Jeannine Gnagbé" née "Pompidou". Il insiste sur le fait qu'il a deux enfants avec cette dernière, restés dans l'hexagone, et résidant en région parisienne, précisément dans la commune de "Lhay les roses"...A cette époque, l'ambassadeur "RAPHAEL Lègues", pilier des réseaux "Jacques Foccart", et ami personnel du président ivoirien, remet à ce dernier, la missive de l'infortuné prisonnier, doublée de diverses pièces à conviction communiquées par les services de renseignement. Mieux, s'inscrivant dans une option stratégique de consolider son autorité politique après les fameux complots de 1963 et 1964, décide donc de traduire "Christophe Gnagbé" devant la justice populaire de son parti(pdci-rda). (Acte 4):"Christophe Gnagbé" devant le tribunal populaire du Pdci-rda!(..)Le (19 septembre 1965), sont convoqués à dessein à la maison du parti état(pdci), tous les cadres de la nation ivoirienne afin de statuer sur le cas "Gnagbé".Ainsi, "Gnagbé" est sorti exceptionnellement des géôles de la sûreté nationale ivoirienne, menotté! Le président ivoirien prend la parole, et ouvre la séance en ses propres termes: "Mes chers frères et compatriotes , si je vous ai appelés ici aujourdhui, c'est pour m'aider à raisonner un de nos frères, qui en ce moment est en proie à une forme de schyzophrénie...Le diagnostic lapidaire fait par le chef de l'état ivoirien devenu subitement psychiatre, donne carte blanche à certains militants zélés du Pdci pour donner libre cours à toute sorte d'analyse incohérente.: Subitement, "Gnagbé" est dépeint comme un mégalomane, un assoiffé d'argent et de gloire! bref un imposteur...Mieux, pour l'accabler davantage, l'on va plus loin en donnant des détails supplémentaires sur les missives échangées avec le nationaliste panafricain ghanéen "Osagefo Kxwamé N'kruma" ,(président du Ghana à l'époque-1956-1966),,et celles échangées avec des pays communistes: "Chine", "URSS" dans lesquelles, il solliciterait un appui financier et logistique(armes), dans le but de mieux combattre le régime ivoirien! A la fin de la séance, le conseil national du Pdci arrive à la conclusion selon laquelle le cas "Christophe Gnagbé" relève davantage de la schyzophrénie que d'une véritable révolte idéologique: Dans l'esprit et l'approche du Pdci, "Christophe Gnagbé" est considéré comme un malade qui s'ignore, par conséquent il faudra l'enfermer dans un asile d'aliéné pour y suivre une thérapie adaptée à son statut de malade débile. Ainsi, "Christophe Kragbé" est enfermé pour être relâché deux mois plus tard...
(Yves T Bouazo-la 3ème et dernière partie dans un autre dossier)