Côte d’Ivoire : Le ministre Vagondo Diomandé dément l’existence d’une tension entre le Dg de la police et lui
Par Fratmat.info - Le ministre Vagondo Diomandé dément l’existence d’une tension entre le Dg de la police et lui.
La cérémonie de présentation au drapeau des recrues de la police nationale, ce lundi 06 février 2023, à l'Ecole de police d'Abidjan a été l’occasion pour le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le Général de corps d’armée Vagondo Diomandé de répondre aux rumeurs d'une soit disant brouille entre lui et le Directeur général de la police nationale, Youssouf Kouyaté.
Sur le pupitre, le ministre Vagondo Diomandé a lancé : « Je ne quitterai pas ce pupitre sans faire un clin d’œil à une certaine actualité du moment qui fait croire qu’il y a des tensions entre le Directeur général de la police nationale de Côte d’Ivoire et le ministre de la sécurité de Côte d’Ivoire ». Et de demander au Général Kouyaté de le rejoindre au pupitre.
Selon le Général Vagondo Diomandé, il n’y aura jamais d’ombre entre la police nationale et son ministre. « Que ceux qui ont des choses à savoir sachent que nous sommes ouverts pour les éclairer. Notre première mission, c’est d’assurer votre sécurité et elle sera assurée contre vents et marrées », a affirmé mordicus, le ministre en charge de la sécurité.
A tous, il a rappelé que le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité est engagé auprès du président Alassane Ouattara pour le bonheur des populations qui vivent sur le territoire national. Qualifiant tous ceux qui propagent ces rumeurs, "d’oiseaux de mauvaises augures", il a indiqué que ces derniers entendent mettre à mal le développement de la Côte d’Ivoire amorcer par le Président Ouattara. Et d’ajouter : « La Côte d’Ivoire fait envie, elle fait pâlir d’envie. Que ces jaloux se taisent à jamais ».
Selon le ministre Vagondo Diomandé, les résultats obtenus par la Côte d’Ivoire en terme de développement « font des jaloux. » C’est pourquoi, dira-t-il, les gens cherchent la petite bête pour mettre le doute dans la tête des ivoiriens et de tous ceux qui vivent en Côte d’Ivoire.
Par Salif D. Cheickna