Dédicace de "L’homme aux chaussettes rouges": Stanislas Zézé invite les Africains au changement de mentalité
Par Fratmat.info - Dédicace de "L’homme aux chaussettes rouges". Stanislas Zézé invite les Africains au changement de mentalité.
L’œuvre littéraire de Stanislas Zézé intitulée "L’homme aux chaussettes rouges" a été officiellement dédicacée le 27 août 2022, à la salle « Chandelier Lagune » du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire. A cette rencontre, l’auteur a invité la jeunesse ivoirienne et africaine au changement de mentalité.
Pour lui, cette jeunesse doit comprendre que ce continent ne pourra se développer qu’avec son apport. Et pour y arriver, il faut la cohésion.
« Pendant longtemps, l’Afrique a été méprisée et reléguée au second plan. Je pense qu’aujourd’hui, il est important que les Africains se rendent compte que pour relever le continent, qu’ils travaillent ensemble, qu’il y ait la cohésion, l’unité africaine », a expliqué l’auteur de l’ouvrage de 189 pages édité par 2A Éditions. Notons que l'œuvre a été co-écrite avec l’enseignant et écrivain Pacôme Kipré.
Faisant la lecture de son œuvre, l’Ivoirien Stanislas Zézé, homme des finances et président directeur général de Bloomfield Investment Corporation, a fait savoir que toutes les ‘’frontières’’ africaines, qu’elles soient matérielles où immatérielles, doivent tomber de sorte à permettre aux Africains de bâtir eux-mêmes l’Afrique. « Personne ne viendra bâtir l’Afrique à notre place. Le développement du continent est la responsabilité des Africains », a-t-il insisté.
Puis de convaincre que créer son propre emploi, de la richesse et de la valeur n’est pas un risque. « Quand on entreprend, l'échec n’est pas une option. C’est la voie de la réussite pour ce continent », a-t-il déclaré.
Soulignons que « L’homme aux chaussettes rouges » est un livre autobiographique disponible sur le marché depuis le lundi 13 août 2022. Cet ouvrage retrace le parcours de l’auteur. Il symbolise la force, la persévérance, la détermination, la rage de réussir tout en bravant les obstacles et en relevant les défis.
Par Mélèdje Tresore