La procureure de la CPI en difficulté: Voici le secret pour la libération de Gbagbo
Par Correspondance particulière - Voici le secret pour la libération de Gbagbo.
L’affaire Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale (Cpi) a pris une tournure dramatique pour les accusateurs et a sonné la cloche pour un nouvel élan d’éveil pour les partisans du président ivoirien renversé par la France. Le 3 juin 2013, en demandant de nouvelles preuves au Bureau du Procureur de la Cpi, les magistrats ont égalament invité, de façon tacite, les Patriotes et Résistants du monde entier à fournir le dernier effort pour la victoire finale. C’est ce qu’un Patriote ivoirien, sous le sceau de l’anonymat, nous fait savoir, dans le texte qui suit.
Dans un communiqué de presse rendu public le lundi 3 juin 2013, les juges de la chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (Cpi) ont estimé que le Bureau du Procureur n’avait pas apporté de preuves suffisantes leur permettant de confirmer les accusations de crimes contre l’humanité portées contre Laurent Gbagbo et de l’envoyer en procès. Ils demandent au procureur d’envisager de fournir des preuves supplémentaires ou de mener des enquêtes supplémentaires sur un certain nombre d’éléments mentionnés par eux. Six points sont concernés. Entre autres points, « la structure organisationnelle des forces pro-Gbagbo, les confrontations possibles entre ces forces et des groupes armés opposés, et sur l’adoption alléguée d’un plan visant à attaquer la population civile considérée comme “pro-Ouattara”, les préjudices que les victimes auraient subis ainsi que leur allégeance réelle ou supposée ». Cette décision appelle quelques observations.
I - Sur la décision d’ajournement de l’audience
Les principes généraux du droit nous enseignent que le doute profite à l’accusé et garantissent le droit de l’accusé à être jugé dans un délai raisonnable. Ces deux principes ne sont, selon nous, pas respectés en la matière. M. Gbagbo continue d’être maintenu dans les liens de la détention, le temps pour le Bureau du Procureur de courir après d’autres éléments de preuve afin de consolider un dossier qu’il estimait déjà solide. La chambre a établi un calendrier de communication. Celui-ci fait que M. Gbagbo restera dans les liens de la détention encore au moins dix (10) mois puisque le rendu final du verdict aura lieu en avril 2014. Les juges ont souligné que, la présentation des éléments de preuves supplémentaires ne constitue pas une violation des droits de la défense, la défense disposant de suffisamment de temps pour préparer ses moyens de preuve. Les juges considèrent ainsi qu’une durée de deux (02) ans et demi d’enquête pour trouver les épreuves de crimes contre l’humanité est un délai raisonnable. Pour notre part, nous trouvons ce délai déraisonnable. Sauf dans le cas de l’intervention d’une mise en liberté provisoire, M. Gbagbo restera dans les liens de la détention de novembre 2011 à avril 2014. Ce qui est, à nos yeux, excessif. Il demeure que, pour avoir voulu hériter de la haine du procureur militant du Rassemblement des Républicains (Rdr) et de son chef, M. Alassane Ouattara, Luis Moreno Ocampo, contre M. Laurent Gbagbo, pour avoir accepté de suivre aveuglement ses traces, le Bureau du Procureur Fatou Bensouda s’est fourvoyé et s’est fait humilier. Les preuves sont tombées comme un château de cartes, soufflées par l’expertise avisée des juges et des avocats de la défense qui, bien vite, ont su distinguer le faux du vrai. Bien entendu, au lieu de se dessaisir en toute logique d’un dossier dont elle n’a fait qu’hériter, par bravade et par amour-propre, elle revient à la charge, plus haineuse que jamais, résolue à casser du Gbagbo : elle interjette appel de la décision d’ajournement de l’audience et dans le même temps, s’en va à la poursuite des preuves supplémentaires demandées par les juges afin de rendre encore plus solide un dossier déjà réputé solide. Sera-t-elle simple ou hercule ?
