Côte d’Ivoire : "polémique sur l'argent qui ne circule pas en Côte d'ivoire: VOICI LES VRAIES RAISONS!

La polémique sur l'argent qui ne circule pas en Côte d'ivoire,
après des effets d'annonce d'une croissance macroéconomique de
9,8, continue d’enfler sur les bords de la lagune ébrié.
Souffrez qu'on vous dise qu'en termes de masse financière, une
croissance de 9,8% représente environ 980 milliards de francs cfa .
Où a donc été investie cette masse financière en Côte D'IVOIRE?
Mieux, combien d'emplois compte-t-on créer en Côte D'IVOIRE?
Voilà clairement libellé le problème central de la CÔTE D'IVOIRE
en sachant qu'en AFRIQUE, les croissances sont insuffisamment
créatrices d'emplois...
PIS, beaucoup d'entre elles servent davantage à consolider l'appareil bureaucratique des états
africains: En Côte D'IVOIRE, ce fut les achats d'une horde de voitures
de luxe et d'un jet privé pour le compte de la présidence...
Nous réitérons notre analyse en espérant interpeller les tenants
du pouvoir ivoirien sur la réalité cruciale selon laquelle, une
forte croissance est bénéfique à un pays lorsqu'elle est créatrice
d'emplois massifs. Et dans le cas de la Côte D'IVOIRE, il y a une
nécessité réelle de créations d'emplois!
Quelle est donc la stratégie gouvernementale ivoirienne en matière
de planification et de création d'emplois?

La première analyse qui ressort de l'observation du marché de
l'emploi, c'est que l'argent ne semble pas être investi où il
devrait l'être...mieux la CÔTE D'IVOIRE est, de sources crédibles,
administrée politiquement et économiquement par deux frères,
de part leur origine burkinabé. Sachez dorénavant qu'au jour
d'aujourd’hui, toutes les décisions politiques et les choix économiques du pays
doivent être avalisés par le « vice-président de la Côte D'IVOIRE », en
l'occurrence "BLAISE COMPAORE": la terre d'éburnie ne nous appartient
plus, nous l'empruntons désormais!

J’aborderai également pour vous, un autre sujet que je trouve important: L’Afro-pessimisme.
"De l'afro-optimisme à la tribulation africaine"!

Globalement, l'AFRIQUE a abordé les années 1960 sur
des chapeaux de roue en termes de croissance, alors que son
revenu moyen par habitant est déjà supérieur à celui du duo
(CHINDIA-chine-INDE).
Ces années voient en effet, dans la plupart des pays africains, les nouvelles équipes prendre le
relais colonial dans les exportations, alors que la croissance
en occident est gourmande en matières premières. Profitant
de cette manne financière, les régimes africains ayant
accédé à l'indépendance, se lancent dans de grands projets
industriels, d'infrastructures et d'urbanisation, dont on
voit encore les vestiges dans toutes les grandes métropoles
du continent! On investit dans l'éducation ou dans la santé comme en Côte d'ivoire (43%) du budget ivoirien fut affrété à l'éducation nationale de (1960 à 1993).
Les soins de santé étaient en effet gratuits pendant cette période nostalgique "houphouétiste"!
VIVEMENT QUE CET AFRO-OPTIMISME DU SOLEIL DES INDÉPENDANCES
NOUS FASSE UN NOUVEAU CLIN D’ŒIL!

(YVES T BOUAZO)