UN POUVOIR QUI CRAINT LES OPINIONS CRITIQUES, NE REPOSE SUR AUCUNE BASE POPULAIRE
« C’est parque qu’il y a le feu à la maison que nous refusons l’enfermement sectaire et partisan, les replis ethnicisé, identitaires, communautariste et idéologiques que nous privilégions l’union de tous,
« C’est parque qu’il y a le feu à la maison que nous refusons l’enfermement sectaire et partisan, les replis ethnicisé, identitaires, communautariste et idéologiques que nous privilégions l’union de tous,
c’est parce que la vérité est citoyenne que nous poursuivons contre vents et marrées notre combat contre le fascisme, contre le terrorisme des élites malsains, contre les mensonges d’états, les interpénétrations de la politique et les affaires mafieuses, des politiques obscurantistes et les plantages de couteux dans le dos des honnêtes citoyens. Qu’ils se dissimulent derrière la dogmatique ou le politiquement correct du communautarisme. L’objectif à la Légitimité Citoyenne n’a jamais été pécuniaire, « nous avons préféré l’enfer dès le départ, donc les diffamations ne sauraient avoir d’effet négatif sur nous, au contraire », il est d’abord citoyen même si notre engagement citoyen a effectivement généré des intérêts et des intéressements malgré les menaces de mort sempiternelles et les persécutions politiques « crime contre l’humanité » qui ont abouti a notre exil forcé. C’est pourquoi, attaché à notre dignité, à notre liberté, à notre indépendance, non inféodé à qui et à quoi que ce soit et fortement attaché aussi à la légitimité citoyenne et aux droits et libertés des citoyens, nous revendiquons ainsi souvent le droit ponctuellement d’aller en enfer pour nos opinions politiques et de déplaire à certains hommes politiques communautaristes. Le métier politique consiste en partie pour nous à saisir le moment favorable pour soulever un problème. Quand même le problème existait et existe dans la réalité, ne l’oublions pas sans quoi la politique ne serait que du vent à pomper aux honnêtes citoyens et l’orchestration des diffamations éhontés. »
Le misérabilisme politique s’ignore et ignore tout de lui-même,
Avocats en toges, Journalistes avec plumes et hommes politiques avec haut parleurs embastillés, l’armée qui se doit d’être « républicaine, neutre et impartiale » devenue le répondeur automatique par les armes du pouvoir d’état face à l’opinion politique diverse. Alors que la démocratie républicaine et le pluralisme politique qui en résultent, exigent la diversité idéologique, la diversité d’opinion et partant la diversité de position et d’analyse face à une situation sociopolitique donnée. Alors donc quand les journalistes « de la voie » et les hommes politiques « pro-GBAGBO » sont embastillés pour leurs opinions et pour leurs analyses, peut-on dès lors parler de démocratie, de pluralisme politique et d’état républicain de droit ? Ou de recherche de la réconciliation nationale et de la paix sociopolitique pérenne ? Surtout qu’analyser une situation c’est pouvoir donner sa vue, son point de vue, sa voie, son avis et sa position face à cette situation donnée. Donc un pouvoir politique qui redouterait des soulèvements populaires suite à ces pratiques démocratiques ne repose sur aucune base démocratique, sur aucune assise juridique, sur aucune légitimité populaire et dans un tel cas ce pouvoir est vraiment à la merci d’un soulèvement populaire. Mais hélas il est constant en démocratie et dans tout système pluraliste que le propre du journaliste et de l’homme politique soit d’analyser les situations sociopolitiques et d’émettre ses avis et ses opinions. Vraiment désolé pour nos misérables communautaristes, les règles les veulent ainsi. Donc ordonner a ses criminels de FRCI de saccager, piller, la résidence de DA CANDY Lepetitfils en exil forcé n’y changerait rien, c’est misérable de leurs par, puisque le misérabilisme politique s’ignore et ignore tout de lui-même, alors bon vent a ses sales piteux de communautaristes. La grandeur ce n’est pas le bien matériel, ce n’est pas le poste quel qu’il soit que l’on occupe, la grandeur est dans l’âme. Donc on ne doit pas la chercher ou on ne peut pas la trouver…
