DRAMANE OUATTARA ETAIT Â LONDRES, LE MENSONGE, LA HONTE ET LA POISSE ÉGALEMENT, par Sylvain de Bogou

L’arrivée de Dramane Ouattara à Londres avait été annoncée à grandes pompes. Le mensonge et les menaces étaient au rendez-vous. La honte et

la poisse n’ont pas manqué, non plus. Et, au même moment, la Côte d’Ivoire continue de broyer du noir.

ADO et le ministre britannique des Sports, Henry Belligham.

L’arrivée de Dramane Ouattara à Londres avait été annoncée à grandes pompes. Le mensonge et les menaces étaient au rendez-vous. La honte et

la poisse n’ont pas manqué, non plus. Et, au même moment, la Côte d’Ivoire continue de broyer du noir.

L’ambassade de Côte d’Ivoire à Londres (principalement) et les fanatiques du tortionnaire Naba Dramane avaient fait croire à qui veut les écouter que leur « mentor » avait été invité par la Reine Elizabeth II. Rien de tout cela n’était vrai. C’était simplement une sorte « de la grenouille qui voulait grossir plus qu’un éléphant ». Dramane-Naba-Tortionnaire, comme à ses habitudes, était tout bonnement en promenade au Royaume-Uni comme à son habitude depuis qu’il a été téléporté comme dans un film de science fiction au bord de la lagune Ebrié. Il voulait profiter des Jeux Olympiques pour se faire valoir, se donner une image de bon commerçant venant brader les richesses de la Côte d’Ivoire. Et, ce commerce ignoble, toute personne qui le dénonce reçoit des coups d’appel anonyme de certains lâches qui tombent dans une bassesse qui expose le niveau de leur intellect et de leur éducation.
La main n’a pas pu cacher le soleil, les langues se délient au sein du noyau le plus fanatique et le plus aveugle parmi les sbires de Dramane Ouattara à Londres. Beaucoup de secrets que l’on voulait cacher pendant longtemps, commencent à glisser entre les doigts de ceux qui sont supposés en être les gardiens. Vraiment, la vérité finit toujours par vaincre le mensonge.
Dramane Ouattara est parti de Londres sur la pointe des pieds. Il n’a pas été vu par la Reine. Le Premier Ministre David Cameron n’a pas eu, lui aussi de temps à lui accorder. Même à sa descende d’avion en provenance de Paris, il a été accueilli par un maire. Les membres du gouvernement britannique n’ont pas trouvé nécessaire de se déplacer. La question est de savoir si les autorités britanniques étaient averties de l’arrivée de l’imposteur offert à toute l’Afrique en général et à la Côte d’Ivoire en particulier par l’ex-nain de l’Elysée, Sarkozy le « refugié ». Récapitulons pour dire que l’ambassadeur Claude Bouah-Kamon et son équipe sélectionnée sur mesure, depuis leurs bureaux de Victoria, ont menti à tout le peuple ivoirien et au monde entier. Ils ont fait usage de faux en disant que l’assassin Dramane était l’hôte de la Reine, donc toute manifestation contre lui « pourrait conduire les autorités britanniques à arracher le passeport aux anti-Dramane ».
Sur ce mensonge grossier, nous interpellons les autorités britanniques. Nous leur demandons de prendre leurs responsabilités vis-à-vis de l’ambassadeur et de ses collaborateurs (surtout de sa collaboratrice madame Vanié née BEDE Roselyne Salomé, l’une des personnes les plus zélées de cette ambassade, nous parlerons un peu plus d’elle). Un ambassadeur qui raconte du faux n’est pas digne de représenter un peuple. Mais hélas, nous sommes dans le royaume du Naba-Mossi Dramane où le mensonge a été institutionnalisé comme moyen de gouvernance. Nous sommes dans royaume Naba où le mensonge a remplacé la vérité avec l’aide du fusil.

LE TORTIONNAIRE DRAMANE À CHATHAM HOUSE.

