Après le dernier rapport de Human rights watch : François Hollande, ivre de rage, convoque Ouattara à l’Elysée le 11 avril

Par IvoireBusiness - Alassane Ouattara lâché par les occidentaux !

Peu après la publication du dernier rapport de Human rights watch de 82 pages, intitulé « Transformer les discours en réalité : L’heure de réclamer des comptes pour les crimes internationaux graves perpétrés en Côte d’Ivoire », très critique sur la totale impunité dans laquelle baigne le camp Ouattara, qui applique honteusement une justice à deux vitesses ou justice des vainqueurs, l’Elysée aurait piqué une colère noire.
En effet, selon une source très crédible, le Président de la République française François Hollande, ivre de rage devant les promesses non tenues et les graves manquements du régime Ouattara en matière de justice impartiale et de respect des droits de l’homme, a décidé de le convoquer une dernière fois pour le recadrer vertement.
Selon cette source bien introduite, François Hollande aurait cette fois décidé de ne pas porter de gants pour s’adresser à Ouattara, qu’il juge, ironie du sort, désormais infréquentable.
Le Président français aurait décidé de ne pas passer par quatre chemins pour lui dire son mécontentement et exiger un changement.
Déjà Human rights watch a demandé à la Communauté internationale, aux partenaires internationaux de la Côte d’Ivoire— dont l’Union européenne, les Nations Unies, la France et les États-Unis — d’accroître leurs pressions diplomatiques et leur soutien financier aux efforts de justice impartiale par Ouattara. Autrement dit, l’ONG américaine demande ni plus ni moins, la Non-coopération avec le régime Ouattara et l’asphyxie financière, jusqu’à ce que le changement intervienne en Côte d’Ivoire.
Selon nos sources, cette demande de HRW a été bien entendue dans les chancelleries occidentales, où on n’arrive pas à comprendre pourquoi l’ami Ouattara est « si mauvais ».
Tout porte donc à croire que Ouattara, qu’on dit malade, risque de passer un mauvais quart d’heure, le 11 avril prochain à l’Elysée, face à François Hollande.

Catherine Balineau