LAURENT GBAGBO D'HIER A AUJOURD'HUI: Son accession au pouvoir et la guerre des héritiers d'Houphouët Boigny

Le 14 décembre 2010 par IvoireBusiness -Le moissonneur de Mactar: Ce texte est une épitaphe – une inscription sur un tombeau – que fit graver, vers 260-270 J.C., un ancien ouvrier

Le Président de la République Laurent Gbagbo.

Le 14 décembre 2010 par IvoireBusiness -Le moissonneur de Mactar: Ce texte est une épitaphe – une inscription sur un tombeau – que fit graver, vers 260-270 J.C., un ancien ouvrier

agricole devenu propriétaire. Il vécut dans cette riche colonie Romaine que constituait l’Afrique proconsulaire (l’actuelle Tunisie)
Je suis né d’une famille pauvre ; mon père n’avait ni revenu, ni maison à lui. Depuis le jour de ma naissance, j’ai toujours cultivé mon champ. Ma terre ni moi n’avons pris aucun repos. Lorsque revenait l’époque de l’année où les moissons étaient mûres, j’étais le premier à couper mes chaumes, lorsque paraissaient dans les campagnes les groupes de moissonneurs, qui vont se louer autour de Cirta, la capitale des numides, ou dans les plaines que domine la montagne de Jupiter, alors j’étais le premier à moissonner mon champ. Puis, quittant mon pays, j’ai, pendant douze ans, moissonné pour autrui sous un soleil de feu ; pendant onze ans, j’ai commandé une équipe de moissonneurs et j’ai fauché le blé dans les champs des Numides. A force de travailler, ayant su me contenter de peu, je suis enfin devenu propriétaire d’une maison et d’un domaine : aujourd’hui, je vis dans l’aisance. J’ai même atteint les honneurs : je fus appelé à siéger au sénat de ma cité, et de petit paysan je devins censeur. J’ai vu naitre et grandir autour de moi mes enfants et mes petits enfants ; ma vie s’est écoulée paisible et honoré de tous.
Gilbert-Charles PICARD et Jean ROUGE
Textes et documents relatifs à la vie
Economique et sociale de l’empire Romain

CE TEXTE ET LAURENT GBAGBO :

L’histoire de la vie du président Laurent Gbagbo à en mon sens plusieurs similitudes avec celle du mystérieux moissonneur de Mactar : Fils de pauvre, travailleur, leader, petit professeur devenu Président de la république, a atteint les honneurs, vis dans l’aisance aujourd’hui … mais malheureusement cela n’est pas fait pour plaire à certaines personnes dans notre pays : et pour cause, ils s’étaient abandonnés à un fantasme tendant à leur faire croire que l’histoire politique de la Côte d’Ivoire était préétablie et qu’ils en seraient les seuls et uniques dépositaires. Il n’y aurait de place pour personne d’autre à la table où ils servent la soupe privée.
A la mort du père de la Nation en 1993, il était indéniable que ce schéma fonctionnerait tant le PDCI RDA était un véritable rouleau compresseur face à son avortons qu’était le RDR qu’avait rejoint le Premier Ministre Alassane Dramane Ouattara en conflit ouvert de succession avec Aimé Henry Konan Bédié le Président de la république par intérim, le tumultueux FPI et les autres simulacres de partis nés à la faveur du multipartisme pour lequel Laurent Gbagbo s’est battu pendant de nombreuses années.
Etant face à cette situation quelque peut inconfortable au vue d’une population habitué à voter sans condition pour le PDCI (Parti Démocratique de Côte d’Ivoire) parti unique d’alors, l’ère du multipartisme s’annonçais calamiteuse pour les partis politique émergeant, comme le Front populaire Ivoirien (FPI) et naissant, comme le rassemblement des républicains (RDR). Il fallait user de subterfuges pour se démarquer et attirer l’attention sur soit pour espérer surpasser Aimé Henri Konan Bédié le Président par intérim de la CI et candidat du PDCI d’un Houphouët Boigny toujours charismatique même après sa mort.
