JUSTICE - AGBOVILLE: N’GBESSO MARIE CÉCILE ÉPOUSE KOUAO, INJUSTEMENT MISE AUX ARRÊTS PAR LA JUGE Dadié Marie-France

Le 01 février 2013 - Dame N’GBESSO MARIE CÉCILE MISE AUX ARRÊTS.

Photo: N’GBESSO MARIE CÉCILE.

Le 01 février 2013 par IVOIREBUSINESS – Dame N’GBESSO Marie Cécile, fraîchement devenue veuve après la mort de son mari, Mr Kouao, le 24 janvier 2011, contre toute attente, croupit à la prison d’Agboville. Grâce au bon vouloir de la juge d’instruction Dadié Marie Cécile, qui l’avait convoquée pour affaire la concernant. Avec la complicité des autres enfants du défunt qui ont juré d’avoir la peau de leur belle-mère, et des villageois DE OUANGUIÉ, village du défunt. Lesquels ne la reconnaissent pas comme l’épouse légitime du défunt Kouao, elle vue comme l'étrangère venue d'ERYMAKOUDJIE 1.
Répondant à la convocation de la juge, alors qu’elle ne faisait que juste valoir ses droits de veuve, suite au décès de son époux, elle est mise aux arrêts par la juge d’instruction pour faux et usage de faux, puis déferrée à la prison d’Agboville, alors que son état de santé est inquiétant.
En effet, elle souffre d’un asthme sévère et de maux de jambes très douloureux, selon ses enfants contactés par IvoireBusiness.
Les droits de Dame Kouao N’Gbesso Marie Cécile, ce sont tout simplement un ACTE de NOTORIÉTÉ qu’elle a entrepris de se faire délivrer, afin d’hériter du domicile conjugal, comme le veut la loi.
En tant qu’épouse légitime, elle brandit un CERTIFICAT DE MARIAGE, prouvant qu’elle est bien l’épouse du défunt.
Cette démarche connaîtra plusieurs reports successifs, et la mutation du premier juge en charge de l’affaire, madame SYLLA. C’est alors qu’entre en scène la juge Dadié Marie France dont les méthodes expéditives éclatent au grand jour, avec l’arrestation de Dame Kouao.
La juge convoque la veuve pour l’entendre sur cette affaire d’Acte de Notoriété.
Et sans même écouter sa version, elle lui notifie qu’elle est en état d’arrestation, et la déferre aussitôt, malgré son état de santé et sans ses médicaments.
Aujourd’hui, les enfants de cette pauvre dame, déjà éplorée crient à l’injustice et à l’indignation. Ils exigent que leur mère soit immédiatement liberée et qu’elle soit retablie dans ses droits.
De plus, ils mettent en garde la juge Dadié Marie-France, si leur mère décédait en prison.
Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi cette justice expéditive sans avoir entendu la concernée ?
Selon nos sources, les enfants que le défunt Kouao a eu d’un autre lit, auraient réussi à corrompre la juge Dadié Marie-France faisant passer dame N’guesso Marie Cécile pour une usurpatrice qui ne se serait jamais mariée avec leur père.
L’Acte de Mariage brandit par elle, bien que très vieux, serait selon eux un faux.
Toute accusation qui a suffi à la juge d’instruction pour accuser l’épouse du défunt de faux et usage de faux.
Cette dernière entame en ce moment même une grève de la faim dont les conséquences pourraient être dramatiques avec son état de santé.
Triste histoire qu’IvoireBusiness suit de très près.

Patrice Lecomte, avec une source jointe sur place