Affaire « Bagarre à PARIS : La résistance patriotique pro-Gbagbo vire au pugilat… » Le Droit de réponse du Copaci

DROIT DE REPONSE
Le Bureau politique du COPACI a été interpelé par un article publié ce lundi 19 décembre 2011 sur votre site d’information. Nous tenons, par conséquent, à y

répondre en faisant usage de notre droit de réponse, dont nous espérons la publication dans les mêmes conditions, selon les prescriptions réglementaires.
L’article en question, signé par Cathérine Balineau, est intitulé « Bagarre à PARIS : La résistance patriotique pro-Gbagbo vire au pugilat sur fond de querelles de leadership. La table ronde vire à la table cassée ! »
Il est question dans cet article d’une table ronde organisée le vendredi 16 décembre à l’AGECA à Paris, qui a viré à la bagarre. Le COPACI a été cité parmi les Organisations participantes de cette table ronde. « Les organisations comme le Cri-panafricain, le FPI-Cnrd, le Codesci, le Copaci, le Cojep, le Crd, l’Umad, le Curci, les Femmes patriotes, étaient représentées par leurs responsables respectifs. », peut-on lire dans l’article.
Le Bureau politique du COPACI tient à faire une mise au point relative à cette information contenue dans l’article.
Le Courant de Pensée et d’Action de Côte d’Ivoire n’était ni invité ni représenté à cette table ronde par l’un de ses responsables.
Par conséquent, le COPACI ne se reconnait en aucun cas dans les faits mentionnés dans ledit article. Par ailleurs, le Bureau politique tient à préciser que le COPACI reste un parti politique indépendant et libre, qui se fait le devoir historique d’apporter son soutien aux différentes Organisations de la résistance patriotique de la diaspora ivoirienne de France. Le COPACI ne saurait donc, en aucun cas, participer ou se mêler à des querelles de leadership auxquelles ces différentes Organisations pourraient se livrer.
Pour le Bureau Politique du COPACI
BOBIA Florentin
Porte-parole intérimaire