Le FPI de Laurent Gbagbo, précurseur de la lutte ayant conduit au multipartisme, commençait à avoir l’assentiment du peuple.
Après le premier test réussi par Bédié à l’élection présidentielle de 1995, il fait une erreur monumentale en essayant d’écarter le candidat du RDR pour raison de non Ivoirité. Le terme est lancé : Ivoirité. Chacun y vas alors de son explication : une véritable aubaine pour le RDR et Alassane Dramane Ouattara qui n’avaient aucun repère solide. ADO crie au scandale de l’exclusion du Nord musulman : Nordiste et musulman = Tribalisme et non laïcité. Il a trouvé son cheval de bataille. En même temps, il met en exergue que Bédié un Baoulé, a succédé à un autre Baoulé en la Personne d’Houphouët Boigny, à la tête de la CI pour renforcer la thèse du tribalisme.
Le Président Bédié ayant contraint Alassane Ouattara à l’exil politique suite à « l’affaire Ivoirité », les héritiers de Nanan Boigny pouvaient se permettre de dormir sur les deux oreilles jusqu’a ce que patatras !!! le général Robert Guei sonne le glas de cette douce rêverie du Nouveau PDCI, le 24 Décembre 1999 suite au premier coup d’état militaire subi par notre jeune Nation. Le « «Zozo » comme l’avait appelé Aimé Henri Konan Bédié alors Président de la République de Côte d’Ivoire, venait ainsi de redistribuer les cartes et avait même contraint l’élu à l’exil : ainsi le Président Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara se retrouvent tous les deux en Exil politique.
Les prétendus héritiers légitimes du trône d’Ivoire semblent ne toujours pas avoir digéré cet affront.
Dans un souci d’apaisement, les deux exilés reviennent en Côte d’Ivoire avec la bénédiction du nouvel homme fort qui espère ainsi attirer la sympathie du peuple.
Il s’en suit alors une véritable mascarade de l’auto proclamé « Candidat du peuple » Robert Guei qui avait par la suite troqué sa tenue militaire contre le titre d’homme politique, candidat à la présidentielle qui à malicieusement écarté ses potentiels adversaires à risques qu’étaient alors le Président Bédié et le Premier Ministre Alassane D. Ouattara en modifiant la constitution suite à un semblant de « référendum express ».
Il n’avait face à lui que Laurent Gbagbo le pauvre candidat du FPI qui n’avait même pas les moyens financiers de mener une campagne politique digne de ce nom.
Etant assuré de gagner les élections contre le tocard de la course, le général Guei avait organisé des élections présidentielles acceptables et à sa grande surprise, le tocard qui en fait était un véritable Outsider en qui le peuple se reconnaissait depuis des années, joua les troubles fête en remportant le scrutin.
Face à ce revers cinglant, le général Guei, favori illusoire de la course, tenta désespérément de s’approprier le pouvoir par la force, mais fut jeté hors du champ de course par un élan de désapprobation nationale suite à l’appel de Laurent Gbagbo le Président élu : L’opposant historique, le fils de pauvre, le «Poignon » venait ainsi de manière quasi inespérée mais honnête atteindre la magistrature suprême juste avec ses idées et la confiance du peuple Ivoirien.

Après tant de souffrances, d’abnégation, de courage et de travail acharné pour conquérir son peuple, il venait d’être récompensé à sa juste valeur et pouvait dorénavant servir son peuple selon sa vision matérialisée par un projet de société novateur : c’était sans compter avec les frasques de « la nouvelle opposition politique»
LA DIFFICILE TRANSITION DU BALCON DE LA RÉPUBLIQUE A L’ARENE BOUEUSE DE L’OPPOSITION :
Le RDR qui à ce moment là s’est comporté comme un véritable charognard, lança par la voie de son leader Alassane Ouattara, un autre appel visant à récupérer le pouvoir d’état dans la rue en imitant les propos du président élu. Fiasco totale. Le RDR venait lui aussi de subir un autre affront qu’ADO à promis de faire payer à la Nation tout entière avec des propos du genre : 'Je vais rendre ce pays ingouvernable'.