II- Hommages et félicitations
Honneur aux juges de la Cpi pour avoir dit le droit, au nom de la vérité et de la justice qui commandent leur déontologie. Nous demeurons persuadés que malgré les contraintes de toutes sortes que l’on peut aisément deviner dans ce procès au casting digne d’une superproduction hollywoodienne, ils finiront par dire le droit, tout le droit, rien que le droit, toujours au nom de la vérité et de la justice. Nous avons confiance. Nous gardons l’espoir d’une libération prochaine du Président Laurent Gbagbo. Toutes nos félicitations donc au pool d’avocats de la défense, mené de main de maître par Me Emmanuel Altit. Avec grand professionnalisme et forte expertise, ils ont gagné le procès en faisant triompher la vérité sur le mensonge. L’on a toujours raison quand on prêche le vrai. Ils savent cependant que leur mission de dire le droit n’est pas terminée mais nous savons également que leur vigilance ne sera jamais surprise. Honneur à leurs Excellences, les chefs d’Etat et de gouvernement membres de l’Union africaine et à la Présidente de la Commission de l’Union africaine, S.E Docteur Nkosazana Dlamini-Zuma, qui ont su réagir avec solennité et promptitude, lors de la célébration du 50ème anniversaire de l’institution africaine, le 25 mai 2013, pour dénoncer la spirale infernale de la comparution devant la CPI des seuls dirigeants africains, pour certains dignes, parce que soucieux de faire respecter le principe de l’égale souveraineté des Etats, le droit des peuples africains à disposer d’eux-mêmes, de battre en brèche une certaine conception des relations internationales qui consacre le diktat des pays occidentaux sur les pays africains. Les différentes interventions lors de ce sommet ordinaire sonnent la « révolution des gueux.» Hommage mérité et remerciements aux Forces politiques et sociales, aux Patriotes et Résistants de tous les continents, épris de démocratie et de paix. Ils se sont mobilisés résolument dans la discipline pour le triomphe de la vérité et de la justice, pour une certaine idée de l’Afrique et du Monde. Ils ont fait et bien fait leur devoir. Salut et soutien à l’initiative de l’intrépide et infatigable combattante Calixte Beyala qui appelle à signer une pétition en vue de demander la sortie des Etats africains de la Cpi. Déjà, nous nous considérons comme signataire de cette pétition. Sa courageuse initiative finira inévitablement par triompher.
III- L’audience décisive d’avril 2014
C’est sûr : au match retour, s’invitant au débat, les puissants Etats et réseaux politico-industrialo-militaires vont s’évertuer à forcer les portes du prétoire de la Cpi pour y faire entrer la politique, faisant, dans le même temps, sortir le droit par la fenêtre. En effet, surpris et sonnés par un uppercut et non un coup K.O., nos puissants sont « groggy », ils sont dans les cordes, ils titubent mais refusent de tomber. Tout connaisseur averti de la boxe sait que c’est à ce moment que le boxeur en difficulté est le plus dangereux. Dans un dernier sursaut de survie et d’orgueil, il va vouloir porter le coup fatal à même de désarçonner l’adversaire et le mettre K.O. pour de bon. Mais il sera tout de même disqualifié si le coup donné ne respecte pas les règles du jeu. Il en va ainsi si le coup est donné, par exemple, en dessous de la ceinture.
