APRES LE SCANDALE DES FAUSSES PREUVES KENYANES DE BENSOUDA CONTRE GBAGBO: LE RPCI-AC PROPOSE LA LIBÉRATION DE GBAGBO ET L’OUVERTURE D’UN DIALOGUE DIRECT GBAGBO-OUATTARA

Le 08 mars 2013 par IVOIREBUSINESS – POUR UN SOMMET GBAGBO-OUATTARA EN AFRIQUE DU SUD.

COMMUNIQUE DU RASSEMBLEMENT DU PEUPLE DE CÔTE D’IVOIRE ALTERNATIVE CRÉDIBLE CONCERNANT LA LIBÉRATION DE LAURENT GBAGBO, POUR ABSENCE DE PREUVES.

Les ivoiriens et le monde entier ont suivi l’audience de confirmation ou d’infirmation des charges contre Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale (CPI), du 19 au 28 février dernier.
Tous ont été frappés par la vacuité du dossier d’accusation et par l’absence de preuves pour accuser le Président Laurent Gbagbo de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, que ce soit en tant que coauteur indirect ou direct.
Le monde entier a été choqué d’apprendre que la procureure Fatou Bensouda, et son prédécesseur Luis Moreno Ocampo, n’ont fait aucune enquête.
Pire, l’accusation menée par la procureure Fatou Bensouda a fait du faux en tentant d’accuser le Président Laurent Gbagbo de crimes commis dans des violences post-électorales au Kenya. Mme Bensouda a d’ailleurs reconnu son forfait et présenté ses excuses.
Pour le RPCI-AC, la Cour pénale internationale a perdu sa crédibilité, son caractère sacré, et son prestige en tant qu’Institution internationale au service d’une justice impartiale. Elle lutte pour sa survie, car elle n’a poursuivi à ce jour, aucun membre du clan Ouattara.
Pour le RPCI-AC, la CPI est induite en erreur par le régime du docteur Alassane Ouattara, qui la manipule aujourd’hui à sa guise. La preuve, ce dernier refuse catégoriquement toute coopération judiciaire avec la CPI, en refusant de lui livrer comme exigé, l’ex-première Dame Simone Ehivet Gbagbo.

De même qu’à ce jour, Alassane Ouattara n’a inquieté aucun membre de son clan comme Guillaume Soro, les chefs de guerre Fofié Kouakou, Wattao, Cherif Ousmane, Koné Zacharia, Morou, Ben Laden, etc...
Pourtant, ils sont formellement accusés par Amnesty international, Human rights watch, et la Croix rouge, de crimes de sang et de crimes contre l’humanité en Côte d’Ivoire.
A titre d’exemple, le 20 juillet 2012, les FRCI et les dozos du régime Ouattara ont massacré 213 membres de l’ethnie WÊ au camp de Nahibly à Duekoué, sans être inquiétés.
C’est la raison pour laquelle, le RPCI-AC demande à la Cour pénale internationale (CPI) de libérer le Président Laurent Gbagbo pour absence flagrante de preuves par l’accusation.
Le RPCI-AC propose qu’une fois libéré, le président Laurent Gbagbo soit réhabilité dans ses droits civiques et politiques par le régime Ouattara.
Pour cela, le RPCI-AC propose une rencontre au sommet Ouattara-Gbagbo en Afrique du Sud, et sous l’égide de l’Union africaine avec comme médiateur madame Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la Commission de l’Union africaine.
Pour le RPCI-AC, ce dialogue direct entre Ouattara et Gbagbo n’est pas une nouveauté. Il avait déjà eu lieu sous le Président Thabo M’BEKI, et avait permis à Laurent Gbagbo d’utiliser les pouvoirs exceptionnels que lui conférait l’article 48 de la constitution, pour que soient éligibles Henri Konan Bédié, dépassé par la limite d’âge, et Alassane Dramane Ouattara inéligible par arrêt de la Cour suprême présidé alors par Tia Koné, à cause de sa nationalité douteuse.

Le RPCI-AC propose que, comme pour la lutte contre l’islamisme obscurantiste au Nord du Mali, TOUS LES PAYS africains et France, apportent leur caution à un dialogue direct entre Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo.
Comme on le voit, le RPCI-AC, en tant que force politique d’opposition de premier plan en Côte d’Ivoire, qui lutte farouchement contre toute forme d’injustice, ne pouvait pas rester silencieux face à ce procès de Laurent Gbagbo, qui tient les ivoiriens et le monde entier en haleine.
Car le bien commun de tout ivoirien, c’est la Côte d’Ivoire, Une et indivisible.
Le Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire Alternative crédible (RPCI-AC) lutte pour la fin de la haine et de la vengeance, pour la réinstauration de la démocratie, pour le respect des droits de l’homme et des libertés, pour une Côte d’Ivoire apaisée et réconciliée avec elle-même.
Pour le RPCI-AC, l’unité de la Côte d’Ivoire, c’est maintenant, car sans réconciliation nationale véritable, aucun développement économique n’est possible.
Fait à Paris le 07 mars 2013.

