Côte d'Ivoire: "Aujourd'hui nous sommes pris en otage dans nos villages, dans nos villes, dans nos régions"

Nos parents sont refugiés dans la forêt de peur d'être massacrés, ils n'ont aucun moyens de déplacement puisque les routes refugiés dans la forêt parce que les routes sont occupées par les rebelles, les Dozos

Nos parents sont refugiés dans la forêt de peur d'être massacrés, ils n'ont aucun moyens de déplacement puisque les routes refugiés dans la forêt parce que les routes sont occupées par les rebelles, les Dozos

de Ouattara. Aucun moyens de communications parce que le téléphone et internet coupés. Même le CICR joint à Abidjan nous a assuré qu'il ni peut rien et qu'il ne pouvait pas ce déplacer de peur d'être agressé. Aujourd’hui, les médias internationaux sont concentrés sur Abidjan pour fêter leur victoire et ils ont oublié les ivoiriens qui meurent sur le coup des rebelles. La relance ne résout en aucune manière la crise. Pour qu’il y ait réconciliation entre ivoiriens et cette fois-ci sans communauté internationale, il faut au préalable le départ de l'ONUCI, le départ de la LICORNE .Cela est non négociable.

"laurence.sombo@neuf.fr"