URGENT - ATTAQUE ARMÉE CONTRE L’ASSEMBLEE NATIONALE: LES BUREAUX DE GUILLAUME SORO MITRAILLES PAR UN COMMANDO. DES ORDINATEURS ET PLUSIEURS MILLIONS DE FCFA EMPORTES
Le 18 mars 2013 par IVOIREBUSINESS - ATTAQUE ARMÉE CONTRE L’ASSEMBLEE NATIONALE.
Le 18 mars 2013 par IVOIREBUSINESS – Selon les informations en notre possession, confirmées par d’autres sources, l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire et les bureaux de Guillaume Soro, le président de ladite institution, ont été attaqués par un commando puissamment armé, dans la nuit de vendredi à samedi. C’est véritablement l’œuvre du Commando invisible, car les gardes républicains, affectés à la surveillance des lieux, affirment n’avoir rien vu, ni rien entendu.
Le Commando, une dizaine, s’est introduit à l’Assemblée en déjouant la vigilance des gardes républicains, et ont fait mains basses sur plusieurs centaines de millions de Fcfa, une dizaine d’ordinateurs, et plusieurs autres effets sensibles appartenant à Guillaume Soro.
Interrogée par IvoireBusiness sur les circonstances de l'attaque, l'assemblée nationale n'a pas souhaité répondre à nos questions.
Les gardes républicains ont étrangement découverts les dégâts le samedi midi.
Ils font encore l’objet d’interrogatoire sur les raisons pour lesquelles ils n’ont rien entendu.
UNE TENTATIVE D'ASSASSINAT CONTRE GUILLAUME SORO APRES CELLES CONTRE LES DG DE L'ECOLE DE POLICE ET DE L'ENS?
Cette attaque de l’assemblée nationale se produit après les tentatives d’assassinat de hauts dignitaires du régime Ouattara, que sont le DG de l’école de police, et directeur général de l’Ecole normale supérieure.
Guillaume Soro était-il sensé être présent à ses bureaux au moment de l’attaque ?
A-t-on voulu l’assassiner?
Y a-t-il eu des complicités qui auraient pu faciliter cette attaque des bureaux de Soro?
Les enquêtes en cours, si elles aboutissent, le diront.
Une certitude: Guillaume Soro n'était pas là au moment de l'attaque.
C’est donc dire que n’importe qui peut s’introduire à l’intérieur de la deuxième institution du pays, sans que personne ne s’en aperçoive.
Nous y reviendrons.
Eric Lassale