"Journalisme et confraternité": "Ujif", union des journalistes ivoiriens de France ou club d'amis festif à Paris?
Le 27 décembre 2011 par IvoireBusiness -Il ya quelques années, une pseudo union des journalistes a vu le jour, (Ujif) à l'initiative d'un certain "Clément YAO" dans le but officiellement de fédérer
Le 27 décembre 2011 par IvoireBusiness -Il ya quelques années, une pseudo union des journalistes a vu le jour, (Ujif) à l'initiative d'un certain "Clément YAO" dans le but officiellement de fédérer
les aspirations des journalistes ivoiriens de FRANCE et de certains compatriotes ayant effectué des études liées à la direction de la pensée! trois ans plus tard, aucun acte idoine et pragmatique allant dans le sens des aspirations légitimes des confrères ivoiriens, n'a été posé, à savoir prendre en compte les priorités didactiques dans ce milieu confraternel qui en a besoin: formation intensive à travers des séminaires de déontologie et d'éthique, lorsque l'on n'est pas sans savoir que le cancer qui gangrène la presse africaine et ivoirienne en particulier, demeure indéniablement la mauvaise formation ou la formation approximative dans cette corporation...Pis, le président de la pseudo union journalistique( l'UJiF) a plus tôt utilisé (L'ujif) pendant trois ans, dans le processus de son positionnement social personnel et la capitalisation des intérêts pécuniaires y afférant, renvoyant ipso facto aux calendes grecques les fondamentaux d'une union confraternelle de cette envergure! (L'ujif), au lieu de remplir avec sérieux et abnégation la mission d'union de presse qui lui a été assignée, s'est empressé à faire des calculs politiciens de positionnement politique, relayant la thématique de la formation journalistique au second plan...Aujourd’hui, suite à la pseudo élection récente du confrère "Clément YAO", nous lui renvoyons l'ascenseur afin qu'il réalise définitivement que ce noble métier qui est le journalisme, demeure toujours le quatrième pouvoir! En outre, être journaliste, ce n'est pas écrire dans les organes de presse, mais c'est surtout écrire en normes, c'est donc avoir intériorisé comme une seconde nature un certain nombre de normes d'écriture, mais aussi de comportements , en amont une certaine vision du monde, c'est- à- dire un certain nombre de catégories d'entendement et d'appréciation et de perception du monde: Au plus général, ces catégories porteront à une conception purement événementielle du monde, c'est à dire à n'en retenir ce qui peut être "événementiels", et de passer au crible des genres et des rubriques journalistiques! Mon enjeu implicite est de soutenir la thèse selon laquelle, la déontologie, doublée de l'éthique journalistique demeure l'épine dorsale sur laquelle, doit s'adosser un travail journalistique professionnel! Dans cette dynamique, toute union qui fait abstraction complète des séminaires de déontologie et d'éthique, semble vouée à l'échec, et est finalement décrédibilisé! C'est le cas de(l'UJiF), qui s'est écarté des valeurs et des fondamentaux du journalisme contemporain en trois ans d'existence...Je souhaite dorénavant vous interpeller dans votre rôle (Ujif) à vous, allais-je dire dans le pouvoir qui est le nôtre, en tant que hommes de presse, de formateurs de l'opinion globale, et également d'écrire et diffuser dans la langue de "Molière", et souvent dans celle de "Shakespeare", avons notre rôle à jouer dans le communication internationale, et surtout dans l'éducation de nos lecteurs.NE tuons pas ce noble métier, quatrième pouvoir dans la hiérarchie du glaive mondial...Vivement que des séminaires de déontologie et d'éthique se mettent en place, afin d'inculquer les fondamentaux de ce métier noble à nos confrères, et renvoyer ainsi aux calendes grecques le journalisme folliculaire, qui semble être un cancer de nos jours en Afrique et dans le monde entier! A bon entendeur, SALUT!
(Yves T Bouazo)