L’analyse de l’opposant politique ne doit pas être criminalisée en démocratie
Analyser une pratique c’est se pencher sur un événement déjà accompli, dans une perspective d’évaluation, puis éventuellement participer à son amélioration. Qu’on le veuille ou non, qu’on l’exprime ou non, l’analyse est forcément normative ; elle nécessite donc l’explicitation d’un modèle référentiel, celui des pratiques attendues ; la question de l’évaluation de l’action d’une personne dans et par un groupe, est liée au transfert éventuel sur le terrain (par un seul, englué dans la complexité d’une situation réelle) de normes élaborées dans une situation épurée, par des participants sans responsabilités effectives, du moins par rapport à la situation. Analyser une situation c’est étudier un événement inachevé, ou dont l’achèvement est suspendu afin de servir de support projectif au groupe social. Ce qui est visé n’est pas la " bonne " solution du cas pour celui qui l’apporte, mais l’entraînement de tous les membres du groupe social à l’intelligence des situations qu’ils peuvent rencontrer. L’animateur a alors deux préoccupations, apporter ou conforter des connaissances, permettre de comprendre les déterminants d’une situation sociopolitique complexe. Analyser signifie séparer un tout en ses éléments. Toute analyse nécessite donc l’explicitation d’une grille d’analyse qui permet cette opération. Le choix de cette grille a donc également et forcément un certain caractère régulateur ou normatif de la société commune. Avoir une opinion, c’est croire, c’est-à-dire, non seulement adhérer à une idée, mais se fier à elle pour agir en vue de se réaliser soi-même et de se justifier dans ses rapports aux autres et à soi. Les motifs de cette adhésion peuvent être plus ou moins rationnels (connaissance et technique) ou raisonnables (action éthique et politique), mais ils ne sont jamais tels que nous pouvons les considérer comme objectivement vrais, sinon nous aurions affaire à un savoir scientifique, ni universellement justes et bons, sinon nous aurions affaire à des principes philosophiques du droit indiscutables, ce qu’aucun ne peut être, car tous reposent à leur tour sur des croyance éthiques contestables (la pluralité des conceptions du droit et des positions morales); c’est dire que les opinions de chaque individu et donc d’autrui en tant que personne expriment son être même, c’est à dire, le sentiment qu’il a de son identité et de sa valeur .quand on parle des misérables communautaristes criminels on ne va pas chercher les faits du misérabilisme politique de nos misérables communautaristes, mais ce sont nos analyses (opinions et idées) qui nous transportent sur les faits du misérabilisme politique de nos misérables communautaristes. C’est çà la vérité…
L’opinion diverse est constructive dans une société démocratique
Mais si toutes les opinions sont des croyances subjectives, et si toutes manifestent la pensée d’autrui en tant qu’il est moralement notre égal en droit et devoir et notre semblable dans la société et dans les rapports sociétaux, mais néanmoins différent dans sa subjectivité singulière dont ses opinions sont l’expression, cela signifie-t-il que toutes se valent et doivent être tolérées au point que la critique même des opinions d’autrui serait une atteinte au respect qu’on lui doit et à la singularité de sa personne même? Si oui, on risque de ne plus distinguer entre les croyances dangereuses pour les personnes et les biens et les croyances bénéfiques et de permettre aux premières de se développer