"Fait divers en banlieue parisienne": "Villepinte pleure "Mariam Bokoum"

Le 28 novembre 2011 par IvoireBusiness - Une marche blanche a eu lieu à "Villepinte" en "Seine Saint Denis" en hommage à la jeune guinéenne de 23 ans, "Mariam Bokoum" retrouvée morte

Le 28 novembre 2011 par IvoireBusiness - Une marche blanche a eu lieu à "Villepinte" en "Seine Saint Denis" en hommage à la jeune guinéenne de 23 ans, "Mariam Bokoum" retrouvée morte

dans un cimetière le 16 Novembre dernier à Fosses(Val d'oise), a constaté un journaliste de l'AFP. Famille, amis, et voisins se sont rassemblés en fin de matinée dimanche dernier au pied de l'immeuble où vivent les parents de la victime, dans le quartier du parc de la Noue à "Villepinte". Vêtus de t-shirts blancs sur lesquels était imprimée une photo de la jeune femme souriante; ils ont défilé dans une grande émotion derrière les banderoles affichant le slogan "Rip Myriam"(Rest in peace) littéralement (repose en paix) et plus jamais ça! Tout ce qu'on demande, c'est que justice soit faite, qu'on dise stop à la violence, surtout à la violence contre les jeunes filles, a dit à "L'AFP", "Adama Konaté", parent de la victime! Selon les faits, "Mariam Bokoum" est originaire de "Guinée Conakry", et résidait à "Villepinte" où elle a été retrouvée morte dans le cimetière de "Fosses" sur la tombe d'un jeune nommé "Adrien Debray" , un de ses amis tué en 2010 lors d'un rixe entre bandes à "Sanois"(Val d'oise). Victime d'un déchainement extrême, elle est morte dès suite d'une strangulation et d'une hémorragie intracrânienne. Les amis de la guinéenne "Mariam Bokoum" ont évoqué une jeune femme souriante, douce à l'écoute des uns et des autres et très croyante! La jeune femme était embauchée par le maire de "Villepinte" et travaillait dans les centres de loisirs auprès des enfants. C'était quelqu’un de sérieux, discret qui arrivait toujours à l'heure, a décrit à "L'AFP" la maire(divers gauche de la ville de "Vilepinte", "Nelly ROLAND Riberry". C'est un crime horrible, car "Mariam Bokoum" avait toute la vie devant elle, a t-elle dit! Au finish, ce crime odieux pose implicitement une fois encore l'épineux problème lié à l'insécurité dans certaines banlieues, et surtout la violence maladroite faite aux jeunes femmes sans défense !

(Yves T Bouazo-Le titre, les ajouts, et la conclusion sont de la rédaction-Sources (AFP)