Christian Vabé,
Président du RPCI-AC

AMPLIATIONS:
FRANÇOIS HOLLANDE, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE (ELYSÉE)
CLAUDE BARTOLONE, PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE FRANCAISE (PALAIS BOURBON)
JEAN MARC AYRAULT, PREMIER MNISTRE FRANCAIS (PRIMATURE)
DAVID CAMEROON, PREMIER MINISTRE BRITANNIQUE (10 DOWNING STREET)
BARACK OBAMA, PRESIDENT DES USA (MAISON BLANCHE)
PRÉSIDENT DE L'UNION AFRICAINE, HAÏLE MARIAM DESALEIN
ANGELA MERKEL (CHANCELIÈRE ALLEMANDE)
COUR PÉNALE INTERNATIONALE (LA HAYE)
DLAMINI ZUMA, PRESIDENTE DE LA COMMISSION (UNION AFRICAINE)
PRÉSIDENT DE LA COMMISSION UNION EUROPÉENNE (MANUEL BARROSO)
HARLEM DESIR (PREMIER SECRÉTAIRE DU PARTI SOCIALISTE)
JEAN FRANCOIS COPE (PRESIDENT DE L'UMP)
PIERRE MOSCOVICI (MINISTRE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES)
NAJAT VALLAUD BELKACEM, PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS
STÉPHANE LE FOLL (MINISTRE DE L'AGRICULTURE)
WILLIAM HAGUE (FOREIGN OFFICE BRITANNIQUE)
GEORGE OSBORNE, CHANCELLOR OF THE EXCHEQUER
SÉGOLÈNE ROYAL, VICE-PRÉSIDENTE DE LA BPI
PRÉSIDENT MACKY SALL (SÉNÉGAL)
PRÉSIDENT OBIANG N'GUEMA BASOGO (GUINÉE EQUATORIALE)

PRÉSIDENT DE L A COMMISSION DE LA CEDEAO
PRÉSIDENT DE L'UNION EUROPEENNE
PARLEMENT DE STRASBOURG (DÉPUTES EUROPÉENS)
DÉPUTES FRANÇAIS (PALAIS BOURBON)
SÉNATEURS FRANÇAIS (PALAIS DU LUXEMBOURG)

CONGRES AMÉRICAIN (CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS ET SÉNATEURS AMÉRICAINS)

COMMONS GRANDE BRETAGNE (DÉPUTES ANGLAIS)

BUNDESTAG (German Federal Diet) PARLEMENT ALLEMAND

AFTER THE SCANDAL OF THE FALSE EVIDENCE BELL KENYAN AGAINST GBAGBO: AC RPCI OFFERS THE RELEASE OF GBAGBO AND THE OPENING OF A DIALOGUE DIRECT GBAGBO-OUATTARA

March 08, 2013, by IVOIREBUSINESS - For a SUMMIT GBAGBO - OUATTARA in South Africa.

RELEASE OF THE RPCI CREDIBLE ALTERNATIVE CONCERNING THE RELEASE OF LAURENT GBAGBO, FOR LACK OF EVIDENCE.

Ivorians and the all world have followed the confirmation hearing or reversal of charges against Laurent Gbagbo to the International Criminal Court (ICC), from 19 to 28 February.
All have been hit by the emptiness of the prosecution case and the absence of evidence to accuse President Laurent Gbagbo of war crimes and crimes against humanity, either as a sponsor direct or indirect.
The world was shocked to learn that the Prosecutor Fatou Bensouda, and his predecessor Luis Moreno Ocampo, did no investigation.
Worse, the charge led by Prosecutor Fatou Bensouda has made fake by trying to accuse President Laurent Gbagbo of crimes committed in the post-election violence in Kenya. Mrs. Bensouda has acknowledged it and apologized.