aux dépens des secondes; si non, on risque de récuser au nom de la tolérance elle-même la libre discussion des idées qui sont les conditions de possibilité de la justice démocratique et de l’accord sur des valeurs communes indispensables au bien-vivre en commun (fondée sur l'expression du libre choix des citoyens quant à la définition de la norme commune). Si l’on admet que certaines opinions menacent l’ordre public et la paix civile, ainsi que la stabilité étatique, ne conviendrait-il pas de les combattre par la critique rationnelle chez autrui ? Au lieu de l’embastiller ? de saccager et piller ses biens propres qui ne proviennent pas des caisses publiques de l’état? Pour quelqu’un qui n’a jamais émarger dans les caisses publiques de l’état ? Le principe démocratique, vis-à-vis des opinions d’autrui, de la tolérance est-il absolu (inconditionnel et sans limites), toute personne devant être respectée. La critique de ses opinions ne conduit-elle pas à remettre en cause sa valeur personnelle, ou relatif aux effets de cette opinions sur les relations humaines : n’est-il pas nécessaire de critiquer les opinions intolérantes, véritables bombes a fragmentations dans la société commune et le fanatisme politique démesurer soutenu par les armes, au nom même du principe de tolérance ? Dans ces conditions, les limites de la critique des opinions d’autrui, apparaît tout aussi nécessaire que la nécessité de cette critique dans l’intérêt de tous, y compris d’autrui, dont les opinions peuvent lui être dangereuses en le rendant nuisible aux autres et à lui-même. Or,« la réflexion politique » a toujours prétendu substituer la critique rationnelle des opinions à la critique personnelle, dans l’intérêt des personnes dont les idées sont critiquables et destructibles pour la société commune; elle fait même de cette critique une condition du respect qu’on leur doit en tant qu’être doué de raison et de réflexion. C’est dire que cette question a pour enjeu la nature et la légitimité du dialogue politique inclusif en vue de nous libérer et de faire en sorte qu’autrui se libère des opinions illusoires et dangereuses pour la société commune qu’il croit être la sienne alors qu’il ne les maîtrise pas et, qu’au contraire, il leur reste soumis pour son malheur et ceux des autres.
La tolérance est source de paix, de stabilité en démocratie
Tolérance et respect de la différence d’autrui. Autrui est l’autre en tant qu’il est différent et qu’il est reconnu comme d’égale valeur en dignité et en droit que la mienne. Or la tolérance est l’expression même du respect que l’on doit à la dignité d’autrui, en tant que chacun vaut autant que soi, par son droit de penser et d’exprimer ce qu’il veut ou désire, donc de s’affirmer dans sa différence que l’on soit d’accord ou non avec ses opinions. Elle suppose que la pensée est d’abord expression de soi et qu’elle relève de la liberté individuelle. Les opinions sont toujours subjectives, car elles ne sont pas des vérités universelles ; elles sont donc nécessairement des points de vue personnels et elles sont d’autant plus l’expression de la personne singulière d’autrui que la personne est convaincue de leur valeur de vérité intime ou de leur importance normative en vue du bonheur collectif de la société dans laquelle elle vit. Dans ces conditions toute critique des opinions d’autrui, et plus encore de ses convictions intimes, est ressentie, par la personne, comme dévalorisante de sa personne même. Toute critique des opinions personnelles est donc nécessairement vécue comme une attaque personnelle, une marque de mépris (disqualification) d’autrui, une négation, un refus moralement violent de son droit à penser pour elle-même d’une manière différente. Mais ce refus de la critique ne risque-telle pas d’interdire tout dialogue politique inclusif et celui-ci n’est-il pas