Forces politiques et sociales,
Patriotes et Résistants de tous les continents,
Epris de démocratie et de paix,
Le match retour sera donc décisif. Il sera sans mi-temps et sans temps mort. Les puissants réseaux de ce monde qui complotent pour faire main-basse sur la Côte d’Ivoire et ses richesses sont loin d’avoir abdiqué. Ils vont recruter une équipe stratosphérique qui a l’art de mixer dans le shaker des officines d’experts en faux et en usage de faux pour renverser la vapeur et faire triompher leur cause bien mal engagée. Mais, comme déjà dit, quelle que soit la force d’une équipe, elle doit respecter les règles du jeu. Le fair-play lui en fait l’obligation. Et c’est à l’arbitre, c’est à dire aux juges de la Cpi, qu’il revient la mission de la rappeler à l’ordre et de la sanctionner si nécessaire. Nous pouvons nous fier à leur formation adéquate, à leur rigueur et à leur expertise vigilante dans l’examen des dossiers soumis à leur attention, à leur éthique au service de la vérité et de la justice, à leur intime conviction et à leur sens de l’honneur. Mais il incombe aussi à l’équipe adverse, c’est-à-dire aux avocats de la défense, d’attirer avec courtoisie l’attention de l’arbitre, donc des juges, sur les manquements et manipulations des règles du jeu si ceux-ci, par extraordinaire, venaient à échapper à la vigilance exercée des juges. En matière sportive, quelle que soit la discipline, le fair-play est de rigueur et on ne peut pas faire n’importe quoi, même si l’on s’arroge le statut de puissant. La tricherie, le croc-en-jambe et les simulations sont interdits.
IV- Pour l’audience décisive
Face à l’immensité du challenge, nous nous tournons de nouveau vers vous, Forces politiques et sociales, Patriotes et Résistants de tous les continents, épris de démocratie et de paix. Ensemble, par un travail intellectuel et de mobilisation intense, par une diplomatie active de tous les instants, nous avons réussi à révéler la réalité historique pour parler comme le Président Gbagbo : «… C’est une grande victoire, une première grande victoire significative dans ce long chemin qui mène vers la vérité, vers la révélation de ce qui a été la réalité historique » (propos rapportés par Me Emmanuel Altit, «le Quotidien d’Abidjan », du jeudi 6 juin 2013, N° 922, p.3) Notre fierté et notre émotion sont grandes et légitimes. Mais pour arriver au terme du « long chemin qui mène vers la vérité, vers la révélation de ce qui a été la réalité historique », nous devons quitter maintenant le terrain de la fierté et de l’émotion pour aborder celui du concret. Par un travail intellectuel et de mobilisation encore plus intense, plus méthodique, nous devons parvenir à transformer l’essai, c’est-à-dire faire de notre victoire d’étape la victoire finale. N’oublions pas que, parfois, dans les épreuves de la vie, notre plus grand cauchemar est de prendre une grande avance. C’est sûr : nous avons pris une grande avance. Ce verdict de la Cpi du lundi 3 juin 2013 a établi la « vérité historique » (Me Emmanuel Altit) sur les faits survenus en Côte d’Ivoire, pendant ce qu’il est convenu d’appeler « la crise postélectorale » ; elle a ruiné les idées reçues sur le Président Gbagbo et réhabilité son image de démocrate inflexible aux yeux de l’opinion, de patriote africain atteint dans son honneur. Cette audience a également dévoilé à tout observateur de bonne foi de la crise ivoirienne les ressorts visibles et même invisibles du bombardement de la résidence officielle du chef de l’Etat ivoirien, avec le Président Gbagbo à l’intérieur, par les hélicoptères de la France du Président Sarkozy, de son enlèvement par Alassane Ouattara pour le déporter à la Cpi, à La Haye, c’est-à-dire loin de la Côte d’Ivoire, sa terre natale, et de ses populations, mais aussi et surtout la vérité sur les résultats du scrutin présidentiel. L’observateur de bonne foi découvre alors avec stupéfaction que le perdant a été proclamé gagnant et le gagnant déclaré perdant. Au mépris des véritables résultats du scrutin qui ont permis au Conseil constitutionnel, juge suprême, de proclamer M. Laurent Gbagbo vainqueur de l’élection présidentielle 