ShowBiz - Allemagne: A la rencontre de l’artiste SHIRT

QUEL EST VOTRE GENRE MUSICAL?

Je fais du Hip - Hop RNB mais ma spécialité est le « Lovers Track » : un mélange du H.H. RNB et la musique Reggae.

2-(IVOIREBUSINESS): COMMENT VOTRE DERNIER OPUS A-T-IL ÉTÉ ACCUEILLI PAR LE PUBLIC?

Je suis la voix des sans voix. Je chante l’Amour et les vécus quotidiens, beaucoup sont ceux qui s’y retrouvent et s’identifient par rapport à mes textes. Comme les précédentes, le public l’a une fois encore apprécié et cela m’a permis d’être sur de grandes scènes.

3-(IVOIREBUSINESS): VOUS VIVEZ EN ALLEMAGNE, PAYS PAR EXCELLENCE DE LA DANCE ET DE LA MUSIQUE TECHNO. COMMENT ARRIVEZ-VOUS A PERCER LE MARCHE DISCOGRAPHIQUE ALLEMAND?

Bien vous avez raison, mais laissez-moi vous dire que la musique est un langage universel. Je n’ai pas choisi la dance ni la Techno juste parce que pour moi c’est « du déjà vu ». Les autorités allemandes œuvrent partout pour l’intégration, ce qui veut dire qu’ils veulent du nouveau et je veux bien que ca commence par moi.

4-(IVOIREBUSINESS): AUJOURD’HUI, IL YA DEUX COURANTS MUSICAUX QUI OCCUPENT L'ESPACE DISCOGRAPHIQUE AUSSI BIEN EN AFRIQUE QU'EN EUROPE, A SAVOIR LE "COUPE DECALE" ET DANS UNE CERTAINE MESURE LE "ZOUGLOU". N'ÊTES-

VOUS PAS TENTE DE FAIRE UN CLIN D'OEIL A L'UN DE CES COURANTS MUSICAUX?
J’apprécie plus le Zouglou que le Coupe Décalé. Mais en tant qu’artiste, je préfère créer, je le dis souvent excusez-moi pour le terme, mais je n’aime pas « le déjà vu ni les copier-coller». J’ai choisi un style de musique que j’aime et qui me donne beaucoup de plaisir. En bref, j’ai pas de touche spéciale à apporter car ceux qui le font sont déjà bons et le font bien.

5-VOTRE DERNIER MOT

Tout d’abord, je remercie toute l’équipe d’ IVOIREBUSINESS et je profite pour dire merci à tous mes fans, à ceux qui soutiennent la musique Africaine et à tous ceux qui aiment la bonne musique. Et pour finir, merci au bon Dieu qui me donne tous les jours qu’il fait, l’inspiration profonde qui apaise les cœurs.

Propos recueillis par Yves Bouazo