ARRESTATION DE BLE GOUDE AU GHANA HIER: POURQUOI LA RÉCONCILIATION EST UNE LETTRE MORTE EN CÔTE D'IVOIRE?

Le 18 janvier 2013 par Correspondance particulière - POURQUOI LA RÉCONCILIATION EST UNE LETTRE MORTE EN CÔTE D'IVOIRE?

Monsieur Konan Banni, chef de la CDVR et sa clique, au nom de leurs propres vies, au nom du repos de l’âme des Ivoiriens assassinés par Dramane Ouattara et ses sans-culottes, au nom enfin de leur propre honneur (s’ils en ont encore), doivent démissionner. La réconciliation est un leurre qu’utilse Dramane pour continuer d’arroser ses esprits maléfiques avec le sang des Ivoiriens.

D’un côté, Dramane Naba Mossi crie à la « réconciliation », de l’autre côté il jette des Ivoiriens en prison. Avec la corruption comme arme, Dramane Naba Mossi extradie et enlève nuitamment et lâchement des Ivoiriens. Le ministre Koné Katina continue d’être traité comme un vulgaire bandit au Ghana. Son pseudo procès est reporté continuellement. Le ministre Lida Kouassi Moïse paie sa « trop bonté de 2002 avec Mossi Dramane » dans des conditions dégradantes en prison où tout droit lui est refusé. Monsieur Laurent Akoun est en prison pour avoir tenu une réunion. Le scenario est le même pour le ministre Alphonse Douati. Comme il est de coutume chez Dramane Naba Mossi, monsieur Blé Goudé, patron du COJEP, enlevé par des éléments corrompus des agents d’Interpol-Ghana, est depuis hier 17 janvier 2013 aux mains de la DST ghanéenne. Préparons-nous à un scenario à la Koné Katina. Nous irons certainement de procès reporté en procès reporté pour l’ex-ministre de la jeunesse.

Monsieur Blé Goudé enlevé par un commando et aux mains de la
DST du Ghana depuis hier 17 janvier 2013.

Sur place, en Côte d’Ivoire, les Ivoiriens qui refusent de mordre la poussière comme les agents de Konan Banni, continuent de payer le lourd prix de la tyrannie de Dramane Naba Mossi. Du caoutchouc est brûlé sur le corps nu des détenus. D’autres perdre des membres et la vue. Certains détenus sont circoncis ou perdre leurs testicules à l’aide de couteaux de chasse par les tueurs de Dramane Naba Mossi. Et, devant tous ces abus d’une autre période de l’histoire de l’humanité, le monde dit « civilisé » rit, mange et dort tranquillement. Devant ces abus aussi, les agents-vautours de Konan Banni en mal de reconnaissance, croient mordicus en leur « réconciliation ». Pourtant, rien ne bouge au bord de la Lagune Ebrié. Konan le banni se remplit les poches et dort sur le sang des ivoiriens sans problème. Dans tous les cas, les ethnies qui sont destinées au génocide préparé par Dramane Naba Mossi sont très bien connues en Côte d’Ivoire. Konan le banni peut donc rire aux éclats et circuler sans problème.
La « réconciliation » de Dramane Naba Mossi est une lettre morte. Les prisons et les camps de concentration de circonstance mis en place pour kidnapper les Ivoiriens qui refusent de dire « oui » à Dramane Naba Mossi et pour les y cacher et séquestrer comme dans les camps nazis, se multiplient chaque jour. Les politiques FPI et autres continuent de croupir là où Dramane Naba Mossi et son épouse « prête à marcher sur les corps pour aller à la présidence » les ont placés. La liste des prisonniers de Dramane Naba Mossi est insondable. Le nombre des morts jetés aux hyènes par la France et Dramane Naba Mossi, donc sans sépulture, ne sera jamais connu. Des Ivoiriens vivent dans des camps de refugiés à l’intérieur comme dans les pays voisins. Des autochtones perdent tout au bénéfice des Mossi, des Maliens, des Nigériens, des Guinéens et des Nigérians venus aider Dramane Naba Mossi dans sa névrose de gouverner la Côte d’Ivoire et sa soif pour le sang des Ivoiriens.
Alors, comment peut-on parler de réconciliation dans tout ce chaos, dans ce drame organisé par la France et son poulain Dramane Naba Mossi ?
Tout, vraiment tout doit être fait pour libérer notre patrie. Seuls les patriotes peuvent reprendre l’Eburnie, la lutte pour l’indépendance continue.

Une Contribution de Sylvain De Bogou