2010 en Côte d’Ivoire. Selon le bon vouloir des membres d’une certaine communauté internationale fortement instrumentalisée par le Président Sarkozy qui, au nom d’une puissante logique d’intérêts croisés et enchevêtrés, a foulé aux pieds les dispositions de la Constitution ivoirienne. Pour gagner définitivement, nous devons, par notre intelligence, notre sens de l’organisation et notre mobilisation active et multiforme sur le terrain trouver par anticipation des réponses pertinentes et judicieuses aux six points soumis aux investigations du procureur de la Cpi, Fatou Bensouda, pour faciliter le travail en réplique de Me Emmanuel Altit et ses collaborateurs. En la matière, et contrairement aux faux, le superflu ne nuit pas. Les avocats de la défense sauront faire le tri nécessaire d’harmonisation des éléments de preuve produits par nous. Chacun de nous, dans sa spécialité, par sa connaissance du terrain, des faits et des événements survenus pendant la crise, par sa capacité d’analyse lui permettant d’établir une articulation entre les faits et les événements, par la rigueur de ses investigations et la force de son argumentation, par la restitution fidèle des faits et événements vécus ou portés à sa connaissance, doit faire œuvre pédagogique pour s’approprier les six éléments de preuves supplémentaires soulevés par les juges à l’attention du bureau du procureur de la Cpi, les décortiquer pour mieux les dompter. Ouvrons donc les yeux, écoutons aux portes, pénétrons avec grande prudence dans l’intimité secrète des réseaux mafieux de fabrication et de manipulation des preuves pour détecter le mode opératoire avec pour seul souci de traquer le faux, le montage et le mensonge. Dans la panique bien visible du camp pro-Ouattara depuis l’audience d’ajournement des charges, nous devons nous attendre à tous les stratagèmes et coups bas possibles. Notre mission, mieux, notre devoir, est de contribuer à ce que la vérité soit dite pour qu’elle triomphe sur le mensonge tout en sachant en cela que la vérité et la justice finissent toujours par triompher de tous les montages. Souvenons-nous de cette image de violation des droits de l’homme en 2008 en provenance du Kenya imputée malhonnêtement au Président Gbagbo en 2011 par le procureur Luis Moreno Ocampo et reprise sans aucun discernement par le procureur Fatou Bensouda, qui a profondément discrédité l’accusation. Toute personne digne, surprise dans la présentation d’un montage aussi grossier devant une juridiction, devrait remettre sa démission auprès de l’autorité habilitée à la recevoir.
Forces politiques et sociales,
Patriotes et Résistants de tous les continents,
Epris de démocratie et de paix,
Pour donner un écho pertinent au cri de l’Union africaine, pour appuyer les avocats de la défense dans leur devoir de réplique, nous devons continuer à faire notre part de travail. Pour le match retour donc, dans les vestiaires, à la sortie des vestiaires jusqu’à l’entrée sur le terrain pour une rencontre décisive, nous devons fournir aux avocats de la défense tous les éléments de preuves supplémentaires en gardant présent à l’esprit que les juges préfèrent « examiner des éléments de preuves médico-légales ». Au lieu de verser dans le voyeurisme et l’exhibitionnisme, les prétendues victimes du Président Gbagbo devront chercher à se montrer plus convaincantes. Après la foireuse marche au Plateau et les autres foireuses manifestations qui suivront pour « rattraper » celle qui a déjà foiré - ils rattrapent tout dans ce pays ! - il leur faudra bien trouver les éléments de preuves médico-légales sans verser dans le faux. Ce qui, on le sait, n’est pas chose facile pour elles. A y réfléchir, quelle est cette drôle de guerre civile en Côte d’Ivoire où les victimes ne sont que d’un seul et même camp, celui des vainqueurs, avec le large soutien de la France ? Par ailleurs, les points identifiés par les juges nous mettent d’autant plus à l’aise qu’ils nous permettent, pour la première fois, officiellement, de mener une incursion dans le camp des pro-Ouattara. Nous révèlerons ainsi à l’opinion, la rébellion et son plan programmé de déstabilisation