nécessaire pour que la pensée de chacun progresse et se libère des opinions toutes faites qui soumettent sa capacité de pensée à des illusions dangereuses pour le bien-vivre personnel (bonheur) et le bien-vivre en commun (la justice) et donc lui interdisent de penser librement (par soi-même) ? Le pouvoir qui se refuse à tout examen critique ne risque-t-il pas, à son tour, d’être intolérant, violent, méprisant voire criminel ? Une opinion qui prétend valoir pour les autres -Vérité objective, normes et valeurs collectives- risque d’être une illusion dangereuse, si elle ne repose sur aucun fondement rationnel. Une conviction intime subjective est d’autant plus prégnante qu’elle prétend être ce qu’elle n’est pas : valoir aussi pour les autres. Quand une vérité ou une valeur normative d’un pouvoir étatique prétend s’imposer aux autres en dehors de tout fondement rationnel (expérimental et cohérence), alors qu’elle n’exprime qu’un sentiment ou désir personnel ; elle risque de faire violence aux autres pour les soumettre à l’arbitraire à défaut de les convaincre au terme d’un dialogue inclusif. Telles sont les convictions fanatiques, qu’elles soient religieuses ou politiques. L’illusion du pouvoir étatique est dangereuse (violence) en cela qu’elle se refuse à toute critique rationnelle de ses fondements, à toute remise en question des évidences toute faites qu’elle prétend imposer aux autres, voire contre eux : si je détiens la vérité indiscutable et sacrée , tout désaccord et toute critique du caractère indiscutable de l’illusion du pouvoir étatique désigne nécessairement l’autre comme l’ennemi de la vérité valant pour tous, donc comme un danger qu’il faut détruire, donc point de dialogue inclusif, point de débats démocratiques, point de liberté d’expression. Ainsi la critique rationnelle (fondée sur des présupposés expérimentaux éprouvés et des raisonnements logiques cohérents) des idées et des opinions est le seul moyen d’éviter les dérives du pouvoir d’état : le scepticisme vis-à-vis des ses propres opinions nous préserve de l’intolérance ; or ce scepticisme passe par le dialogue inclusif avec autrui et l’acceptation des critiques rationnellement argumentées qu’il peut nous faire : « Critique-moi, tu me fais du bien, disait Socrate ».
La critique scientifique au nom de la vérité, pour qu’émerge la raison
Mais ne convient-il pas de distinguer justement la critique des opinions et celle des personnes pour éviter l’intolérance ? Comment distinguer entre les deux, comment critiquer les opinions d’autrui tout en respectant sa personne et ses droits ? Deux sens possibles du mot tolérance doivent être distingués : la tolérance est d’abord un droit : celui pour chacun d’être libre d’exprimer ses opinions, sans être embastillé, réprimé et/ou censuré ; mais cette liberté n’est pas sans limites ; elle s’arrête où commence la liberté des autres : toute opinion politique et/ou violente ne doit pas être tolérée au nom même de la tolérance. Ainsi la tolérance exige que l’on s’interroge sur les incidences de violence que les opinions politiques peuvent produire : une opinion irrationnelle peut devenir violente si elle distingue et oppose les individus entre eux sans dialogue inclusif raisonnable possible ; il en est souvent ainsi entre les croyances politiques mutuellement exclusives. Ainsi est-il nécessaire d’en faire la critique au nom de la vérité. Cette critique est soit scientifique (ordre de la connaissance) soit philosophique (ordre de l’éthique) : mais dans l’un et l’autre cas elle est indispensable à l’amélioration de la qualité (libérale) des relations entre les personnes et les peuples. La critique subjective « externe » qui cherche à disqualifier les opinions d’autrui en dévalorisant sa personne même (révélations sur sa vie privée etc..), sans s’attacher à ses raisons est intolérante.
