MAISON BLANCHE: OBAMA REÇOIT 4 VRAIS DÉMOCRATES AFRICAINS DONT MACKY SALL

Le 29 mars 2013 par IVOIREBUSINESS - LES FAUX DÉMOCRATES ET DICTATEURS RECALÉS.

PHOTO DE GAUCHE A DROITE: Le président du Sénégal Macky Sall, le président du Malawi Joyce Banda, le président Obama, le président de la Sierra Leone Ernest Bai Koroma et le Premier ministre du Cap Vert, José Maria Pereira Neves.

Obama reçoit et félicite 4 Chefs d’État africains "qui font un travail extraordinaire.

Le président Obama a appelé à un «nouveau modèle» de partenariat avec l’Afrique au cours de sa réunion du 28 mars avec quatre dirigeants africains à la Maison Blanche. Ces leaders, démocratiquement élus dans leurs pays sont le président du Sénégal Macky Sall, le président du Malawi Joyce Banda, le président de la Sierra Leone Ernest Bai Koroma, et le Premier ministre du Cap Vert José Maria Pereira Neves.
« Mon principal message à chacun de ces dirigeants », a dit Obama, «c’est que les États-Unis vont être un partenaire fort, ne reposant pas sur l’ancien modèle dans lequel nous sommes un des bailleurs de fonds et ils sont tout simplement un destinataire, mais un nouveau modèle qui est basé sur le partenariat en reconnaissant qu’aucun autre continent ne possède un potentiel supérieur ou égal au continent africain »
L'année dernière au mois de Juillet, il avait reçu un premier groupe de leaders africains qualifiés de démocrates, mais dont il s'est aperçu que certains parmi eux étaient en réalité de véritables dictateurs, violant les droits de l'homme, emprisonnant et éliminant leurs opposants, truquant les élections, et dont les forces de sécurité s'illustrent tous les jours dans l'impunité la plus totale. Parmi eux, Alpha Condé de Guinée, Alassane Ouattara de Côte d'Ivoire, Yayi Boni du Bénin, et Mahamadou Yssouffou du Niger.
Les yeux du Président américain Barack Obama semblent peut-être désormais ouverts sur l'Afrique et ses leaders, sur qui sont les vrais et les faux démocrates africains.
Au cours de son premier mandat, il avait été manipulé par l'ONU de Ban Ki Moon et Susan Rice, et par la France de Nicolas Sarkozy, concernant le Président Gbagbo, qu'il était allé jusqu'à qualifier de dictateur. La suite on la connait.

Oumou Djeneba,
Correspondante permanente aux USA