Scandale sexuel à l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Cameroun : Un membre du personnel de l’ambassade cocufié par l’ambassadeur Dosso Moussa
Par IvoireBusiness - l’ambassadeur Dosso Moussa au coeur d'un Scandale sexuel à l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Cameroun.
Photo: L'Ambassadeur Dosso Moussa.
Embarrassé par la perte certaine de son boulot en cas de plainte, un membre du personnel de l’ambassade de Côte d’Ivoire au Cameroun ne sait plus à quel saint se vouer. En effet, ce dernier, tiraillé tels le flic et le voyou, reste impuissant parce que craignant de perdre son gagne-pain quotidien suite aux parades amoureuses de son épouse Mariam Doumbia avec son excellence Dosso Moussa. Fervent adepte du sexe, l’ambassadeur Dosso Moussa se la coule douce tel le ver paradis des amours infantiles du spleen baudelairien, que dis-je, tel le ver paradis des amours du Vivarais ardéchois de Lamastre dans les Rhône Alpes. Rappelons que cet ambassadeur n’est pas à son premier forfait. Selon des indiscrétions, après avoir installé plusieurs proxénètes à sa solde dans tout Yaoundé et Douala qui lui livrent de jeunes filles taillées sur mesure, il aurait jeté son dévolu sur une dénommée Mariam Doumbia, anciennement directrice du service des passeports à l’ambassade de Côte d’Ivoire au Cameroun.
Cette dernière, Mariam Doumbia, a malheureusement payé un lourd tribu. Elle a perdu son boulot parce que refusant de céder aux harcèlements sexuels de ce quidam d’Ambassadeur, chef de la diplomatie ivoirienne au Cameroun.
C’est donc à juste titre que les autorités camerounaises l’ont qualifié de surexcité et de plaisantin notoire lors de l’affaire « arrestation du Ministre Koné Katinan au Cameroun » et « tentative d’enlèvement de deux journalistes ivoiriens au Cameroun par l’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Cameroun ».
En outre, suite à l’article paru dans le Nouveau courrier N°537 du mardi 12 juin 2012 relative à « l’établissement du passeport refusé aux ivoiriens au Cameroun », article dénonçant avec véhémence la grosse arnaque faite par le sieur Dosso Moussa, le service d’établissement des passeports de l’ambassade à connu une nette amélioration. Cependant, la gestion des frais consulaires selon un responsable de la SNEDAI, constituant l’essentiel des frais consulaires, serait toujours virée via un compte parallèle ouvert à ECOBANK et crée par son Excellence Dosso Moussa sur conseil de son trésorier payeur, « Camara Abdoulaye. » Cette ambiance électrique à l’ambassade de Côte d’Ivoire au Cameroun a connu des remous suite au sequestrage de son excellence Dosso Moussa par les membres de l’association des ivoiriens du Cameroun dirigée par Diomandé Yaya.
Cette déchirure va consacrer définitivement le divorce entre l'association des ressortissants ivoiriens du Cameroun, qui réclame le limogeage de cet ambassadeur aux antipodes de la mondialisation, suite aux injonction survenues lors de la manne financière de 10 millions de FCFA octroyée par le chef d’état Alassane Dramane Ouattara aux ivoiriens du Cameroun, lors du sommet des chefs d’Etat sur la sécurité portuaire et maritime dans le golfe de Guinée.
Selon notre source, l’ambassadeur aurait voulu prendre cet argent pour organiser la foire des ivoiriens du Cameroun, laquelle a eu lieu récemment dans un hôtel à Douala.
Cette façon unilatérale de Dosso Moussa de décider comme le fait son patron Alassane Ouattara, a provoqué le courroux des ivoiriens lors d’une réunion tenue au sein de l’Ambassade, ce qui a engendré le molestage de l’ambassadeur. Lequel a eu son salut grâce à la vigilance des forces de police du 10eme bastos de Yaoundé. Néanmoins, l’ambassadeur a retiré 5 millions des 10 millions pour organiser cette foire. Par ailleurs, la masse des soi-disant ivoiriens venus accueillir Ouattara lors de ce sommet était constituée à 80% de ressortissants de la CEDEAO d’origine malienne, burkinabé, et guinéenne, lesquels ont bénéficié pour la circonstance d’une petite enveloppe et d’une carte consulaire comme trophée.
Laquelle carte consulaire leur permet désormais de circuler librement et d’agir aux yeux et au su de tous comme des ivoiriens à part entière dans toute la communauté économique de l’Afrique Centrale.
Autant dire que c’est tout simplement le prolongement du bradage à vil prix de la nationalité ivoirienne entreprise de mains de maître par la marionnette qui nous sert par la force des armes, de chef d’Etat.
Bombardé ambassadeur en sa qualité de poulain de Soro Guillaume, l’ambassadeur Dosso Moussa n’a pas associé à cause de ces querelles, les ivoiriens résidant à Yaoundé à cette foire culturelle qui avait pourtant été rédigée par un membre de l’association des ivoiriens résidant à Yaoundé. C’est donc dans cette atmosphère délétère que son excellence Dosso Moussa comptait faire une apparition sporadique ce dimanche 19 janvier 2014 sur les plateaux de la chaine panafricaine Afrique media, pour défendre selon lui avec la dernière énergie, son mentor, suppôt de la France Afrique qui a endeuillé la Côte d’Ivoire. Qu’attendre donc de ce personnage controversé qui n’a pas encore réglé sa dette au commerçant mauritanien habitant le quartier de Yopougon Maroc et qui lui faisait crédit pour survivre avant sa nomination ?
Une correspondance particulière de Issiaka Bamba