"SOCIETE/FEEDBACK": QUAND "LAURENT GBAGBO" VOLA AU SECOURS DE "EHUI BERNARD" EN 2003-2004!
Le 16 septembre 2012 par IVOIREBUSINESS - C'est une maxime sociale qui s'abreuve à la source des vertus cardinales de la société africaine originelle, qui soutient la thèse selon laquelle
Le 16 septembre 2012 par IVOIREBUSINESS - C'est une maxime sociale qui s'abreuve à la source des vertus cardinales de la société africaine originelle, qui soutient la thèse selon laquelle
le bienfait n'est jamais perdu... Cette approche humaniste de solidarité spontanée est étayée et consolidée par les écritures saintes: ("REF":Psaume37 v25 à 31):"J'ai été jeune, j'ai vieilli, je n'ai point vu le juste abandonné, ni sa postérité mendiant son pain-Toujours il est compatissant, et il prête, et sa postérité est bénie-Détourne-toi du mal, fais le bien, et possède à jamais ta demeure, car l'éternel aime la justice..." Dans la même dynamique du "bien", nous prenons en compte la référence biblique: (Samuel ch9V9):"Reste-t-il encore quelqu'un de la maison de "SAÜL"(Roi) pour que je lui fasse du bien à cause de "Jonathan"? Implicitement, ces passages et références bibliques mettent en exergue la notion du "bien" qui dans son essence jouit d'un effet boomerang sur soi et la progéniture! En d'autres termes, le "bien" qu'on fait peut rejaillir sur soi ou sa progéniture en termes de dividendes!
Revenons donc au cas de figure qui nous concerne, car s'il y a des faits qui parlent d'eux-mêmes en Côte D'Ivoire, c'est l'altruisme et l'humanisme d'un certain "Laurent Gbagbo" à l'égard de certaines personnes politique qui aujourd’hui au nom d'une nouvelle forme de duplicité politique novatrice appelée ces derniers temps " transhumance" continuent de trahir l'homme politique "Gbagbo"....MAIS, comme dirait ce serviteur de DIEU parisien, la trahison remonte bel et bien à l'époque de "JESUS-CHRIST" avec "Juda', l'initiateur!
"Rappel des faits": En (2003), quelques mois après le coup d'état militaire du (19SEPTEMBRE 2002), métamorphosé en poches de rébellion nordique, une nouvelle terminologie apparait dans la lexicologie politique ivoirienne, à savoir les escadrons de la mort": Son enjeu stratégique: écorner rapidement l'image du président ivoirien et de la Côte D'ivoire pour mieux préparer l'opinion internationale à la chute éventuelle du régime "GBAGBO", jugé moins docile par l'ensemble des occidentaux! A l'époque des faits, " Ehui Bernard",(Un ex ministre du régime "Houphouët", militant pur et dur du "Meeci"(mouvement des élèves et étudiants de Côte D'IVOIRE aux côtés de Alphonse Djédjé MADY, Jean-Jacques BECHIO... dans les années70), avait contracté un crédit auprès d'un richissime libanais de la place abidjanaise: L'on parle de dizaines de millions de francs cfa... Une année plus tard, n'ayant plus de moyens financiers pour faire face à son créancier, l'ex ministre "Ehui Bernard" se cache sous le subterfuge des "escadrons de la mort" qui semblent troubler son sommeil à "Abidjan". L'affaire fait couler beaucoup de salive dans certains milieux politiques sur les rives de lagune ébrié:"Gbagbo" est donc informé par ses services secrets, et fait venir le riche libanais concerné à sa résidence de Cocody! Des auditions du richissime libanais sont effectuées, et la version originale éclate au niveau des faits: C'est par essence une affaire de dette non remboursée dans les délais prévus... Ensuite, l'ex ministre est questionnée, mais entre-temps confondu par les allégations du libanais, perd momentanément la langue! C'est à ce moment que le président "Gbagbo" décide de clore l'affaire par un geste financier spontané à l'égard du libanais qui est du coup de soulagé! "Ehui BERNARD" surpris et ravi par ce geste humaniste du président ivoirien, n'a pas pu à l'époque des faits s'empêcher de faire son apologie! Plus d'une décennie après, revoilà l'ex ministre "d'houphouet" qui semble faire abstraction complète du geste posé par son bienfaiteur! Peut-être est-il rattrapé par la "transhumance" et par son devoir de diplomate régalien? seule l'histoire de la Côte D'ivoire nous le confirmera!
A bon entendeur, salut!
(Yves T BOUAZO)