Liquidation de la Côte d’Ivoire par Ouattara: L’Opération a déjà débuté

Le 15 mai 2011 par le Temps - Et revoilà la privatisation de la Côte d’ivoire. Depuis la prise du pouvoir par la force, par Dramane Ouattara, c’est à une résurrection

Alassane Ouattara en audience à l'hôtel du Golf.

Le 15 mai 2011 par le Temps - Et revoilà la privatisation de la Côte d’ivoire. Depuis la prise du pouvoir par la force, par Dramane Ouattara, c’est à une résurrection

du système colonial qu’il est donné aux Ivoiriens de voir. Au niveau de l’Administration, un proche
de Ouattara révèle ceci. « Désormais, l’administration sera assistée par des
experts européens. ». Et d’ajouter sans soucier, que pour parvenir à un tel
objectif, le Président Ouattara a fait appel à plus de mille fonctionnaires de
nationalité française et américaine ayant pour mission d’évaluer les
fonctionnaires Ivoiriens et qui seront payés par l’Etat de Côte d’Ivoire. Donc
payés sur le dos du contribuable ivoirien. D’autre part, ajoute notre source,
chaque Directeur général des régies financières sera assisté par un Français.
Ouattara lui-même donnera l’exemple. Car dira-t-il, « Nous savons que l’ancien
Directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Michel Camdessus a déjà
été contacté pour assister Ouattara en tant que Conseiller spécial à la
Présidence. C’est lui qui déterminera l’ordre du jour concernant les différents
conseils de Ministres, en relation avec l’Elysée. C’est encore lui qui
approuvera si oui ou non, la Côte d’Ivoire doit contracter avec d’autres pays en
matière d’exploitation des richesses naturelles du pays. Sur le plan militaire,
c’est le retour sans condition du 43è BIMA. Une armée qui servira d’avant-garde
à toutes velléités d’attaques extérieures ou internes ». En un mot comme en
mille, c’est le retour au système colonial en côte d’Ivoire. Ce n’est pas tout,
Ouattara entend rétablir ce qu’il qualifie abusivement d’injustice. Selon notre
source, l’actuel Président par usurpation de la République de Côte d’Ivoire veut
céder toutes les plantations agricoles des Ivoiriens aux Burkinabè ayant servi à
un moment donné de leur vie dans ces champs. L’objectif étant de rendre la
totalité du pouvoir agricole à ses parents burkinabè en vue de faciliter le
développement de ce pays voisin. L’on comprend maintenant aisément le Président
Laurent Gbagbo lorsqu’il affirmait dans sa dernière interview, « S'il y a une
chose que je ne supporte pas, c'est la soumission. Surtout quand elle engage la
vie de tout un peuple. Mes convictions ne sont pas négociables. Tant pis si j'en
paie le prix. Je n’accepterai jamais que mon pays soit soumis pour l’intérêt
d’un autre peuple ou d’une autre Nation fut elle la France » Voilà ce que dit
Laurent Gbagbo, véritable nationaliste contrairement à Ouattara qui ne se gène
pas outre mesure de vendre le pays qu’il dit être le sien. Mais un jour viendra
où tout ce drame cessera dans l’intérêt des ivoiriens, quels qu’ils soient.
Grékou Bayard