Côte d'Ivoire: L’UE fait un don 2,6 milliards Fcfa à la société civile
Publié le lundi 27 février 2012 | Notre Voie - Au terme de l’Accord de Cotonou signé en 2000, l’Union européenne exige la participation des acteurs non étatiques comme un principe fondamental de sa coopération avec les pays Acp dont la Côte
Publié le lundi 27 février 2012 | Notre Voie - Au terme de l’Accord de Cotonou signé en 2000, l’Union européenne exige la participation des acteurs non étatiques comme un principe fondamental de sa coopération avec les pays Acp dont la Côte
d’Ivoire. C’est pourquoi elle a financé le projet Liane (Leadership et initiatives des acteurs non étatiques) à hauteur de 2,6 milliards Fcfa en faveur de la société civile ivoirienne. Ce projet qui a démarré, récemment par un atelier, au Cerrae Uemoa Plateau, avec une centaine d’organisations vise la consolidation de la bonne gouvernance et de la démocratie. De façon spécifique, ce projet va renforcer les capacités de la société civile ivoirienne pour qu’elle puisse jouer son rôle d’acteur du développement et de dialogue politique.
Bruno Kouadio
Production du riz et de l’aquaculture : Les acteurs pour un partenariat public-privé
Publié le lundi 27 février 2012 | Notre Voie
L’amélioration de la production du riz et des produits de l’aquaculture nécessite, entre autre, un partenariat public-privé. C’est l’une des recommandations de l’atelier national de la FAO sur le riz et l’aquaculture, qui a pris fin, vendredi dernier, au golf hôtel, à Cocody.
«Nous sollicitons l’implication de nos partenaires dans les activités qui vont être entreprises en vue de l’augmentation de la production du riz et de l’aquaculture. Aussi, le partenariat public-privé devrait-il être privilégié parce qu’un pays ne peut se développer sans le secteur privé», a déclaré l’Inspecteur général, Dr Sirima Diawara, représentant le ministre des Ressources animales et Halieutiques. Il a promis que l’Etat ivoirien fera l’effort de tenir compte des recommandations dans l’optique de contribuer à réaliser la Stratégie nationale de développement de la riziculture (SNDR) et le Plan directeur des pêches et de l’aquaculture (PDPA).
Les participants à l’atelier ont recommandé, en outre, la facilitation des collectes des données statistiques fiables, l’amélioration de la collaboration avec le secteur public et les institutions de recherche et l’adoption d’une démarche qualité. Ils ont évoqué l’accès aux semences améliorées et aux crédits. La révision du cadre institutionnel dans le secteur rizicole et le renforcement des capacités ont été au centre des préoccupations.
Gomon Edmond