Depuis 8h00, le 27 juillet 2012 dernier, les partisans du tyran Dramane qui avaient été financés, selon nos contactes dans leurs milieux, pour venir « barrer la route » aux patriotes ivoiriens, avaient pris « en main » les abords du « Think Tank ». Les patriotes étaient présents comme cela avait été annoncé depuis que la nouvelle de l’arrivée du Naba avait pris les foyers des Ivoiriens au Royaume-Uni en cette période des jeux olympiques.
Le Naba était là, mais il n’a pas osé saluer les Ivoiriens dont il prétend être le chef. C’est de dos que ses fanatiques l’ont vu ce jour de vendredi dans un couloir. Il avait eu accès à la salle de conférence de cette institution par une porte de rat. Et pour quoi ? Parce que l’entrée principale qui a été toujours utilisée par tous les intervenants était devenue « un sens interdit » pour lui. Les patriotes ivoiriens, bien que moins nombreux que les « déplacés » de Dramane, ont démontré avec des preuves (images en couleur des assassinats commis par Dramane et par ses troupes) que celui qui était venu parler de développement, est un tyran d’un autre siècle, un pyromane et un génocidaire notoire. Ne pouvant pas faire face aux images de ses victimes de Duékoué et aux patriotes qui criaient « Dramane tueur, violeur, éventreur, pyromane, Hitler …», il a prié, nous dit-on, les agents de la sécurité de le faire passer ailleurs. Et donc, comme un rat, le Naba assassin des gentils Ivoiriens, a été exfiltré comme un petit voleur cherchant refuge après son forfait. Il est parti de Chatham House comme il y est venu, dans la clandestinité. Qui connaît Dramane de doit pas être surpris, car l’homme a toujours fui devant les cris des personnes qu’il abuse. Comme quoi, « le chien ne change jamais sa façon de s’asseoir ».
En fait que c’était-il passé au sein de du bâtiment célèbre du centre de Londres ? La « grande intervention » de Dramane Ouattara avait accouché d’une larve, même pas d’une souris. Elle était prévue pour deux (2) heures (intervention principale et questions combinées). Mais, Dramane Ouattara a parlé pendant 25 à 30 minutes seulement et pourquoi ? Asseyez-vous bien, car ici encore, les langues se délient et nous donnent des informations juteuses. Dramane Ouattara, l’homme qui hait ses bienfaiteurs ivoiriens, est malade, très malade. Son visage s’affaisse par endroits.

Les muscles de son visage ne répondent plus normalement. Sa voix devient de plus en plus semblable a celle d’un vieillard. Son côté gauche le lâche ; il serait en voie de devenir hémiplégique. Voici en gros ce qui explique la « compression » de sa conférence de deux (2) heures en tout au plus trente minutes. Nos entrées parlent même de « sa pile qui se serait affaiblie ». Enfin, il semblerait que son entourage immédiat a embrassé la « théorie du premier avion » qui était chère à feu Balla Kéita, le griot de Boigny. Tous ou presqu’autour de lui, auraient un pied dans le premier avion. Car, ils craignent le pire avec le peuple qu’ils abusent dans tous les sens et ils se disent ne point avoir de chance, non plus, avec Soro Guillaume qui assumera la continuité si le Naba voyageur voyageait pour de bon sans dire « EMBÊ SINIHO ». Certains, selon toujours nos oreilles, souhaitent que le « HALLAH-LOKA DI HALLAH- LO KATA » se passe lors d’un de ses nombreux voyages pour que leur peau soit sauvée (ces derniers voyageant toujours avec lui). Au vu de ce qui précède, l’information selon laquelle « la conférence a été écourtée pour des raisons de sécurité » est encore du mensonge très grossier. D’ailleurs, personne ne causait de trouble autour de Chatham House. Les Ivoiriens du Royaume-Uni ont la palme d’or en matière de marche et de protestation auprès des autorités britanniques. Durant toutes les marches organisées, les Ivoiriens n’ont jamais cause de dégâts c’est pour cela qu’il leur est facile d’obtenir toute autorisation qu’ils demandent à la police.