Le président Gbagbo était il responsable de l’injustice subie par Henry K. Bédié et Alassane D. Ouattara ?
Comment peut-on se permettre de prétendre être Président à la suite d’élections auxquelles on n’a pas été candidat ? Surréaliste tous simplement.
Après ces crises à répétitions, le PDCI s’est trouvé traumatisé et fragilisé quand le RDR tentait sournoisement de déstabiliser le Président Gbagbo via plusieurs tentatives de coups de force qui n’aboutissaient pas dans un premier temps.
Il était clair que la culture de parti politique de l’opposition ne correspondait ni au PDCI habitué à dirigé depuis 40 ans, encore moins au RDR dont les membres étaient pour la plupart issus du PDCI et qui en plus venaient de voir la présidence de la république leur passer au nez et à la barbe.
Vu que Gbagbo avait pendant de nombreuses années pataugé sur le terrain difficile de l’opposition, il pouvait très aisément les prendre à défaut car ayant plus d’expériences que ces politiciens qui n’avaient jamais mené de combat politique et qui ont été parachutés a des postes clés: Président et Premier ministre.
Indépendamment Ado et Bédié en étaient conscients. Il fallait alors le faire partir très vite et par tous les moyens. Dans l’entendement et à l’analyse des agissements du riche PDCI héritier légitime, mais encore du plus riche RDR aux bras longs, Il paraissait inadmissible que Gbagbo, ce « crève la dalle » là qui en plus n’a aucun soutien extérieur puissant puisse être pendant cinq longues années, l’homme ayant les clés du palais présidentiel et tout ce qui va avec.
Tous ces faits ont laissés des plaies grandes ouvertes ou des marques indélébiles dans la vie de tous les Ivoiriens. Le forum pour la réconciliation nationale organisé par le président Gbagbo et ayant pour but de calmer la situation et apaiser les cœurs, n’a fait que mettre de l’huile sur le feu au vue des propos incendiaires de l’opposition. Propos qui ont conduits à des positions plus figées qu’elles ne l’étaient déjà.
Dans cet élan là, survint l’attaque de la rébellion armée du 19 Septembre 2002, moins de deux ans après l’accession au pouvoir du Président Gbagbo. Les différents groupes rebelles (MPCI, MPIGO, MJP…) après avoir essuyé un revers dans leur projet de prise de la ville d’Abidjan et d’occupation de la Présidence de la république, furent contraints de faire demi-tour vers le Nord en occupant au passage une partie de la zone Ouest et Nord du Pays.
La Côte d’Ivoire venait ainsi d’être divisée en deux :
- d’un coté la rébellion armée était suscitée ouvertement pas le RDR, puis soutenue par le PDCI-RDA. Officieusement mais vraisemblablement la rébellion armée avait la bénédiction et l’appui du président Français Jacques Chirac qui n’était pas en odeur de sainteté avec le Président Gbagbo, Président (anarchiste selon lui) de l’ex colonie Française, et qui refusait d’être le préfet qui baisse le culotte devant le locataire de l’Elysée
- de l’autre coté un Gbagbo esseulé, acculé de toutes parts et qui ne pouvait compter que sur lui et son peuple, ce peuple qui l’a élu.
C’est là qu’intervient Charles Blé Goudé dans sa noble croisade patriotique pour rallier autour de lui tous les enfants de la Côte d’Ivoire dans l’optique de dire NON aux déstabilisateurs et soutenir le Président de la république dans cette bataille qui s’annonçait périlleuse.
LA GRANDE VADROUILLE :
Face à cette situation qui risquait d’embrasser un pays déjà fragilisé, il fallait trouver un terrain d’entente avec la rébellion et l’opposition pour calmer les esprits et assurer un minimum de quiétude au peuple.
