RAPHAËL LAKPÉ OU LA CONSOLIDATION DE LA DÉMENCE AU SOMMET DE L’ÉTAT

Monsieur Raphaël Lakpé, le nouveau patron du Conseil National de la Presse (CNP), veut marquer ce domaine important de la nation ivoirienne

Monsieur Raphaël Lakpé, le nouveau patron du Conseil National de la Presse (CNP), veut marquer ce domaine important de la nation ivoirienne

de son sceau. Dans ce souci, il vient de mettre tout le monde en garde. C’est lui, monsieur Lakpé qui dira désormais aux journalistes et autres personnes voulant écrire par rapport au Naba Dramane et à ses abus, comment écrire et quels mots utiliser. Si cela n’est pas respecté, la MACA et les autres goulags ouvriront leurs portes à tout « téméraire » qui aura osé faire usage du nom Dramane en parlant de son président, le Naba Dramane, le tyran venu de Ouagadougou pour « mettre les Ivoiriens au pas ».

Monsieur Raphael Lakpé le nouveau patron du CNP en gris.

Monsieur Lakpé n’a pas besoin de rappeler au monde entier que les Ivoiriens vivent depuis les dernières présidentielles de 2010 sous une tyrannie qui dépasse le nazisme d’Hitler. Le malheur des Ivoiriens est qu’ils comptent beaucoup, sinon trop, sur une certaine « communauté internationale » qui pourtant, leur a imposé le Naba Dramane importé de la Haute Volta, du moins du Burkina Faso pour les assassiner et prendre leurs terres sans sourciller.
Le zèle de monsieur Lakpé ne devait pas surprendre les Ivoiriens. Il est un faux revanchard, un arrogant qui ne respecte personne et qui refuse en même temps de reconnaître ses fautes. En fait, la haine de monsieur Lakpé se justifie par des faits ; disons plutôt des crimes qu’il a commis lors de son passage au Front Populaire Ivoirien (FPI) et précisément à la tête du « Groupe Notre Voie ». En sa qualité de patron de la communication du journal pro-FPI, le parti du président Gbagbo, monsieur Lakpé a détourné les fonds du « Groupe Notre Voie ». C’est sa gérance de « je mange et je mange » qui l’a vu chuter comme un fruit pourri de « l’arbre FPI ». Au de se murer pour se faire pardonner, il s’est converti en la plume du Mossi Naba Dramane qui a honte de ses origines voltaïques comme son ami Sarkozy a lui aussi horreur d’entendre qu’il a au moins une partie de lui qui est hongroise, pitié!
Le seul « vrai journaliste ivoirien » (ce sont les propos de monsieur Lakpé lors d’une conférence, à London Bridge, Londres), ne pense pas profondément, voire mûrement avant de parler. Il est à présent dans la logique de « la raison du plus fort est toujours la meilleure ». Il navigue, sans réfléchir dans la même direction que son patron, le Mossi Naba Dramane. Monsieur Lakpé oublie qu’autant il adore la logique de « la raison du plus fort est toujours la meilleure », il n’y a pas de raison que d’autres personnes ne soient pas partisanes de celle de « le loup et l’agneau ». Avec le Mossi Naba Dramane, monsieur Lakpé participe du malheur qui frappe les Ivoiriens et cela, malgré les avertissements reçus de la part de ses amis et de certains membres de sa famille rapprochée. Il est temps que monsieur Lakpé se souvienne du sort de messieurs Dakoury et Mamadou Koulibaly qui comme lui, sous l’effet d’une colère égoïste, ont viré du côté du Mossi Naba Dramane pour « casser du Gbagbo ». Nous disons à monsieur Lakpé de ne point oublier qu’il a fait des enfants. Il est vrai qu’en matière de droit, la faute n’est pas distributive et donc la punition réservée au père qui a commis le crime n’est pas imputable aux enfants. Mais, dans le cas présent et avec la politique de son patron, le Mossi Naba Dramane, les choses pourraient tourner autrement si demain la table du pouvoir passait de l’autre côté et la doctrine de « le loup et l’agneau » pourrait s’appliquer sans problème et sans merci.