A côté de Dramane le fuyard, il faut noter le zèle, voire l’arrogance de madame Vanié née BEDE Roselyne Salomé. Cette dame qu’un beau nombre d’Ivoiriens respectaient, a volé la vedette, maladroitement, à ses collègues. Tantôt elle sortait du bâtiment pour féliciter les fanatiques de Dramane, tantôt elle courait vers ce groupe pour donner son sac à quelqu’un du même groupe, tantôt elle revenait reprendre son sac, tantôt elle levait son bras en signe de victoire vers ses amis, les partisans de Dramane. Ou encore, elle s’arrêtait net, face à face avec le groupe des patriotes en signe de défi et de moquerie. Le tout était enfantin et pathétique. Mais, il faut comprendre ce qui est derrière ce comportement de « lèche-botte ». Le diplomate Yapi Dodo, premier conseiller parti, il faut lutter ongles et becs pour frapper dans l’œil du patron, l’ambassadeur, qui fera la proposition de la nommer au poste de conseiller à son ministre de tutelle et ainsi de suite. Elle est prête à tout faire, manger du foin, jouer à l’âne et à la bouffonne du roi dans l’unique but de devenir madame la première conseillère. Le reste, dieu le réglera. Ce comportement ne surprend personne. Il fallait quand même le souligner car l’histoire de la Côte d’Ivoire est en train de se mettre en place. Et, demain, les « j’étais obligé, ce n’était pas de ma faute et consorts » ne seront pas pris en compte. Notre devoir est de prévenir, d’avertir, d’informer et de former. Car, comme le dirait Emile Zola « la vérité est en marche et rien ne l’arrêtera » (in ‘J’accuse’, l’affaire Alfred Dreyfus qui a secoué toute la France).

TORTIONNAIRE-DRAMANE ET LES JEUX OLYMPIQUES

Avec Dramane, il faut s’attendre à tout sauf au bien. Il est prêt à respecter certains proverbes, littéralement. « Il n’y a pas un sans deux » ; Dramane a fait sien de cela ici à Londres. De quoi est-il question ? Il était allé « s’incliner » sur la tombe de Bongo père à Franceville, au Gabon pour faire gagner la coupe d’Afrique des nations de football aux Eléphants. Dame coupe lui a refusé son amour. Car, il voulait utiliser cette coupe, si elle avait été gagnée par Drogba et alliés, pour se réconcilier avec ses « bêtes de somme ». Le 27 juillet dernier, après sa prestation comique à Chatham House, Dramane et sa délégation puis un grand contingent de l’ambassade, devaient se rendre au stade pour l’ouverture des jeux olympiques. Mais qu’avons-nous constaté? D’abord, « une équipe ivoirienne » veule et pas enthousiaste du tout.

Les « athlètes ivoiriens » marchaient déjà en vaincus. Mais là n’est point le problème. Les billets/badges qui devaient servir de droit d’accès au stade pour l’ouverture officielle des jeux (avec la Reine présente) à Dramane et à sa suite ne sont pas arrivés. Un grand et gros fiasco donc. Les athlètes venus représenter la Côte d’Ivoire endeuillée par Dramane, étaient devenus le vrai visage de ce qu’est la Côte d’Ivoire sous le tortionnaire qui hait ses propres origines burkinabées. C’était une délégation orpheline, triste et sans horizon clair qui était passée presque inaperçue sous les lampions du state olympique. On pourrait donc dire : « Dramane était présent, la honte, la désolation et la déception aussi ».
Nous avons choisi d’informer l’homme et la femme parce que « le silence est comme le vent : il attise les grands malentendus et n’éteint que les petits », Elsa TRIOLET (in Proverbes d’Elsa).

SYLVAIN DE BOGOU