EXCLUSIF - OFFENSIVE DIPLOMATIQUE : LE RPCI-AC INVITE DU PRÉSIDENT DE L’ASSEMBLEE NATIONALE CLAUDE BARTOLONE

Le 29 janvier 2013 par IVOIREBUSINESS - CHRISTIAN VABE INVITE PAR CLAUDE BARTOLONE, A L’HÔTEL DE LASSAY.

Le Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire Alternative Crédible (RPCI-AC) après Africa24 vendredi dernier, était l'invité du Président de l'assemblée nationale française, l’Honorable Claude Bartolone, le lundi 28 janvier 2013 à l’Hôtel de Lassay, résidence officielle du Président de l’Assemblée.
C’était à l’occasion de la réception offerte par le Président Bartolone, pour présenter ses vœux de Nouvel An à ses amis et proches.
La délégation du RPCI était conduite par son président Christian Vabé.
Tandis que la délégation de la Diaspora ivoirienne et du mouvement des Africains Français (MAF) était conduite par Koudou Madeleine, amie de longue date du président Claude Bartolone, et élue socialiste de la majorité municipale à Clichy-Sous-Bois.
Le RPCI-AC a profité de ces Vœux de Nouvel An pour s’entretenir de la situation politique en Côte d’Ivoire, où les droits de l’homme sont bafoués, l’opposition absente ou taillée sur mesure par le chef de l’Etat Ouattara, où les FRCI tuent volent et violent en toute impunité, où existent des camps de torture et de concentration, et où les prisonniers politiques ne se comptent plus. Le mouvement politique dirigé par Christian Vabé s'est félicité que les discussions avec le Président Bartolone aient été franches et constructives.
Les deux hommes ont prévu se revoir bientôt, pour approfondir leurs réflexions sur la Côte d’Ivoire.
Christian Vabé a expliqué aux députés français présents, comme vendredi dernier sur la chaîne internationale AFRICA24, qu’il représentait aujourd'hui la vraie opposition au régime Ouattara, et la vraie alternative crédible pour réconcilier les ivoiriens, réinstaurer la démocratie et d’Etat de droit, respecter les droits de l’homme, mettre fin à l’impunité dont jouissent les FRCI, amorcer le développement, rassurer les investisseurs, et rassembler les ivoiriens sans considération du bord ethnique, de la religion, et de l’appartenance politique.
Pour le RPCI-AC, l’après Ouattara a déjà commencé, et il s’y inscrit résolument.

Catherine Balineau