Elle est irrationnelle en un double sens : elle écarte les motifs raisonnables que la personne peut invoquer pour justifier ses choix idéologiques, elle est déraisonnable en cela qu’elle ne cherche pas l’accord par des arguments rationnels, mais qu’elle vise à attiser le désaccord pour vaincre plutôt que pour convaincre. En cela cette critique est intolérante car anti-démocratique et antirépublicaine. Par contre, toute critique visant à l’amélioration de la société commune, est nécessaire et doit être tolérée. Contrairement à ce que prétend le communautarisme politique, la critique rationnelle est donc le contraire d’un manque de respect : elle met l’autre en position de s’interroger sur la valeur de ses opinions, de ses actes dans la conduite des affaires de l’état ou on décide de la vie de toute la société et donc, en faisant appel à sa raison et à sa science, elle l’incite à devenir plus raisonnable ; or ce qui fait la valeur d’un homme politique, c’est sa capacité à se remettre en cause dans ses opinions, dans ses actes et dans ses désirs subjectifs. La liberté de penser n’est pas la liberté de s’enfermer dans l’illusion dérisoire mais dans la capacité de la surmonter par le dialogue critique inclusif avec les autres et avec soi. Critiquer les opinions d’autrui par le questionnement rationnel, est donc le reconnaître comme digne de penser librement, c’est à dire rationnellement. Est, au contraire, signe de mépris, le refus de discuter avec les autres hommes politiques et embastiller des honnêtes citoyens, saccager et piller ses biens matériels qui ne proviennent pas des caisses de l’état: « Pense ce que tu veux, tu ne vaux pas la peine que l’on discute avec toi ». Les difficultés que les diverses communautés ethniques éprouvent à vivre pacifiquement ensemble sont dues aux multiples tensions attisés par le communautarismes qui existent entre elles-mêmes et les autres faute de dialogue inclusif…
Embastiller les opinions diverses ne résoudra rien
Si ces tensions ne parviennent pas à être politiquement sublimées à travers une dynamique démocratique et républicaine où les contradictions sont résolues dans le cadre d’un espace public cohérent où on accepte l’autre dans sa diversité d’opinions, c’est à cause des déficits de justice sociale qui caractérisent généralement la gestion de l’hétérogénéité ethnique par les hommes politiques. Ce qui a souvent pour conséquence la balkanisation sociopolitique de l’État en segments ethno-identitaires, ethno-communautaires, etno-tribalistes généralement juxtaposés, compte tenu du fait qu’ils n’arrivent pas à nouer un lien politique solide et durable en conciliant les opinions diverses et les positions politiques légitimes. La politique équilibriste dit de rattrapage qui se pratique par nos gouvernants communautaristes auxquels on y recourait naguère à titre d’artifices politiques destinés à résorber l’intolérance et l’ethnicité dans la perspective d’un meilleur vivre-en commun, cachent mal le réel équilibre de la terreur dont les ruptures ont pour conséquence l’expression d’une hostilité que la précarité et le délitement du tissu social achèvent d’exacerber. Amener les diverses opinions et identités à acquérir la culture de la tolérance et de la citoyenneté, c’est soumettre l’intolérance des opinions diverses aux impératifs de l’éthique du vivre en commun. C’est la pédagogie citoyenne qui peut promouvoir une telle éthique en cultivant dans les consciences individuelles et collectives le sens du commun et de la citoyenneté. C’est cela qui peut motiver les différentes opinions à transcender leurs particularités pour se fédérer autour de desseins politiques communs.
Conclusion :
L’écoute attentive des opinions des autres et leur questionnement politique dans la conduite des affaires de l’état sont les conditions indissociables de la tolérance authentiquement respectueuse d’autrui, car la personne ne vaut comme telle qu’en tant qu’elle est autonome dans sa pensée et elle ne peut penser par elle-même qu’en tant qu’elle peut penser d’une manière raisonnée et raisonnable ; or cette capacité d’autonomie exige le dialogue critique inclusif avec les autres comme condition nécessaire du dialogue inclusif avec soi. Donc il est constant que embastiller les opinions démocratiques, contradictoires, diverses, et saccager, piller les biens des honnêtes citoyens qui n’ont pas pour sources les caisses publiques de l’état, dans une démocratie et dans un état en crise ne résoudra rien. La meilleure des solutions, c’est se remettre soi-même perpétuellement en cause afin de trouver les solutions idoines. SOURÄKÄ-DJÖN !!! Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.
DA Candy Lepetitfils : Leader de la Légitimité Citoyenne en exil forcé
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