Côte d’Ivoire / Relations internationales : Un écrivain africain publie deux "livres rouges" Sur Taïwan et le Parti communiste chinois
Par Ivoirebusiness/Côte d’Ivoire Relations internationales. Un écrivain africain publie deux "livres rouges"
Sur Taïwan et le Parti communiste chinois.
L’information, à coup sûr, fera très vite le tour du monde : deux "livres rouges" sont annoncés en Côte d’Ivoire, apprend-on de source sûre, et seront publiés dans quelques jours aux éditions Icône, l’un sur la sensible question de Taïwan, et l’autre sur le Parti communiste chinois (Pcc).
L’auteur qui les signe, et qui garde pour le moment l’anonymat, est un Africain d’origine ivoirienne. Le premier livre, intitulé « Une seule Chine », fera sans doute beaucoup parler de lui dans la crise territoriale qui oppose depuis 70 ans la Chine continentale et l’île nationaliste de Taïwan.
L’auteur y fait un large éclairage sur l’histoire documentée de cette question taïwanaise, et prend ouvertement position pour la Chine continentale. Quant au second livre, il est intitulé « Parti communiste chinois – Gouverner par excellence » : L’auteur y laisse entendre clairement la voix politique de la Chine continentale actuelle, sous le président Xi Jinping, à travers l’apologie du socialisme à la chinoise, comme un modèle de gouvernance réussie et à promouvoir dans le monde. La sortie de ces deux ouvrages est, dit-on du côté des éditions Icône, prévue à partir 18 juin 2023, à Abidjan.
Et cela, dans un contexte international, effectivement et fortement marqué, d’un côté, par une grande crise territoriale taïwanaise, qui met face à face les Etats-Unis d’Amérique (soutien politique indéfectible du gouvernement de Taïwan) et la Chine continentale (qui défend bec et ongles le sacro-saint « principe d’une seule Chine au monde », et d’un autre côté, par le leadership diplomatique affirmé de la Chine de Xi Jinping dans le développement économique mondial. Chose certaine, ces deux publications livresques ne manqueront pas de remuer la sphère des relations internationales. Nous y reviendrons…
Firmin Bodoa