D’ailleurs, les deux logiques dont nous parlons depuis viennent du même auteur (La
Fontaine) et donc, si monsieur Lakpé et le Mossi Naba Dramane adorent et pratiquent effectivement la première, une autre frange de la population pourra un jour, elle aussi embrasser la seconde. Car, notre histoire est en train de se mettre en place ; la lutte est en route et les pouvoirs à tout moment pourraient basculer de l’autre côté. Le loup pour trouver des excuses pouvant lui permettre de tuer et de consommer l’agneau, le tenait responsable des fautes que ses parents auraient commises contre lui. Il lui disait « Si ce n’est pas toi, c’est l’un des tiens ». Ceci pour dire que demain, la population abusée, pourra se réveiller et s’en prendre à tout ce qui « sent du Lakpé » comme elle réglera sûrement le compte de tout ce qui est du « Konan Bédié » (nous reviendrons sur ce cas dans nos prochaines publications). Les Ivoiriennes et les Ivoiriens sont déjà debout, chaque jour, ils mettent en place les moyens de leur libération légale qui verra le départ d’une manière ou d’une autre des Hamed Bakayoko, Raphaël Lakpé, Mossi Naba Dramane, Venance Konan, Tiburce Koffi, Soro Guillaume, Konaté Siriki, Brou Aka Pascal et bien d’autres qui tuent les Ivoiriens chaque jour pour assouvir leur instinct sanguinaire et protéger les intérêts de leurs « amis » occidentaux.
Demain, que personne ne crie « aux abus des droits de l’homme ». Car, un système de gouvernement a été inventé et installé en Côte d’Ivoire par Mossi Naba Dramane, ses esclaves et ses tueurs à gage. Comme ce système est bon pour servir Dramane et ses amis, au moment venu, il sera aussi appliqué sur ceux qui l’expérimentent à présent sur les Ivoiriens. En un mot, Dramane et les siens goûteront à leur propre médecine.
Quant à monsieur Lakpé, nous lui demandons de commencer à faire ses valises pour ne point rater le prochain vol que son patron s’apprête à prendre pour son exil ou son voyage à destination inconnue. Sans doute, Mossi Naba Dramane ira (se) reposer en Israël, le pays de ses beaux où il était récemment pour dire au reste du monde « si je ne suis pas invité à Rio+20 et à Petersburg, j’ai aussi des contacts ». Une sorte de « j’existe aussi ».
Nous disons au journaliste suprême, supérieur et omniscient, monsieur Lakpé que le monde ait connu « qu’on a toujours besoin d’un plus petit que soi » et que la diversité sous tous les plans constitue l’essence de la société, notre société. C’est vraiment surprenant qu’un journaliste de son rang ne sache pas cela. Monsieur Lakpé devra se demander si, lui le grand journaliste, a une seule fois depuis sa mue due à la main basse qu’il a faite sur les finances du « Groupe Notre Voie », respecté la déontologie de du métier de journaliste qui lui coûte « très cher ». A-t-il une seule fois respecté l’autorité de l’Etat depuis qu’il est passé du côté de Mossi Naba Dramane ? Peut-il dire ou permettre que quelqu’un dise à Mossi Naba Dramane ce qu’il a dit (voir tous les articles de monsieur Lakpé contre le président Gbagbo) au président Gbagbo pendant que celui-ci avait tous les moyens de l’éliminer comme son maître Pile-Mossi Naba Dramane qui, depuis 2002 tue de l’Ivoirien pour son bonheur illusoire ? Comme son maître Dramane, nous disons que monsieur Lakpé est un névrosé de dernier degré. La seule chose qui les sépare d’Hitler est la couleur de leur peau. Ils tuent pour leur plaisir et au nom d’une simple « frustration ». Ils forcent les portes de l’histoire de l’humanité pendant que celle-ci les repousse. Ils veulent être au centre de l’attention du monde alors que celui-ci ne veut pas d’eux. Est-ce pour cela qu’il faut inventer des lois préhistoriques pour gérer le quotidien des Ivoiriens des années 2000 et plus ? Encore, nous disons que notre histoire est en train

se mettre sur pied ; demain que l’on ne crie pas à un quelconque « abus des droits de l’homme ».
Enfin, à monsieur Lakpé et à tous ceux qui ont choisi le camp de Mossi Naba Pile-Dramane pour ruiner l’Eburnie et assassiner ses enfants, nous disons que la vie est une roue et qu’ils ne doivent pas oublier les jeux des enfants comme « le renard passe et passe, chacun a son tour chez le coiffeur ». Nous demandons à monsieur Lakpé de se ressaisir dès maintenant ; les Ivoiriens sont très humains, ils lui pardonneront. Si monsieur Lakpé attend très longtemps, demain, personne ne sera là pendant qu’il criera « au secours ». De notre côté, les pleurs sont finis et les solutions fusent de partout pour notre indépendance véritable.

SYLVAIN DE BOGOU