For the RPCI-AC, the International Criminal Court has lost its credibility, its sacred character, and his prestige as an international Institution to the service of impartial justice. It is fighting for its survival since no member of the Ouattara party have been arrested or brought to court for trial.
For the RPCI-AC, the ICC is misled by the regime of Dr. Alassane Ouattara, who manipulated it in his own way. For Evidence, the later refusl by his regime for any judicial cooperation with the ICC, by refusing to deliver as required, the former first lady Simone Ehivet Gbagbo, is shocking.
And to this day, Alassane Ouattara has brought no member of his clan as Guillaume Soro, the warlords Fofie Kouakou, Wattao, Cherif Ousmane, Zacharia Kone, Li, Ben Laden, etc, to trial...
However, they are formally accused by Amnesty international, Human rights watch, and the Red Cross, of blood crimes and crimes against humanity in Côte d'Ivoire.
For example, on July 20, 2012, the FRCI and the dozos of Ouattara regime massacred 213 members of the ethnic group WE at camp Nahibly in Duékoué, without being disturbed.
For this reason, AC RPCI asked the International Criminal Court (ICC) to release the President Laurent Gbagbo for blatant lack of evidence by the prosecution.
RPCI-AC offers that once released, president Laurent Gbagbo to be rehabilitated in his civil and political rights by the Ouattara regime.
For this, the RPCI-AC offers a summit meeting Gbagbo-Ouattara in South Africa, and under the auspices of the African Union as mediator with Ms. Nkosazana Dlamini Zuma, Chairperson of the Commission of the African Union.
For the RPCI-AC, this direct dialogue between Ouattara and Gbagbo is not new. He had already taken place under President Thabo BEKI, and had allowed Laurent Gbagbo to use the exceptional powers conferred on him by article 48 of the constitution, to ensure eligibility to Henri Konan Bedié, exceeded by the limit of age, and Alassane Dramane Ouattara ineligible by judgment of the supreme court then chaired by Tia Kone, because of his questionable nationality.
RPCI-AC offers that, as for the fight against the obscurantist Islamic northern Mali, all the African countries and France, make bail for a direct dialogue between Alassane Ouattara and Laurent Gbagbo.
As seen, the RPCI-AC, as leading Ivory Coast opposition political force, which fights fiercely against any form of injustice, could not remain with this trial of Laurent Gbagbo, which the Ivorian and the world in suspense.
For the common good of all Côte d'Ivoire, one and indivisible.
The rally of the people of Côte d'Ivoire credible Alternative (RPCI-AC) is fighting for the end of hatred and revenge, for the restoration of democracy, for respect for rights and human freedoms, for a Côte d'Ivoire soothed and reconciled with itself.
For the RPCI-AC, unity of Côte d'Ivoire, is for now, because without real national reconciliation, no development is possible.

Paris on 07 March 2013.
Christian VABE
President of the RPCI-AC

DUPLICATE:

FRANCOIS HOLLANDE, PRESIDENT OF THE REPUBLIC (ELYSÉE)
CLAUDE BARTOLONE, PRESIDENT OF THE ASSEMBLÉE NATIONALE FRANÇAISE (PALAIS BOURBON)
JEAN-MARC AYRAULT, FIRST 1,483,266 FRENCH (PRIME)
DAVID CAMEROON PRIME MINISTER BRITISH (10 DOWNING STREET)
BARACK OBAMA, PRESIDENT OF THE UNITED STATES (WHITE HOUSE)
PRESIDENT OF THE UNION AFRICAINE, HAILE MARIAM DESALEIN
ANGELA MERKEL (GERMAN CHANCELLOR)
ICC INTERNATIONAL (THE HAGUE)
DLAMINI ZUMA, CHAIRPERSON OF THE COMMITTEE (AFRICAN UNION)
THE EUROPEAN UNION COMMISSION PRESIDENT (MANUEL BARROSO)
HARLEM DÉSIR (FIRST SECRETARY OF THE SOCIALIST PARTY)
JEAN FRANCOIS COPE (PRESIDENT OF THE UMP)
PIERRE MOSCOVICI (MINISTER OF THE ECONOMY AND FINANCE)
NAJAT VALLAUD BELKACEM, SPOKESMAN OF THE FRENCH GOVERNMENT
STÉPHANE LE FOLL (MINISTER OF AGRICULTURE)
WILLIAM HAGUE (FOREIGN OFFICE BRITISH)
GEORGE OSBORNE, CHANCELLOR OF THE EXCHEQUER
SÉGOLÈNE ROYAL, VICE PRESIDENT OF THE BPI
PRESIDENT MACKY SALL (SENEGAL)
PRESIDENT OBIANG N ' GUÉMA BASOGO (EQUATORIAL GUINEA)
PRESIDENT OF A COMMISSION OF ECOWAS
PRESIDENT OF THE EUROPEAN UNION
PARLIAMENT IN STRASBOURG (EUROPEAN MEPS)
MEPS FRENCH (PALAIS BOURBON)
SENATORS FRENCH (PALAIS DU LUXEMBOURG)
AMERICAN (HOUSE OF THE REPRESENTATIVES AND SENATORS AMERICAN) CONGRESS
GREAT BRITAIN COMMONS (MEMBERS ENGLISH)
BUNDESTAG (German Federal Diet) German Parliament