D'abord les accords de Lomé sous la supervision de Feu le Président Yassingbé Eyadéma : Fiasco. Ensuite les fameux accords de Linas-Marcoussis piloté par la France de Jacques Chirac: Fiasco
Ensuite les multiples accords d'Accra au Ghana (Accra 1,2 et 3): Fiasco
Vinrent les accords de Lomé: Fiasco
Par la suite ce furent les accords de Pretoria qui connurent eux aussi le même sort.
On sollicita alors l'intervention de premier ordre de l'ONU via la médiation du Béninois Albert Tévodjré qui plia bagage après avoir tant bien que mal essayé de trouver une solution définitive de sortie de crise, puis celle de l'Ex-président Sud Africain Tabo-Mbéki: là aussi Fiasco.
Après d'autres tentatives interne, ce fut le tour de l'accord de Ouagadougou entre les deux belligérants.
Que de tergiversations, de mensonges et de non-dits de la part de l’opposition au cours de cette grande vadrouille.
A chaque rencontre pour des négociations en vue de trouver une solution de sortie de crise, ils arrivent toujours à grignoter des postes de responsabilités au niveau des instances dirigeantes de la zone gouvernementale tout en ne concédant quasiment rien.
Aujourd'hui Guillaume Soro le secrétaire général du MPCI le parti politique crée par la rébellion armée est Premier ministre de la République de Côte d'Ivoire sans compter ses camarades issues de sa mouvance qui sont ministres de la république: et pourtant ses hommes n'ont toujours pas désarmés, pire, ils continuent de faire souffrir la population dans les zones qu'ils contrôlent (réquisition de biens, tuerie, viols, emprisonnement arbitraire...) Visiblement le nouveau premier ministre fait des efforts pour se rapprocher du peuple mais toujours est il que la situation politique n’a pas connue une avancée de poids.
Alors faut il en conclure que les institutions de l'état ont étés bradées à la rébellion pour rien ?
LE FAUX ET USAGE DE FAUX DE L’OPPOSITION :

Il faut que les Ivoiriens comprennent qu’ils représentent un vrai rempart face à cette politique du pouvoir à tous prix avec pour maitre mot: coup d'état militaire ou constitutionnel et rébellion armée. Y'en a marre !!!
En outre, la classe politique opposante au pouvoir en place joue trop facile en essayant d’utiliser le Président Gbagbo comme Bouc émissaire pour porter seul le chapeau de la décadence à presque tous les niveaux de la vie dans notre pays.
C’est la pire des injures que ces opposants qui ont créent le G7 et le RHDP pour déstabiliser le Président Gbagbo peuvent encore se permettre de faire à la Côte d’Ivoire. C’est comme si lors d’une séance nationale et collective d’hypnose, ils voulaient nous greffés des yeux de verre ne voyant que ce qu’ils veulent nous montrer et relier à un cerveau de la taille d’un pois chiche, formaté pour nous faire répété frénétiquement à qui veut l’entendre que Gbagbo c’est le diable, Gbagbo était pauvre, Gbagbo vole l’argent du peuple, Gbagbo est un mauvais refondateur, Gbagbo ceci, Gbagbo cela… What Else ?
Nous ne sommes pas dupes et nous n’avons pas la mémoire courte ou sélective. Nous savons tous pourquoi nous en sommes là et ils en sont les premiers responsables.
Il est inappropriée et même déplacé de se permettre aujourd'hui de faire un bilan économique et social sous l'ère FPI ou Gbagbo.
C'est le prix à payé quand l'opposition se ligue face au Président en exercice pour rendre le pays "ingouvernable" selon les propos de certains...
Combien de temps le Président Gbagbo et le FPI ont gouverné le pays selon leurs ambitions et leur programme de gouvernement depuis l'année 2000 ?
Deux ans sur dix à ce jour avec pendant plus de Sept ans une succession de gouvernements composés de ministres et premiers ministres Kamikazes venant de cette opposition ou soit disant de la société civile...
Tous cela quasi imposé par des accords qui étaient carrément des injonctions sous la pression d'organisations panafricaines ou internationales pour soit disant ramener la paix en Côte D'Ivoire. Quand est-il à ce jour ?
