Campagne électorale : Francis Wodié attaque le bilan des refondateurs
Le 23 octobre 2010 par le Patriote - La campagne électorale pour l’élection présidentielle bat son plein. Hier, le candidat du Parti Ivoirien des Travailleur (PIT), Francis
Wodié était à Kennedy-Klouétcha, dans la commune Abodo.
Le 23 octobre 2010 par le Patriote - La campagne électorale pour l’élection présidentielle bat son plein. Hier, le candidat du Parti Ivoirien des Travailleur (PIT), Francis
Wodié était à Kennedy-Klouétcha, dans la commune Abodo.
Il a sollicité les voix des habitants de ce quartier populeux pour être élu au soir du 31 octobre 2010. Tour à tour, il demandé le soutien des femmes et des jeunes de ce quartier. Celui qui se présente comme le candidat du changement a surtout recommandé à la population de ne pas accorder leur suffrage à ceux qui ont mit le pays à genou. « Aujourd’hui, il n’y pas d’électricité, ni d’eau. Aujourd’hui, les ivoiriens sont nombreux à ne pas manger correctement. Quand on est malade, on ne peut pas se soigner et la mort est partout. Cela doit changer. Et c’est avec vous que je voudrais réaliser le changement indispensable pour notre pays », a-t-il martelé. Et le candidat de la clé du changement de poursuivre « Trop de jeunes ne travaillent pas dans ce pays. Si les jeunes ne travaillent pas, c’est que le pays est malade. Notre pays est donc malade », a-t-il déclaré. Comme remède à cette maladie, Francis Wodié s’est engagé à trouver du travail et à remettre la jeunesse au travail s’il venait à être porté à la tête de la magistrature suprême. Pour ce faire, il compte puiser dans le fonds de souveraineté qui sera mis à sa disposition. « S’il n’y a pas d’argent, nous avons calculé. En prenant 1/3 des fonds de souveraineté, nous pourront créer en une année 226 emplois », a-t-il promis. Toutes « ces grandes choses », a reconnu le candidat du PIT ne peuvent se faire « sans réconciliation, ni paix dans le pays ». Tous les candidats a-t-il averti, ne sont pas fait pour ramener la paix. C’est pourquoi, il a demandé aux populations d’Abobo Klouétcha de ne pas se tromper le 31 octobre et de le choisir, car « en homme d’expérience, en homme qui ne parle pas au hasard», il a « la sagesse nécessaire pour ouvrir la porte du changement et réconcilier les ivoiriens ».
Dao Maïmouna