de la Côte d’Ivoire et du régime du Président Gbagbo, des personnalités, des mouvements et organisations qui la constituent, les parrains et hommes de terrain, la cruauté bestiale avec laquelle ils ont opéré sur le terrain avec l’extermination de tous les corps, des couches de population dans les régions présumées favorables au Président Gbagbo, des puissants renforts en hommes et armements convoyés par la France du Président Sarkozy au soutien de la rébellion, l’activisme déployé par les ambassadeurs de France, des Etats Unis d’Amérique etc. pour déstabiliser les forces loyalistes, c’est-à-dire celles qui ont fait le serment de défendre les institutions de la République et des autorités qui les incarnent et les servent, avec, au premier rang, le plus illustre d’entre tous, le Président de la République Laurent Gbagbo ; les crimes contre l’humanité commis par les rebelles, notamment dans l’ouest de la Côte d’Ivoire avec un triste personnage sanguinaire, Amadé Ouérémi, aux ordres du Président Blaise Compaoré et de Monsieur Alassane Ouattara, la création de toutes pièces de drames par la rébellion et ses parrains afin de provoquer la prise de certaines résolutions au profit de celle-ci par les Nations Unies, la manipulation médiatique pour faire du bourreau la victime et de la victime le bourreau. Tout ce travail d’éclairage de l’opinion nationale et internationale, par la relation des faits et des événements pour rétablir la « vérité historique », doit s’accompagner d’une importante activité diplomatique auprès de toutes les institutions, de tous les organismes et de toutes les personnalités soucieux de respecter les droits de l’homme, mais aussi et surtout préoccupés de voir la vérité et la justice triompher en Côte d’Ivoire, leur permettant ainsi d’œuvrer à la libération de M. Laurent Gbagbo. Tout cela, avec cet esprit de méthode, de discipline et de rigueur qui nous caractérise.
Forces politiques et sociales,
Patriotes et Résistants de tous les continents,
Epris de démocratie et de paix,
Empruntons l’aphorisme du Président Laurent Gbagbo : « Le serpent n’est pas encore mort, ne laissons donc pas tomber le bâton!». Surprise dans sa tanière, la bête maléfique affûte ses crochets pour mordre afin de nous inoculer le venin mortel qui viendra, alors que nous sommes si près du but, ruiner tous nos espoirs. Les ennemis qui veulent tuer toute idée d’alternance en Côte d’Ivoire et en Afrique, et toute idée d’indépendance et de souveraineté en Côte d’Ivoire et en Afrique et tous ceux qui sont porteurs de ces idées, rêvent toujours de donner du temps à M. Alassane Ouattara pour achever son mandat, pour le reconduire même, afin qu’il puisse tenir toutes les promesses juteuses et léonines qui leur ont été faites au détriment des richesses, de l’indépendance et de la souveraineté de la Côte d’Ivoire. Ces nostalgiques du retour au parti unique vivent aujourd’hui dans l’arrogance, dans l’impunité et dans le confort, règnent par la violence qui secrète la peur et la méfiance au sein des populations. L’on comprend alors pourquoi ils paniquent et menacent même de « brûler la Côte d’Ivoire », rien que dans la perspective d’une libération prochaine du Président Laurent Gbagbo et de son retour dans son pays. Les intérêts en jeu sont si colossaux qu’il faut, coûte que coûte, faire obstacle à une telle éventualité qui verrait déjouer tous leurs programmes et plans de mise en coupe réglée de la Côte d’Ivoire. Qui joue avec le feu s’y brûle, ils semblent l’oublier. Où seront-ils quand le pays brûlera? Par notre combat et notre résistance patriotiques, nous tuerons en eux leurs funestes desseins d’un retour au parti unique et nous assurerons ainsi le triomphe du combat et de la vision démocratiques du Président Gbagbo pour la Côte d’Ivoire et pour l’Afrique. En effet, pour lui, la démocratie reste la seule voie pour le développement et la prospérité de la Côte d’Ivoire et des Etats africains. Nous terminerons en ayant en pensée cette citation des Saintes Ecritures par le Président Gbagbo : « La fin d’une chose vaut mieux que son commencement » (Le quotidien d’Abidjan, Ibid.)
Le patriote éveillé