Pour se défendre ils rétorquent que rien n'obligeait le président à signer ou entériner ces accords. Oui certes, mais il le fessait dans l'intérêt de la nation croyant en la bonne foi de l'opposition et des ses rebelles du MPCI.
A-t-il été naïf ? Non.
Ses adversaires on t’ils joué Franc jeu ? Certainement NON.
Quand un gouvernement est composé de parasites de l'opposition dirigés en première ligne par un premier ministre n'ayant pas la même vision politique ni les mêmes objectifs que le chef suprême, et cela depuis près de sept (7) ans, alors on va tout droit et à vive allure dans un mur de béton...
L'opposition Ivoirienne a quémander des postes ministériels, pas pour servir la nation mais pour servir de guichet-automatique pour le financement des activités et du train de vie royal des ses leaders.
En Côte d’Ivoire, la classe politique ne compte plus d’opposants dans ses rangs. Il y a désormais les ennemis d’état, les ennemis de Gbagbo, et les amis de Gbagbo. Certains sont de véritables pompiers pyromanes prêts à mettre la Côte d’Ivoire en feu pour profiter du titre de héros qui aura sauvé les meubles. Pourquoi aider à construire une maison dans laquelle ils ne sont pas certains de dormir ? Tel semble être leur philosophie… Cependant qu’ils sachent qu’un pays c'est comme un bateau, « on est tous dedans et il ne faut pas qu'il coule... ce n’est pas pour ça qu'on doit détester la mer... »
C’est totalement renversant d’entendre l’opposition revendiquer des élections présidentielles sans le désarmement des rebelles, opération qui selon eux peut attendre après les élections. Mon Dieu !!! Et ils argumentent en citant en exemple les cas du Congo, de l’Irak et de l’Afghanistan… Très édifiants comme exemples.
Pourquoi ne prenons nous pas le temps de résoudre ce problème maintenant pendant que les rebelles et leurs amis du RHDP sont encore au gouvernement ?
Pourquoi le fait que le pays soit partitionné en deux et contrôlés en grande parti par la rébellion armé est astucieusement passé sous silence ? Pourquoi les armes encore aux mains des rebelles n'inquiètent pas le RHDP ?
Faire des élections maintenant dans quel but précis ? Céder aux caprices du RHDP ?
Tous ça pour quoi ? Parce que le fils du pauvre n’est pas resté à sa place, parce que le fils du pauvre n’a pas d’amis blancs puissants, parce que le fils du pauvre doit rester pauvre, parce que le fils du pauvre a pensé faire plus pour son pays que d’autres, parce que le fils du pauvre a rêvé d’atteindre les honneurs.
Aujourd’hui, vu que toutes ces années de tentatives de lavage du cerveau du peuple n’ont rien donné de positif, l’opposition essai de copier Gbagbo pour se rapprocher du peuple Ivoirien. Ejecté de leur tour d’ivoire d'où ces véritables pachas et leurs cliques de simulacre de bourgeois snobaient le peuple, il leur est maintenant difficile, voir quasi impossible de se fondre dans la masse ou de s’identifier au quidam lambda de la petite Côte d’Ivoire. Entre autre, la nouvelle tendance au PDCI et au RDR consiste pour Bédié et ADO à parler le Nouchi qui fait parti de l’argot Ivoirien ?
Pour moi c'est ce qui arrive quand on n’a pas d'âme politique, quand on n’est pas "vrai, authentique". Malheureusement pour eux, je crois que le faussé entre cette opposition là et la Côte d'Ivoire, est abyssale. Il est peut être trop tard.
A l‘instar du moissonneur de Mactar, cette épitaphe doit nous guider, que nous soyons pauvres ou riches. C’est une véritable leçon de vie qui enseigne la récompense d’un travail honnête et exécuté avec perfection. C’est ce que le Président Gbagbo essaie de faire, alors, que l’opposition se mette à son niveau et arrête de mettre les bâtons de dynamites sur les rails de la Côte d’Ivoire.
Claudus Kouadio