Echos d'Abidjan : Le déni de la déchéance
Par Ivoirebusiness- Echos d'Abidjan. Le déni de la déchéance.
Alors que celle-ci est visible, palpable, petit Denis est dans un petit déni, celui de refuser qu'il n'est plus que l'ombre de lui même. Koulaté, pardon ! Yaya, sabari, on ne veut ni te conjuguer à l'imparfait avec il était, au passé composé, il a été ou au passé simple, il fut. Relève toi donc ! même si la vie n'est plus une fleur pour toi , tu ne peux être toi Koulaté Denis, dit El Capo (le chef) une des perles du Zouglou, être réduit aujourd'hui à vendre des fleurs. Même si tu aimes ton pays, pour ta santé, retourne en France. Honnête tu n'as pas voulu d'après toi rester en France au delà de ton Visa. C'est vrai on critique la France, mais si tu mettais ton état de santé en exergue on ne t'aurait jamais expulsé dans le pays des droits de l'homme. Même si ! Nonobstant, nous ne sommes pas en Allemagne ou aux Usa où on expulse de force. Je t'ai écouté et finalement tu reconnais qu'entre Dao et toi ce n'était pas qu'une histoire d'argent bien qu'il se fait appeler Dao L'argent. J'ai l'impression qu'il voulait vraiment ton bien. Alors réglez ce qui ne va pas entre vous et retravaillez ensemble. Je Remarque que Mme Remark ministre de la culture et le Burida n'ont jusque là pas réagi. Et les droits d'auteur ou même droits voisins de l'artiste qu'en faites vous? au point de le voir sans le sou lui qui chanta des tubes ! Svp Sauvons le soldat Koulaté car il se meurt ! Il est dans un état lamentable où il se gratte même la peau pendant une émission en direct en l'occurrence showbuzz de Mulukuku ! C'est dire ! Aimons nos artistes â titre anthume et non posthume.
Ephrem kobri Boda correqpondant ivoirebusiness Paris